Vers une dictature sanitaire ? « Tu vas apprendre à te taire… »

Dans le métro de Mexico le mot d’ordre est « en nous taisant nous prévenons les contagions »…


Cette photo vaut 1000 mots. Dans le métro de Mexico le mot d’ordre est « en nous taisant nous prévenons les contagions. Parler, chanter et crier propage le coronavirus. Met le masque et utilise-le correctement, c’est obligatoire. NE BAISSE PAS LA GARDE ». Au Mexique, le masque ne suffit donc pas: les gens doivent en plus…la fermer. Le bâillon social dans toute sa splendeur.














Certains usagers ne voient pas cette mesure d’un bon œil mais d’autres trouvent ça bien.

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Robert KENNEDY Junior à Berlin avec les anti-masques : « chaque crise est utilisée par les élites et les militaires… »

Robert Kennedy a délivré un discours historique ce samedi 29 août 2020 à Berlin devant une foule très importante (plus d’un million de personnes selon les organisateurs mais 38 000 selon les sources officielles).
« FS : Robert, que se passe-t-il dans le monde selon vous ?

RK : Je pense qu’il y a des gens qui pensent que la pandémie a été planifiée, que le virus a été fabriqué génétiquement, qu’il a été relâché accidentellement ou de manière planifiée, qu’il serait comme une arme. En réalité, je pense que personne ne connaît la réponse à ces questions.  Mais c’est une crise. Et chaque crise devient une opportunité propice pour des éléments autoritaires. Et cette crise est une opportunité de la même manière que 9/11 l’a été (attaque sur les deux tours à New-York). Chaque crise majeure est utilisée par les élites, militaires ou du renseignement, les apparatchiks, les télécoms ou dans ce cas, vous avez posé la question de qui bénéficie de cette situation.

Les sociétés qui bénéficient le plus sont celles des milliardaires de la Silicon Valley qui contrôlent les communications ou les interfaces, que ce soit Amazon ou Jeff Bezos ou Zuckerberg ou Bill Gates. Ils sont ceux qui continuent à gagner des milliards et des milliards pendant que la classe moyenne de manière globale est laissée pour compte.  Tous les programmes sociaux sont en faillite.

Cela se traduit par une situation sociétale oligarchique qui demande un énorme contrôle social. Avec la simultanéité de l’installation de la 5G, cela leur donnera une capacité sans précédent de surveillance et de contrôle du comportement humain, ainsi que la capacité d’exploiter nos données et de nous faire devenir des machines à consommer.  Ce n’est pas important de savoir si ce qui arrive était planifié ou pas. Mais c’est utilisé pour avoir un effet maximum pour imposer l’obéissance et un contrôle social sur l’humanité. »

Qui est Robert Francis Kennedy Jr, star mondiale du mouvement anti-vaccin ?

En prononçant à Berlin un discours anti-Covid, lors d’une manifestation contre les restrictions liées à la pandémie, le neveu de l’ancien président américain et célèbre avocat spécialisé sur les questions environnementales a fait parler de lui jusqu’en France.

Votre question porte sur Robert Francis Kennedy Jr, neveu de l’ex-président des Etats-Unis, John Fitzgerald Kennedy. Cet homme de 66 ans, célèbre militant et avocat spécialisé dans le droit environnemental, a prononcé un vibrant discours anti-Covid, lors de la grande manifestation contre les restrictions liées à la pandémie qui s’est tenue à Berlin le 29 août. Et qui s’est terminée par une tentative de siège du Parlement allemand.En France, son message a été relayé par le site France Soir, qui parle d’un discours «historique», prononcé devant une «énorme foule» de manifestants, estimée à un million de personnes selon les organisateurs, et 38 000 selon la police. La teneur du discours ? «Les gouvernements aiment les pandémies, et ils aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre. Parce qu’elle leur donne la possibilité d’imposer à la population des contrôles que celle-ci n’accepterait jamais autrement…»

Au cours de cette même allocution, le membre de la célèbre famille américaine s’est aussi lancé dans une analogie entre la crise actuelle et la montée du nazisme en Allemagne : «Il y a soixante-quinze ans, Hermann Göring [dirigeant de premier plan du parti nazi, ndlr] a témoigné au procès de Nuremberg, et on lui a demandé comment il avait fait pour que les Allemands acceptent tout cela. Et il a dit : « C’est simple, ça n’a rien à voir avec le nazisme. Cela a à voir avec la nature humaine. Vous pouvez le faire dans un régime nazi. Dans un régime socialiste, dans un régime communiste, dans une monarchie et une démocratie. »» Sous un tonnerre d’applaudissements, il a lancé dans la foulée : «La seule chose dont les gouvernements ont besoin pour transformer les gens en esclaves, c’est la peur.»

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COVID19 : STOP au délire collectif selon la United HealthProfessionnals !

« STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur… » un collectif international de professionnels de santé dénonce des « mesures folles et disproportionnées ». Un collectif de professionnels de santé a lancé ce jour un « Message d’alerte international » adressé aux gouvernements et citoyens du monde entier. Parmi les signataires, des médecins de nombreux pays et plusieurs professeurs en médecine dont le microbiologiste Martin Haditsh.

Le collectif revient sur la dangerosité réelle du virus, la manipulation des chiffres, le rôle de l’OMS, les conséquences du confinement ou du port du masque, et demande notamment aux gouvernements de « lever toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens ».

Les professionnels de santé qui le souhaitent sont invités à rejoindre le collectif « United Health Professionnals » à l’adresse join.unitedhealthprofessionals@gmail.com

Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :

1. Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2 (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les preuves. Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc.

Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là.

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La COVID19 & l’OMS : vers un Nouvel Ordre Mondial de type policier ?

L’ONU se prépare-t-elle au « second verrouillage de la société » ? Mesures d’oppression dans le monde entier, obéissance et acceptation… La mondialisation de l’alarmisme. Cela correspond à un programme, un énorme programme sinistre

Sous l’impulsion de l’OMS, le groupe des directeurs médicaux des Nations unies à Genève (UNMD) vient de publier une déclaration de consensus pour le personnel des Nations unies à Genève qui, pour l’essentiel, avertit le personnel des Nations unies des mesures plus strictes à prendre, comme le port du masque au bureau lorsque les distances de 2 mètres ne peuvent être respectées, ainsi que l’augmentation du travail à domicile, alors que ces conditions ont été assouplies en juin dernier. Travailler à domicile signifie séparer les collègues les uns des autres, les relier par Zoom, mais PAS DE CONTACT HUMAIN. C’est le nom du jeu.

L’UNMD fait référence à la nouvelle réglementation du Canton de Genève, basée sur l’affirmation de la Suisse d’une augmentation constante des « infections » à Covid-19. Depuis le début du mois de juillet, les nouveaux « cas » ont dépassé la centaine par jour et ont même dépassé largement les 200 à la fin du mois de juillet et les 250 à la mi-août. Le nombre de tests positifs aurait augmenté régulièrement et souvent de près de 10 % par jour. Aujourd’hui, de manière surprenante – disent-ils – 40 % des « cas » concernent des personnes âgées de 20 à 40 ans. Mais qui contrôle ? – Est-ce un mandat de l’OMS de diversifier les statistiques, afin de mieux justifier la vaccination universelle et un autre verrouillage total ?

Nous savons maintenant que rien de tout cela, les masques, les « cas/infections », la quarantaine, le confinement, la vaccination ou toute autre mesure répressive n’ont rien à voir avec le virus COVID-19. Ce sont des moyens et des instruments permettant au Nouvel Ordre Mondial (NOM) de « former » la population à l’obéissance totale et au contrôle par la superpuissance invisible, ou l’état « profond et sombre ». L’OMS joue un rôle clé dans ces plans infâmes, car elle est toujours considérée par la plupart des gens et des gouvernements comme une autorité, en ce qui concerne la santé mondiale qui, malheureusement, a cessé de l’être il y a des décennies.

Le canton de Genève, où se trouvent d’ailleurs l’OMS et l’ONU, est le « pire » canton de Suisse, comptant pour environ un tiers de toutes les « infections ». C’est ce que disent les autorités suisses. Un porte-parole du ministère suisse de la santé a fait remarquer que « si Genève était un pays séparé, toute personne venant de Genève pour se rendre dans le reste de la Suisse devrait être mise en quarantaine ». C’est effrayant !

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Explosion de Beyrouth & la piste israélienne : un délire conspirationniste ?

NdlR : un avis différent, posté par transparence et pour écouter toutes les thèses. Sans conclusions hâtives pour le moment. Saura-t-on la vérité un jour sur cette curieuse explosion et l’existence d’une arme nouvelle ? Probablement pas… alors… basta ?

Israël détruit Beyrouth-Est avec une arme nouvelle

Le premier Premier ministre israélien a ordonné la destruction d’un entrepôt d’armes du Hezbollah à Beyrouth au moyen d’une arme nouvelle. Celle-ci étant mal connue a provoqué des dégâts considérables dans la ville tuant plus de 100 personnes, en blessant 5 000 et détruisant de nombreux immeubles. Cette fois, il sera difficile à Benjamin Netanyahu de nier.

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Le 27 septembre 2018, Benjamin Netanyahu désigne à la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies l’entrepôt qui explosera le 4 août 2020 comme un dépôt d’armes du Hezbollah.

Le premier Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a autorisé une frappe contre un entrepôt d’armes du Hezbollah au moyen d’une arme nouvelle, testée depuis sept mois en Syrie. On ignore si le second Premier ministre, Benny Gantz, a donné son accord.

La frappe a été conduite, le 4 août 2020, à l’emplacement exact désigné par Benjamin Netanyahu lors de son discours aux Nations Unies, le 27 septembre 2018 [1]. Le Hezbollah avait évacué ses armes de cet entrepôt juste après le discours de Netanyahu.

On ignore ce qu’est l’arme utilisée. Cependant elle a déjà été testée en Syrie depuis janvier 2020. Il s’agit d’un missile dont la tête comporte une composante nucléaire tactique provoquant un champignon de fumée caractéristique des armes nucléaires. Il ne s’agit évidemment pas d’une bombe atomique au sens stratégique.

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Test israélien en Syrie.

Cette arme a été testée en Syrie sur une plaine à la campagne, puis dans le Golfe persique sur les eaux contre des navires militaires iraniens. C’est la première fois qu’elle est utilisée en milieu urbain, dans un environnement particulier qui a fait se réfléchir le souffle et les vibrations sur l’eau et la montagne. Loin de ne détruire que le port de Beyrouth, elle a tué une centaine de personnes, blessé au moins 5 000 autres, et détruit largement la partie Est de la ville (la partie Ouest a été largement protégée par le silo à grains).

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Sur ces photos satellitaires, on distingue la destruction de l’entrepôt du Hezbollah et d’une partie du port.

Israël a immédiatement activé ses réseaux dans les médias internationaux pour masquer son crime et accréditer l’idée de l’explosion accidentelle d’un stock d’engrais. Comme souvent, on désigne de faux coupables, et la machine médiatique internationale répète à satiété ce mensonge en l’absence de toute enquête. Pourtant il y a bien eu un champignon de fumée incompatible avec la thèse d’une explosion d’engrais.

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Le champignon de fumée observé à Beyrouth n’a aucun rapport avec ce qu’aurait provoqué un explosif conventionnel.

De même que ni la Syrie, ni l’Iran n’avaient communiqué sur cette arme lorsqu’ils ont été touchés, les partis politiques libanais ont immédiatement conclu un accord pour ne rien dire afin de ne pas démoraliser leur population. Une enquête a été ouverte, non pas sur la cause de l’explosion, mais sur la responsabilité du personnel du port dans le stockage de ces engrais supposés être la cause de l’explosion. Cependant ce mensonge n’a pas tardé à se retourner contre les partis politiques qui l’on imaginé.

Le Tribunal des Nations Unies pour le Liban, qui devait rendre public son verdict dans l’affaire de l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri, en 2005, a décidé de différer celle-ci de quelques jours. Identiquement dans cette affaire, l’explosion d’une camionnette avait masqué le tir d’un missile comportant une arme nouvelle, comme cette fois l’explosion de nitrate a masqué le tir d’un missile comportant une autre arme nouvelle.

J’avais révélé, cinq ans plus tard, cinq ans trop tard, dans une revue russe la manière dont on avait tué Rafic Hariri [2], tandis que le Hezbollah publiait une vidéo attestant l’implication d’Israël.

Il importe de noter que l’assassinat de 2005 visait un ancien Premier ministre sunnite et que l’attaque de 2020 visait non pas le Hezbollah chiite, mais la Résistance libanaise dans son ensemble.

Cette fois, plusieurs ambassades ont procédé à des relevés, notamment en prélevant des échantillons de grains et des filtres à air d’ambulances s’étant immédiatement rendues sur les lieux. Ils sont d’ores et déjà en cours d’examen dans leurs pays respectifs.

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Ambassades à Jérusalem : la Serbie & le Kosovo candidats !

NdlR : il n’y a pas qu’avec les pays arabes que TRUMP & KUSHNER travaillent pour normaliser les relations avec l’Etat hébreu. Il semblerait que l’Alliance avec plusieurs & beaucoup selon le Prophète Daniel, soit…. globale !

Ambassade serbe à Jérusalem. « La Palestine est victime des ambitions électorales de Trump »

La Serbie a annoncé déménager son ambassade à Jérusalem, en suivant l’exemple américain. La Palestine a vivement critiqué cette décision et se dit « victime des ambitions électorales » de Trump.

La Palestine est devenue la victime des ambitions électorales de Trump, a réagi vendredi Saëb Erakat, secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), peu de temps après l’annonce du transfert de l’ambassade serbe en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem.

L’équipe du président américain Donald Trump fera tout pour assurer sa réélection, peu importe si cela anéantit la paix, a écrit sur Twitter le haut responsable palestinien, en allusion à la présidentielle prévue à l’automne aux États-Unis et à laquelle Trump se représente.

Quelques heures plus tôt, la Serbie était devenue le premier pays européen à suivre l’exemple des États-Unis.

Je remercie mon ami le président de Serbie […] pour la décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël et pour y transférer l’ambassade de son pays, avait déclaré dans un communiqué en hébreu le Premier ministre israélien Netanyahou, précisant que ce transfert allait être fait d’ici juillet 2021.

Israël : Trump annonce que la Serbie va déménager son ambassade à Jérusalem

La Serbie devient le premier pays européen à suivre l’exemple des Etats-Unis, qui avaient transféré leur ambassade en 2018. Cette annonce devrait satisfaire l’électorat évangélique du candidat républicain à deux mois de la présidentielle américaine.

COVID19 VS Rabbinisme : inconscience ou résistance aux lois liberticides ?

NdlR : difficile d’y voir clair dans ce dossier. Est-ce légitime de s’opposer aux lois sanitaires au prétexte de la Torah ? Vous avez 4 heures…. :-)

Chaim Kanievsky appelle les étudiants de yeshiva à ne pas se faire dépister. Après le pic des infections dans les yeshivot, le rabbin ultra-orthodoxe veut éviter fermetures et quarantaines, qui causeraient des « dommages massifs à l’étude de la Torah »

Le rabbin Chaim Kanievsky dans sa maison à Bnei Brak, le 15 avril 2018. (Yaakov Naumi/Flash90)

Le rabbin Chaim Kanievsky dans sa maison à Bnei Brak, le 15 avril 2018. (Yaakov Naumi/Flash90)

Alors que des centaines d’étudiants de yeshiva ont contracté le coronavirus ces derniers jours, un grand rabbin de la communauté ultra-orthodoxe a ordonné aux étudiants de ne pas se faire dépister – pour éviter les fermetures d’établissements et les quarantaines de masse.

Le rabbin Chaim Kanievsky invoque une « crainte de dommages massifs à l’étude de la Torah » pour son ordre.

Selon le site d’information Ynet, quelque 800 étudiants de yeshiva se sont avérés positifs à la Covid-19 ces derniers jours, ce qui a conduit à l’ordre de quarantaine pour des milliers d’entre eux.

Selon la loi, les Israéliens doivent se mettre en quarantaine pendant 14 jours après avoir été exposés à une personne testée positive pour le coronavirus.

Selon les reportages des médias en hébreu, le rabbin Chaim Kanievsky a déclaré mardi que l’envoi d’étudiants en quarantaine légalement requise pourrait « porter atteinte à l’étude de la Torah, Dieu nous en préserve ».

Kanievsky, considéré comme l’un des dirigeants les plus influents de la branche non-hassidique du judaïsme ultra-orthodoxe en Israël, a ajouté qu’« il est du devoir des dirigeants de yeshiva de favoriser [la poursuite de] l’étude d’une manière qui ne soit pas dangereuse », sans développer.

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Les réactions arabes à l’accord de Paix

« Une trahison méprisable » : l’AP fustige Abou Dhabi, rappelle son envoyé. L’Egypte, le Bahreïn et un ministre saoudien saluent l’accord, tandis que la Jordanie adopte un ton plus froid

Le président de l'AP, Mahmoud Abbas, dirige une réunion de dirigeants à son siège, dans la ville de Ramallah en Cisjordanie, le 19 mai 2020. (Alaa Badarneh/Pool via AP)

Le président de l’AP, Mahmoud Abbas, dirige une réunion de dirigeants à son siège, dans la ville de Ramallah en Cisjordanie, le 19 mai 2020. (Alaa Badarneh/Pool via AP)

Jeudi, l’Autorité palestinienne (AP) a appelé les Emirats arabes unis à « immédiatement annuler » son accord visant à normaliser ses relations avec Israël. L’AP a qualifié l’accord de « décision méprisable ».

Le président de l’AP Mahmoud Abbas a convoqué une réunion d’urgence en réponse à l’accord et a rappelé son ambassadeur aux Emirats arabes unis pour protester contre l’accord.

Abou Dhabi a cherché à présenter son choix comme bénéficiant avant tout aux Palestiniens, puisqu’il repousse et annule peut-être les projets d’Israël d’annexer certaines zones de la Cisjordanie.

« Les responsables [de l’AP] affirment que les Emirats arabes unis, ou toute autre partie, n’ont aucun droit de parler au nom du peuple palestinien, et n’autorisent personne à intervenir dans les affaires palestiniennes ou à parler en leur nom sur leurs droits légitimes dans leur foyer », a déclaré Abu Rudeineh.

Abu Rudeineh a déclaré que l’Autorité palestinienne avait demandé une réunion urgente de la Ligue arabe et de l’Organisation de coopération islamique (OCI) pour dénoncer l’accord.

Abbas et le chef de la branche politique du Hamas, Ismail Haniyeh, ont parlé au téléphone jeudi soir pour discuter de l’accord entre les Emirats arabes unis et Israël.

L’Autorité palestinienne a rappelé son ambassadeur aux Emirats arabes unis en signe de protestation contre l’accord, a déclaré le ministre des Affaires étrangères de l’AP Riyad al-Maliki dans un communiqué.

Israël et les Emirats arabes unis ont annoncé l’accord jeudi soir. Ils « ont accepté la normalisation complète des relations entre Israël et les Emirats arabes unis », notait le communiqué commun.

« En conséquence de cette percée diplomatique, et à la demande du Président Trump avec le soutien des Emirats arabes unis, Israël va suspendre sa déclaration de souveraineté sur des zones délimitées dans l’accord de ‘Vision pour la Paix’ du Président et va maintenant focaliser ses efforts sur l’élargissement des liens avec d’autres pays dans le monde arabe et musulman ».

Des officiels des Emirats arabes unis ont commenté l’accord pour « établir une feuille de route vers le lancement de la coopération commune », comme l’a dit le ministre emirati des Affaires étrangères Anwar Gargash. Ils ont souligné qu’il mettrait un terme à l’annexion israélienne et relancerait le processus de paix.

Des officiels de haut rang du Fatah et de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) ont rapidement publié des communiqués condamnant l’accord.

« Israël a été récompensé pour ne pas avoir déclaré ouvertement ce qu’il fait à la Palestine illégalement et constamment depuis le début de l’occupation », a déclaré Hanan Ashrawi, membre de la commission exécutive de l’OLP; qui a également qualifié l’accord de trahison.

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La mairie de Tel AVIV aux couleurs des 4 chevaux de l’Apocalypse !

La mairie de Tel Aviv s’illumine aux couleurs du drapeau des Emirats arabes unis : C’était la deuxième fois ce mL'accord EAU-Israël sera signé d'ici trois semaines à Washington ...ois que le bâtiment de la municipalité s’illuminait aux couleurs du drapeau d’un Etat arabe, après celui du Liban

Le bâtiment de la mairie de Tel Aviv est allumé aux couleurs du drapeau des Emirats arabes unis e 13 août 2020, après l'annonce de l'accord de normalisation des liens entre Israël et les Emirats arabes unis scellé par les Etats-Unis. (Municipalité Tel Aviv/Twitter)

Nouvelle ère », « étape historique », « trahison »… Les réactions ... Le drapeau des émirats Arabes Unis – le « bleu » est en fait du « blanc »

Le bâtiment de la mairie de Tel Aviv est allumé aux couleurs du drapeau des Emirats arabes unis e 13 août 2020, après l’annonce de l’accord de normalisation des liens entre Israël et les Emirats arabes unis scellé par les Etats-Unis. (Municipalité Tel Aviv/Twitter)

Jeudi soir, les fenêtres de la mairie de Tel Aviv ont été allumées aux couleurs des drapeaux d’Israël et des Emirats arabes unis afin de célébrer l’accord de normalisation scellé par les deux pays quelques heures plus tôt.

La municipalité a tweeté une photo des drapeaux, qui ont illuminé la façade du bâtiment à tour de rôle. Il y avait également écrit en arabe « Nous vous envoyons de l’amour depuis Tel Aviv ».

C’était la deuxième fois ce mois que le bâtiment de la municipalité s’illuminait aux couleurs du drapeau d’un Etat arabe. Après la terrible explosion au port de Beyrouth le 4 août, les fenêtres de la mairie ont été illuminées aux couleurs du drapeau libanais en message de solidarité.

Cette décision avait fait l’objet de critiques de la part d’élus de droite et de commentateurs qui estimaient qu’il était déplacé de rendre hommage à un Etat ennemi.

Tweetant une photo du drapeau émirati sur le bâtiment de la municipalité jeudi, le maire de Tel Aviv Ron Huldai a noté « Je félicite le Premier ministre @netanyahu sur deux grandes réussites de #paix avec les Emirats arabes unis et pour avoir effectivement annuler le projet d’annexion. Les deux actions sont importantes pour la sécurité de l’Etat d’@Israel ».

Souligner le « succès » de l’abandon du projet d’annexion semblait être une pique lancée au Premier ministre par le maire de gauche, critique de Netanyahu.

Netanyahu a en effet déclaré que l’annexion serait « temporairement » repoussée en faveur de l’accord de normalisation. Pourtant, de nombreux analystes estiment qu’il serait difficile de remettre cette question sur la table si le président américain Donald Trump n’était pas réélu en novembre

 

Accord de Paix Israël – Emirats Arabes Unis : vers une Alliance globale. Une Bonne Nouvelle ?

NdlR : c’est d’abord une victoire politique pour les 2 dirigeants qui doivent penser à se faire réélire : Bibi & Donald TRUMP. Ils réussissent là où leurs prédécesseurs ont échoué. C’est ensuite un accord économique puissant. Puis, une sérieuse baffe à l’Iran et ses satellites terroristes qui se retrouvent isolés. Humainement, c’est bien joué. Bibliquement, le spectre d’une alliance globale avec plusieurs selon Daniel prend forme….

L’accord Israël-EAU bouleverse la diplomatie, ouvre bel et bien une nouvelle ère : Netanyahu donne tort à tous ceux qui ont soutenu que la normalisation avec le monde arabe serait impossible sans une résolution du conflit palestinien – sans rien céder en retour

Des hommes émiratis exécutent une danse traditionnelle devant des drapeaux à l’effigie du prince héritier d'Abou Dhabi, le cheikh Mohammed bin Zayed al-Nahyan, le 9 février 2016 (AFP / Karim Sahib / File)

Kushner : l’homme par qui la Paix Globale est inévitable ?

NdlR : Vers une solide Alliance avec plusieurs au Moyen-Orient comme écrivait le Prophète Daniel ?

Après l’accord Israël-EAU, Kushner annonce que d’autres pays arabes suivront.  Kushner déclare que certains pays « sont contrariés de ne pas être les premiers », et que les efforts, engagés il y a 18 mois, ont été précipités par l’approche de l’annexion

Jared Kushner, conseiller supérieur à la Maison Blanche, fait une conférence de presse dans la salle James Brady à la Maison Blanche à Washington, le jeudi 13 août 2020, après que le président Donald Trump a annoncé que les Émirats arabes unis et Israël avaient convenu d'établir des relations diplomatiques complètes. (Photo AP / Andrew Harnik)

L’homme providentiel de la Paix ?

Jared Kushner, conseiller supérieur à la Maison Blanche, fait une conférence de presse dans la salle James Brady à la Maison Blanche à Washington, le jeudi 13 août 2020, après que le président Donald Trump a annoncé que les Émirats arabes unis et Israël avaient convenu d’établir des relations diplomatiques complètes. (Photo AP / Andrew Harnik)

WASHINGTON – Le gendre et conseiller supérieur du président américain Donald Trump, Jared Kushner, a déclaré jeudi que d’autres pays arabes pourraient annoncer prochainement la normalisation de leurs relations avec Israël, à la suite de l’accord négocié par les États-Unis entre Israël et les Émirats arabes unis.

« Nous espérons que ça va briser le tabou, et qu’Israël va désormais pouvoir normaliser ses relations avec d’autres pays », a déclaré Kushner lors d’une conférence de presse peu après que Trump ait annoncé l’accord ; il a ajouté qu’il y avait de « grandes chances » qu’un autre accord israélo-arabe s’effectue ce mois-ci.

« Il y en a même quelques-uns qui sont contrariés de n’avoir pas été les premiers », a déclaré Kushner. « Mais … nous travaillerons dur pour obtenir à de plus en plus de normalisations au cours des prochaines années. » « Je pense que ça [l’accord] les rend de plus en plus inévitables », a-t-il poursuivi. « Mais cela nécessite d’instaurer de la confiance et de faciliter le dialogue. Espérons que cela facilite les choses pour les autres. »

Lorsqu’on lui a demandé quels autres pays étaient dans la partie, il a répondu : « Qui est le prochain ? Vous le découvrirez bientôt. »

NdlR : Le Bahreïn est bien placé pour suivre les EAU… mais Oman accélère également… les Palestiniens fulminent d’être abandonnés par les arabes. L’Iran est isolé, TRUMP a bien joué et marque des points politiques. 

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Qui est MBZ – Mohammed Ben Zayed des EAU ? Ses liens avec MBS d’Arabie Saoudite

« MBZ » : l’homme fort des Emirats qui normalise les liens avec Israël : le cheikh Mohammed ben Zayed Al-Nahyane est le premier leader du Golfe à annoncer une normalisation avec Israël

Le prince héritier d'Abou Dhabi Mohammed ben Zayed Al-Nahyane, en 2008. (Crédit : Imre Solt - CC BY-SA 3.0, via WikiCommons)

MBZ – EAU

Le prince héritier d’Abou Dhabi Mohammed ben Zayed Al-Nahyane, en 2008. (Crédit : Imre Solt – CC BY-SA 3.0, via WikiCommons)

Prince héritier d’Abou Dhabi, le cheikh Mohammed ben Zayed Al-Nahyane, premier leader du Golfe à annoncer une normalisation avec Israël, est le dirigeant de facto des Emirats arabes unis, dont il est l’instigateur de la montée en puissance diplomatique.

Troisième fils du cheikh Zayed ben Sultan Al-Nahyane, le fondateur de la fédération des Emirats, « MBZ » est déjà aux commandes lorsqu’un accident cérébral en janvier 2014 écarte le président actuel, cheikh Khalifa, de la gestion quotidienne du pouvoir.

Une décennie plus tard, plusieurs pays du Golfe se sont discrètement rapprochés d’Israël, face à l’ennemi commun iranien.

Mais les Emirats de « MBZ » sont les premiers à franchir le pas d’une normalisation, dans le cadre d’un accord qualifié d’ »historique » par les Etats-Unis, qui l’ont négociée.

Né à Abou Dhabi le 11 mars 1961, Cheikh Mohammed est nommé prince héritier d’Abou Dhabi à la mort de son père, en novembre 2004.

Formé dans la célèbre académie militaire britannique de Sandhurst, dont il est sorti en 1979, il a rapidement gravi les échelons des forces armées pour devenir commandant des forces aériennes, chef d’état-major adjoint et enfin chef d’état-major en janvier 1993. Il a le grade de général et assume de fait le commandement des forces armées. En sa qualité d’homme fort des Emirats, il a tissé des liens dans presque toutes les capitales, en particulier en Occident.

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Vaccin Covid-19 : 90%, 70%, 50% ou 30% d’efficacité ? Faites vos jeux…..

Aucune garantie qu’un vaccin Covid sera largement efficace, selon un chercheur. « Si nous sommes chanceux, nous aurons un vaccin efficace à 90 %, mais si nous sommes moins chanceux, il pourrait l’être à 30 % », prévient Cyrille Cohen

Un médecin présente un vaccin prospectif pour la prévention et la lutte contre les infections par coronavirus. (iStock)Alors même que les scientifiques du monde entier s’affairent à mettre au point un vaccin contre la Covid-19, un membre nouvellement nommé du comité national israélien pour les vaccins a averti qu’il n’y a aucune garantie que ceux-ci seront largement efficaces.

« Si nous sommes chanceux, nous aurons un vaccin efficace à 90 %, mais si nous sommes moins chanceux, il pourrait l’être à 30 %, et si nous sommes malchanceux, nous pourrions ne pas avoir de vaccin du tout », a averti Cyrille Cohen, chef du laboratoire d’immunothérapie de l’université Bar Ilan. « Nous ne savons vraiment pas », a-t-il souligné.

Cyrille Cohen, nouveau membre du comité consultatif pour les vaccins contre le coronavirus au ministère de la Santé, a déclaré au Times of Israel qu’Israël est susceptible d’adopter un vaccin même si les taux de protection sont faibles. « Nous prendrons tout ce qu’il y a », a-t-il dit.

Un vaccin peu efficace réduirait l’incidence de la Covid-19, mais ne procurerait pas l’immunité dite collective, que les responsables de la santé recherchent afin de minimiser la menace du virus.

Pour l’immunité collective, un vaccin d’une efficacité d’environ 80 % serait nécessaire, selon M. Cohen, « mais si vous avez des anti-vaccins qui refusent de se faire vacciner, cela réduirait l’efficacité de la protection communautaire ».

Pour surmonter cette éventualité, M. Cohen pense qu’il est possible que les médecins finissent par les administrer deux fois, en donnant le premier vaccin disponible lorsqu’il est prêt, suivi d’un autre vaccin différent lorsqu’il devient disponible.

Il pense que cela souligne l’importance des efforts d’Israël pour fabriquer un vaccin – y compris une récente percée à l’Institut israélien de recherche biologique – alors même que le pays a signé un accord pour en acheter un développé par la société de biotechnologie américaine Moderna.

« Un scénario est que nous allons recevoir le vaccin Moderna et ensuite celui de l’Institut biologique », a-t-il dit, notant qu’il existe déjà des précédents, comme la polio, pour l’administration de deux vaccins contre la même maladie.

Un autre expert israélien, le professeur Yehuda Carmeli, a déclaré au Times of Israel le mois dernier que si un vaccin serait probablement disponible dans un an, « les vaccins sont généralement beaucoup moins efficaces chez les personnes âgées et chez les patients immunodéprimés – et ce sont ces personnes qui ont en fait le plus besoin de protection ». Carmeli, le directeur de l’Institut national israélien pour la résistance aux antibiotiques et le contrôle des infections, a ajouté : « Je ne pense pas que nous serons en mesure de vacciner une partie suffisante de la population pour obtenir une immunité collective juste par le vaccin ».

Des essais de vaccins sont en cours dans différents pays, mais M. Cohen a déclaré lundi qu’il y a encore de nombreuses inconnues.

« Nous ne savons pas grand-chose sur le comportement à long terme du virus », a-t-il déclaré, ajoutant qu’étant donné que les vaccins fonctionnent en induisant des réponses immunitaires dans l’organisme, il y a des incertitudes supplémentaires quant à la durée pendant laquelle cela s’avérera efficace contre le coronavirus.

« Les gens doivent comprendre que pour connaître l’étendue de la nature protectrice d’un vaccin, il faut l’utiliser à grande échelle, à l’échelle d’une population, pendant une longue période », a-t-il souligné.

Certains experts en maladies infectieuses sont plus confiants que M. Cohen. Shlomo L. Maayan, chef de la division des maladies infectieuses au centre médical Barzilai à Ashkelon, a indiqué au Times of Israel que l’efficacité d’un vaccin devrait « idéalement être de 85 % à 90 % », ce qui, selon lui, est une perspective réaliste.

« Si un vaccin est efficace à 40 %, je ne pense pas qu’il sera mis sur le marché du tout », a-t-il commenté.

 

Le Prophète Mahomet n’était pas opposé aux Juifs, selon un éminent chercheur saoudien

NdlR : ce qui consolide les thèses modernes  d’un Islam bâti sur les ruines d’un judaïsme hors sol et privé de son centre cultuel, Jérusalem.

Un chercheur saoudien publie un article dans une revue israélienne, une première. L’Université de Tel Aviv salue la publication « sans précédent » d’un universitaire de la King Saud University, qui souhaite améliorer l’image du prophète Mahomet aux yeux d’Israël

L'université Roi Saud en Arabie Saoudite, vidéo téléchargée le 14 janvier 2018. (Capture d'écran : YouTube)

L’université Roi Saud en Arabie Saoudite, vidéo téléchargée le 14 janvier 2018. (Capture d’écran : YouTube)

Un chercheur saoudien de premier plan a fait publier un article dans un journal israélien. Lundi, l’Université de Tel Aviv a salué cette décision comme étant  « inédite ».

Le Prof. Mohammed Ibrahim Alghbban, chef des langues et civilisations du Proche Orient et des études hébraïques au département des langues modernes et de traduction de l’université Roi Saud de Ryad, a écrit un article sur les bonnes relations du prophète Mahomet avec les Juifs. Selon lui, le fondateur de l’islam ne s’est pas opposé aux Juifs sur des bases religieuses, mais plutôt politiques.

Selon l’université, l’article a pu être publié après que le responsable de la revue, le professeur Gideon Kouts, a rencontré M. Alghbban lors de plusieurs conférences universitaires et d’une visite en Arabie Saoudite en 2015.

Dans un avant-propos à l’article, Alghbban a déclaré qu’il souhaitait corriger des fausses représentations du prophète, en affirmant que les lettres n’avaient jamais été traduites en hébreu auparavant.

« Les hypothèses erronées sur les origines de l’islam, proposées par les chercheurs en études orientales au siècle dernier – dont certaines ont été écrites en hébreu – ont conduit à une compréhension déformée des manuscrits, à une méthodologie erronée et à des influences négatives sur les chercheurs en études du Moyen-Orient parlant hébreu », a écrit Alghbban.

« Accuser l’islam et le prophète Mahomet de discours de haine et de racisme contre les tribus juives du Hejaz est une erreur. Mahomet a traité de la même manière tous les groupes sociaux à Al Madinah et dans les autres lieux sous son contrôle, sans distinction de race et de religion. Les déformations dans les recherches sont dues au fait que ses lettres n’ont jamais été traduites en hébreu ».

L’article était « particulièrement important » pour que M. Alghbban ait choisi de le publier dans un journal israélien, selon le communiqué de presse

« J’espère que cette coopération universitaire est une nouvelle étape vers la coopération économique et politique », a déclaré le professeur Raanan Rein, directeur de l’Institut Shalom Rosenfeld.

Comme la plupart des pays arabes, l’Arabie Saoudite n’a pas de relations diplomatiques avec Israël, mais les relations clandestines ont augmenté ces dernières années entre Jérusalem et Ryad, principalement axées sur les questions de sécurité, surtout en raison de leur inimitié mutuelle envers l’Iran.

Israël a conclu des accords de paix avec seulement deux pays arabes – la Jordanie et l’Égypte, son contrôle du territoire palestinien ayant longtemps été un facteur empêchant la conclusion d’accords similaires avec le reste du monde arabe.

Toutefois, ces dernières années, Israël a cherché à établir des relations avec les pays du Golfe.

En janvier, le ministre israélien de l’Intérieur, Aryeh Deri, a signé un décret permettant aux Israéliens de se rendre en Arabie saoudite pour participer à des réunions d’affaires ou pour rechercher des investissements, à condition qu’ils aient une invitation d’un organisme officiel et qu’ils se soient occupés des formalités administratives nécessaires pour entrer dans le pays.

Il permet aussi officiellement aux citoyens musulmans d’Israël de se rendre dans la ville saoudienne de La Mecque pour effectuer le pèlerinage religieux du hajj ou de la umrah, avait déclaré le ministère dans un communiqué. Les pèlerins israéliens se déplacent généralement pour le hajj en utilisant des papiers jordaniens temporaires.

Jusqu’à présent, la loi israélienne interdisait aux citoyens de se rendre dans de nombreux pays arabes, dont l’Arabie saoudite, sans autorisation expresse du ministre de l’Intérieur, et les visites de plus en plus fréquentes des hommes d’affaires israéliens étaient généralement tenues secrètes.

Le mois dernier, le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faisal bin Farhan, a averti que le projet d’annexion de certaines parties de la Cisjordanie par le Premier ministre Benjamin Netanyahu représenterait une « dangereuse escalade » qui menace les chances de reprise du processus de paix.

 

De l’ex-cathédrale Sainte-Sophie d’Istambul à la mosquée Al-Aqsa de Jérusalem…

NdlR : une surenchère rhétorique pour la lutte interne au titre de Calife des croyants, qui cache une réelle perte de vitesse et de pouvoir sur l’esplanade des mosquées à Jérusalem ! Dans l’attente, nous n’iront plus à Sainte-Sophie, ni à Istambul… BOY COTT !

La CoP fustige Erdogan qui a promis de « libérer al-Aqsa ». L’organisation-cadre américaine Conference of Presidents estime que les déclarations du chef turc, lors de la réouverture de Sainte-Sophie, ont été « incendiaires » et « offensants »

Le président turc Recep Tayyip Erdogan s'exprime lors d'une conférence de presse au complexe présidentiel d'Ankara, le 29 juin 2020. (Crédit : Adem ALTAN / AFP)

Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’exprime lors d’une conférence de presse au complexe présidentiel d’Ankara, le 29 juin 2020. (Crédit : Adem ALTAN / AFP)

L’organisation-cadre de la CoP (Conference of Presidents of Major American Jewish Organizations) a condamné, mardi, les propos tenus par le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui a déclaré que sa décision de rouvrir la basilique Sainte-Sophie après l’avoir transformée en mosquée était un signe précurseur de la « libération » de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem.

« Nous sommes horrifiés par les propos incendiaires et offensants tenus par le président turc Recep Tayyip Erdogan… qui impliquent qu’il cherche à prendre le contrôle des Lieux saints dans la Vieille Ville de Jérusalem qui accueille la mosquée al-Aqsa », a fait savoir la CoP, qui représente 53 organisations juives, dans un communiqué.

Selon le quotidien pro-gouvernemental turc Yeni Şafak, le dirigeant a indiqué que « la résurrection de Sainte-Sophie est le signe annonciateur de la libération de la mosquée Al-Aqsa et marque la volonté des musulmans à laisser les jours difficiles derrière eux ».

La Conference of Presidents a précisé que « cette rhétorique scandaleuse concernant la mosquée Al-Aqsa peut inciter à la violence contre Israël et ses citoyens – elle le fait déjà – et elle viendra s’ajouter aux tensions dans la région. Nous la condamnons avec force et nous recommandons vivement au président Erdogan de désavouer ces paroles et agissements incendiaires ».

Jérusalem se trouvait, dans le passé, sous l’autorité de l’empire Ottoman, l’ancêtre de la république de Turquie, jusqu’en 1917, année où la ville avait été capturée par les Britanniques pendant la Première guerre mondiale. Erdogan, un Islamiste, s’est fréquemment insurgé contre Israël concernant la mosquée Al-Aqsa. Cette dernière, qui est le troisième site le plus saint de l’islam, trône sur le mont du Temple, lieu le plus vénéré du judaïsme à Jérusalem, qui avait accueilli les deux temples bibliques.

La décision de reconvertir Sainte-Sophie – cathédrale qui avait été transformée en mosquée après la conquête d’Istanbul par l’empire Ottoman et qui, depuis 86 ans, accueille un musée – a consterné de nombreux chrétiens orthodoxes et beaucoup de pays, dont la France, les Etats-Unis et la Grèce.

Le Conseil d’Etat, le plus haut tribunal administratif de Turquie, a accédé vendredi à la requête de plusieurs associations en révoquant une mesure gouvernementale de 1934 conférant à Sainte-Sophie le statut de musée. Quelques heures plus tard, Erdogan avait signé un décret confiant Sainte-Sophie aux soins de la Présidence des Affaires religieuses de Turquie.

 

Soutien des évanlégiques US à TRUMP conditionné à l’annexion de la Cisjordanie ?

Soutien évangélique pour Trump incertain en raison de son silence sur l’annexion. Un important évangélique américain estime que le manque de soutien par Trump du projet d’annexion de Cisjordanie pourrait lui coûter l’élection, ce que d’autres contestent

Des responsables religieux locaux prient aux côté du président américain Donald Trump au Ministère international du Roi Jésus lors d'un meeting "Évangéliques pour Trump" à Miami en Floride, el 3 janvier 2020. (Scott McIntyre/ Pour The Washington Post via Getty Images, JTA)

Des responsables religieux locaux prient aux côté du président américain Donald Trump au Ministère international du Roi Jésus lors d’un meeting « Évangéliques pour Trump » à Miami en Floride, el 3 janvier 2020. (Scott McIntyre/ Pour The Washington Post via Getty Images, JTA)

JTA — L’annexion potentielle par Israël de zones de la Cisjordanie n’est ni le sujet de discussion principal actuel des Juifs américains, ni même celui de la plupart des Israéliens.

Mais certains Chrétiens évangéliques américains espèrent bien en faire un sujet porteur pour les électeurs de leur communauté lors de l’élection présidentielle de cet automne.

« Cette année, Israël sera l’élément principal qu’ils emporteront avec eux dans l’isoloir, et je vais vous dire pourquoi », a déclaré Evans à l’agence JTA cette semaine. « Ce qui unit tous les évangéliques sur Israël est la Genèse 12:3 : ‘Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront.’ J’ai 73 millions d’évangéliques rien que sur la page Facebook ‘Equipe de prière Jérusalem’. Je les connais… La seule chose qu’ils pensent pouvoir faire pour que Dieu les bénisse, c’est de bénir la terre d’Israël. »

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Afrique du Sud : le chef de la Cour suprême prie pour la paix de Jérusalem

Le chef de la Cour suprême d’Afrique du Sud persiste en « priant pour Jérusalem ». Le juge Mogoeng Mogoeng déclare sous serment que l’obligation religieuse de prier pour la paix et de ne pas haïr Israël n’est pas une prise de position politique

Le président sud-africain Cyril Ramaphosa, (à droite), prête serment aux côtés du président de la Cour suprême, Mogoeng Mogoeng, (à gauche), au stade Loftus Versfeld de Pretoria, en Afrique du Sud, le samedi 25 mai 2019. (Photo AP)

Le président sud-africain Cyril Ramaphosa, (à droite), prête serment aux côtés du président de la Cour suprême, Mogoeng Mogoeng, (à gauche), au stade Loftus Versfeld de Pretoria, en Afrique du Sud, le samedi 25 mai 2019. (Photo AP)

Le président de la Cour suprême d’Afrique du Sud a justifié les commentaires pro-Israël qu’il a faits lors d’une conférence en ligne le mois dernier et pour lesquels il a été fortement critiqué par les politiciens locaux et les activistes pro-palestiniens, affirmant qu’il ne faisait que remplir ses devoirs religieux en plaidant pour la paix et en « priant pour Jérusalem ».

Dans une déclaration déposée sous serment lundi auprès du service de police sud-africain, Mogoeng Mogoeng a également fait valoir que si les juges n’ont pas le droit de se prononcer sur les controverses politiques, cela ne s’applique qu’aux questions qui sont justiciables dans le pays et ne l’empêche pas de commenter de manière générale les questions de politique étrangère qui ne seront jamais portées devant les tribunaux sud-africains.

Israël : à nouveau dans l’impasse politique

L’opposition va présenter un projet de loi visant à disqualifier Netanyahu. Gantz exhorte à soutenir l’initiative suite à l’impasse budgétaire et le risque d’élections ; Lapid: « Tout ce qui intéresse » le Premier ministre, ce sont ses accusations pénales

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu le 11 mars 2020 (à gauche) ; le leader de Yesh Atid-Telem Yair Lapid, en décembre 2019. (Miriam Alster/FLASH90)Les partis d’opposition se sont engagés à présenter cette semaine un projet de loi qui empêcherait un membre de la Knesset mis en accusation de former un gouvernement, ce qui empêcherait le Premier ministre Benjamin Netanyahu de tenter de former une nouvelle coalition si une autre élection avait lieu prochainement.

Cette décision, annoncée samedi et dimanche, est intervenue alors que la réunion hebdomadaire du cabinet a été annulée en raison d’un profond désaccord entre le parti Likud de Netanyau et Kakhol lavan du ministre de la Défense Benny Gantz sur le budget de l’État, qui risque de renvoyer le pays aux urnes.

« Le fait qu’il n’y ait pas eu de réunion du cabinet aujourd’hui et que nous galopions vers des élections parce que le Premier ministre a des accusations [contre lui] et que c’est tout ce qui l’occupe est une honte totale », a déclaré dimanche le chef de l’opposition Yair Lapid, qui dirige le parti Yesh Atid-Telem, dans un communiqué.

Il a déclaré que le projet de loi visant à disqualifier Netanyahu serait voté mercredi.

Faisant référence à la crise économique provoquée par la pandémie, il a ajouté : « Les gens n’ont rien à manger, les entreprises ferment. La situation ne peut pas continuer ainsi. »

La veille, le député Nitzan Horowitz, chef du parti de gauche Meretz, avait également déclaré qu’il déposerait un tel projet de loi.

« Il n’est pas possible qu’un accusé gère un pays entier selon ses caprices et ses intérêts en matière judiciaire », a déclaré M. Horowitz. « L’actuelle Knesset a une majorité pour une telle loi, et elle peut empêcher la tenue d’une quatrième élection » (depuis avril 2019).

Netanyahu est jugé pour corruption, fraude et abus de confiance dans trois affaires criminelles. Il nie tout acte répréhensible.

 

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Evangéliques chrétiens & Ultra-orthodoxes juifs : pourquoi sont-ils si duremement touchés ?

 3 villes ultra-orthodoxes moins peuplées ont chacune plus de cas que Tel Aviv : Il s’agit de Beit Shemesh, Elad et Modiin Illit, dont certains habitants sont accusés de ne pas suivre les mesures

Des policiers ferment des synagogues et donnent des amendes aux Juifs Haredi dans le quartier de Boukharim à Jérusalem, suite aux restrictions imposées par le gouvernement dans le cadre des efforts pour contenir la propagation du coronavirus, le 6 avril 2020. (Yonatan Sindel/Flash90)

Des policiers ferment des synagogues et donnent des amendes aux Juifs Haredi dans le quartier de Boukharim à Jérusalem, suite aux restrictions imposées par le gouvernement dans le cadre des efforts pour contenir la propagation du coronavirus, le 6 avril 2020. (Yonatan Sindel/Flash90)

La communauté ultra-orthodoxe d’Israël continue d’être affectée de manière disproportionnée par l’épidémie de coronavirus, ont montré les données épidémiologiques publiées jeudi par le ministère de la Santé.

Les villes de Beit Shemesh, Elad et Modiin Illit ont chacune plus de cas actifs que Tel Aviv, le deuxième centre de population du pays, selon l’ensemble des données.

Tel Aviv, avec sa population de 450 192 habitants en 2018, compte actuellement 202 cas actifs, tandis que Beit Shemesh en compte 320, Elad 243 et Modiin Illit 252. Ces trois villes ont une population combinée de seulement 241 380 habitants.

Au début de ce mois, un haut fonctionnaire du ministère de la Santé aurait demandé que Elad et Modiin Illit soient déclarés zones sous quarantaine, permettant ainsi au gouvernement de limiter davantage les déplacements dans ces endroits afin de limiter la propagation du virus. Finalement, de telles mesures ont été déclarées pour Bnei Brak, la plus grande ville ultra-orthodoxe d’Israël, et des quartiers Haredi à Jérusalem.

De nombreux membres de la communauté ultra-orthodoxe ont tardé à respecter les règles de distanciation sociale et ont d’abord résisté à la fermeture des écoles et des synagogues, ce qui a entraîné des taux de contamination particulièrement élevés.

Certains membres de mouvements extrémistes ont continué à ignorer les réglementations sanitaires et se sont heurtés aux forces de sécurité qui tentaient de faire respecter les normes.

La capitale Jérusalem est toujours en tête du pays, avec 2 341 cas actifs, la plupart situés dans les quartiers de Haredi. Elle est suivie par Bnei Brak avec 1 753 cas. La majorité des villes figurant dans la liste des dix premiers cas de contamination par habitant sont majoritairement ultra-orthodoxes.

Depuis le début de la pandémie, Israël a connu 14 592 cas cumulés de coronavirus, dont 5 334 se sont rétablis depuis et 107 sont actuellement sous respirateur. Il y a eu 191 décès.

La semaine dernière, le gouvernement a assoupli les mesures de quarantaine d’urgence bloquant l’entrée et la sortie de Bnei Brak et de certaines parties de Jérusalem, et a levé d’autres restrictions dans tout le pays.

Le mois dernier, la Douzième et la Treizième chaîne ont toutes deux indiqué que les personnes ultra-orthodoxes représentent environ la moitié des patients atteints de coronavirus traités dans les principaux hôpitaux du pays.

La taille importante des familles Haredi et le fait que beaucoup de leurs communautés sont situées dans certaines des zones urbaines les plus denses d’Israël ont également rendu la lutte contre le virus extrêmement difficile.

 

 

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