Camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk en Syrie : des arabes décapitent des arabes… aucun intérêt pour les médias occidentaux !

Assad savoure sa vengeance : Daesh broie le Hamas à YarmoukYARMOUK :  personne n’en parle dans les médias, aucune association ONG, pro palestinienne et antisémite ne s’élève pour dénoncer le massacre, Les arabes tuent des arabes et alors ?  Cela n’a d’intérêt que quand les méchants Juifs sont à la manœuvre ! 

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Le rapprochement d’Obama avec l’Iran et ses alliés moyen-orientaux a provoqué un nouveau virage bien sinistre, dans le cadre de la guerre en Syrie, alors qu’elle entre dans sa 5ème année sans le moindre répit. Ce conflit semé d’atrocités voit 16.000 Palestiniens piégés dans d’horribles conditions, dans le camp de réfugiés de Yarmouk, près de Damas, et pris en étau par deux ennemis : l’Etat Islamique et l’armée du Président Bachar al Assad. Des milliers de civils sont pris au piège dans le camp de Yarmouk, dans le sud de Damas, assiégé par le régime et presque entièrement aux mains de jihadistes, a annoncé un responsable de l’opposition syrienne samedi : « Les habitants du camp sont pris entre la peste et le choléra », a dénoncé Ayman Abou Hachem, responsable de la commission des réfugiés palestiniens de l’opposition syrienne. « Le camp est cerné par le régime, et à l’intérieur les forces de l'(organisation Etat islamique) EI ont presque tout saisi ».

L’EI a lancé mercredi l’assaut sur Yarmouk. Repoussés le lendemain par des combattants palestiniens, les jihadistes ont finalement repris le terrain perdu, et avancé au point de détenir 90% du camp, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).  Le camp de réfugiés palestiniens, qui compte encore quelque 18.000 habitants et est situé à environ 7 km du centre de la capitale syrienne, est assiégé depuis plus d’un an par l’armée. L’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens, l’UNRWA, qui a alerté à de nombreuses reprises sur les conditions humanitaires désastreuses dans le cas, a de nouveau appelé à un accès humanitaire, affirmant que la situation était « un affront à l’humanité dans son ensemble et une source de honte universelle ».

Syrie : CHUT ! « Palestiniens décapités », massacrés, tour à tour par Assad et l’état islamiqueAssad a, en réalité, bien donné l’ordre aux troupes syriennes d’ouvrir les routes de Damas et d’offrir un libre accès aux Islamistes pour qu’ils atteignent leurs victimes palestiniennes. Cela a évité à l’Etat Islamique la nécessité d’envoyer des forces substantielles en les retirant d’autres fronts pour les besoins de son opération à Yarmouk. Daesh remporte sa victoire la moins coûteuse, et elle n’est jamais que la conséquence d’une entente secrète passée entre le Président syrien et le calife des Islamistes, Abu Bakr al Baghdadi, qui a continué de progresser depuis leur partenariat secret [évoqué, l’an dernier, par Laurent Fabius] autour de l’exploitation des champs de gaz et de pétrole de l’Est de la Syrie. Le dictateur damascène a décidé qu’il avait suffisamment confiance en lui pour faire de ces Palestiniens sa carte maîtresse, face à Israël, la Jordanie et l’Autorité Palestinienne à Ramallah. Assad voulait leur faire bien comprendre à tous, qu’il tient solidement les rênes, assez en tout cas, pour décider du sort des Palestiniens : il ne revient qu’à lui de décider s’il compte encore les sauver ou les jeter aux chiens. Et c’est exactement ce qu’il a fait en lâchant ses chiens de l’E.I contre eux. Il pourra, ensuite, renégocier des « couloirs humanitaires » et redevenir « un dirigeant qui compte »…

De son côté, Hillel Neuer, le représentant d’UNWatch, l’organe de surveillance des dérives internes de l’ONU, stigmatise l’inaction de la soi-disant « Commission des Droits de l’Homme » des Nations-Unies, l’UNHCR, sur son compte Twitter : @HillelNeuer : L’Etat Islamique est, actuellement, en train de décapiter des Palestiniens en Syrie. Le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU ne fait rien, uniquement parce qu’on ne peut pas en accuser Israël. »

Résultat de recherche d'images pour "daesh à yarmouk"« Il n’y a pas d’autre choix que d’appeler Israël à l’aide ; les Israéliens ont infiniment plus de compassion que les Arabes!« , dit M., un Palestinien de Yarmouk interviewé par Ynet, en citant une blague devenuecourante, qui circule dans le camp de réfugiés désespérés depuis des années, et qui a récemment découvert de nouvelles affres de la guerre.  « Tout le monde, ici, a peur, et attend la rédemption. L’Etat Islamique a déjà décapité des têtes et les lance en plein milieu des rues. Allah ne voudrait pas voir ça! ».

On pense, tout d’abord, que l’E.I a mis à mort par décaptitation l’une des personnalités locales du Hamas, le Cheikh Abu Salah Taha, aux côtés de 5 autres membres du Hamas.  L’E.I a tué bien d’autres leaders palestiniens du camp, dont le Colonel (du Fatah) Ahmed Al-Hassan.

Dans confusion qui règne, à l’intérieur comme à l’extérieur de ce camp de réfugiés palestinien, il reste « extraordinaire » que les deux directions impuissantes des Palestiniens, à savoir le Hamas, d’une part, et l’Autorité Palestinienne d’Abbas, de l’autre, continuent de s’accuser mutuellement de ne rien faire pour leurs frères de Syrie, mais qu’aucun n’ose s’en prendre directement à l’Etat Islamique d’Abu Bakr al Baghdadi. Mieux, Saeb Erekat, le soi-disant négociateur, a fustigé Israël d’être l’égal de Daesh, tandis qu’Abbas poursuit ses aventures « droits de l’hommistes » devant la CPI, contre l’Etat hébreu, en plein massacre de son peuple, de l’autre côté de la frontière, alors que les Palestiniens locaux (18.000 subsistants) sont en train d’être réduits en bouillie ou cherchent à fuir ces combats arabo-arabes. C’est dire le peu de cas que Fatah et Hamas font de cette notion de « peuple », chair à canon exclusivement utilisable contre Israël, quoi qu’il lui arrive. Quant aux boycotteurs persiflants d’Occident, ils sont trop « occupés » et aux abonnés absents. Manque de cran ou antisémitisme forcené, congénital?

Assad savoure sa vengeance : Daesh broie le Hamas à Yarmouk


Assad savoure sa vengeance : Daesh broie le Hamas à Yarmouk

Assad a bien lâché ses chiens de l’Etat Islamique contre les Palestiniens piégés dans le camp de Yarmouk : un nouveau partenariat particulièrement sinistre

Le rapprochement d’Obama avec l’Iran et ses alliés moyen-orientaux a provoqué un nouveau virage bien sinistre, dans le cadre de la guerre en Syrie, alors qu’elle entre dans sa 5ème année sans le moindre répit. Ce conflit semé d’atrocités voit 16.000 Palestiniens piégés dans d’horribles conditions, dans le camp de réfugiés de Yarmouk, près de Damas, et pris en étau par deux ennemis : l’Etat Islamique et l’armée du Président Bachar al Assad.

On montre au monde trois acteurs de ces combats cruels à Yarmouk : l’Etat Islamique, dont les Jihadistes ravagent le camp de réfugiés en massacrant ses résidents palestiniens captifs, qui représentent le deuxième de ces acteurs et l’armée syrienne, le troisième, qui paraît combattre pour empêcher les Islamistes d’atteindre le centre de Damas. Ce camp se situe, en effet, à 8, 5 kms du Palais présidentiel d’Assad.

On présente, d’habitude, ces Islamistes comme cherchant à régler leurs comptes avec ces résidents, parce que la majorité du Hamas s’aligne sur l’Iran et le Hezbollah, les pires ennemis mortels de l’Etat Islamique.

Mais même  ce scénario maléfique n’est pas assez fou  pour rendre compte du patchwork des nouvelles alliances qui se sont tissées au fil de la guerre et que révèlent, ici, les sources des renseignements militaires proches de Debkafile.

Assad a, en réalité, bien donné l’ordre aux troupes syriennes d’ouvrir les routes de Damas et d’offrir un libre accès aux Islamistes pour qu’ils atteignent leurs victimes palestiniennes. Cela a évité à l’Etat Islamique la nécessité d’envoyer des forces substantielles en les retirant d’autres fronts pour les besoins de son opération à Yarmouk.

Daesh remporte sa victoire la moins coûteuse, et elle n’est jamais que la conséquence d’une entente secrète passée entre le Président syrien et le calife des Islamistes, Abu Bakr al Baghdadi, qui a continué de progresser depuis leur partenariat secret [évoqué, l’an dernier, par Laurent Fabius] autour de l’exploitation des champs de gaz et de pétrole de l’Est de la Syrie.

Quand Al Baghdadi a conquis 90% des richesses de ces champs pétroliers, l’an dernier, Assad était à court de forces militaires pour déloger les envahisseurs sans diluer et éparpiller les troupes combattant sur des fronts stratégiquement plus importants, comme Damas, la capitale, Dera’a dans le sud et Alep au nord. Aussi le dictateur syrien a t-il négocié de sang-froid une entente en quatre points avec le Calife :

  1. L’armée et les forces aériennes syriennes s’abstiendraient d’attaquer les positions de l’Etat Islamique et de tout effort pour reconquérir ces champs énergétiques.
  2. Daesh pomperait le pétrole et le gaz et transférerait ces produits vers Damas, en utilisant ses installations de distribution pour vendre le carburant au marché noir, après en avoir retenu une partie pour la consommation intérieure.
  3.  Damas et les Islamistes se partageraient les revenus entre eux. L’an dernier, l’Etat Islamique a empoché entre 2 et 4 millions de $ par jour, un rapport financier qui va bien au-delà des besoins de financement des opérations de guerre du groupe.
  4.  Les centrales électriques syriennes continueraient de livrer de l’électricité aux bases islamistes.

Le dictateur syrien a ensuite décidé, selon nos sources, de sceller cette alliance pour en faire une opportunité lui permettant d’exécuter une toute autre manœuvre : elle lui offre la sous-traitance nécessaire pour relever certains de ses défis dans cette guerre. Pour Assad, le plan consistait à téléguider à distance l’action menée par les Jihadistes, de façon à éviter de mettre ses propres hommes sur le terrain.

L’opération de Yarmouk représente la première expérimentation in vivo des liens d’Assad sur le champ de bataille avec les Islamistes.

En prenant les Palestiniens pour cible , le dirigeant syrien avait trois objectifs en tête :

 (a) Démontrer à ses alliés les plus proches, l’Iran et le Hezbollah, qu’il n’est pas totalement dépendant d’eux en matière d’effort de guerre, mais qu’il dispose encore d’une main libre pour continuer à combattre sans eux.

(b) Punir le Hamas palestinien, qui dirige et gère le camp de Yarmouk, pour lui avoir retiré le soutien à son régime, depuis le début de la guerre civile.

Le Hamas devait comprendre que la réconciliation du mouvement terroriste avec Téhéran et le Hezbollah ne vaut absolument pas pour une absolution de la part de Damas. Assad a toujours un contentieux très personnel à régler avec les extrémistes palestiniens.

(c)  Assad a gagné un second souffle de vie, grâce à la volte-face de Washington, reconnaissant la légitimité de sa présidence (ce qu’ont signalé les propos du Secrétaire d’Etat John Kerry, acceptant le pouvoir de Bachar al Assad comme partie intégrante de tout processus de paix pour la Syrie). Il a aussi su exploiter la validation américaine des conceptions expansionnistes de l’Iran dans la région, comme un point marqué en sa faveur.

Le dictateur damascène a décidé qu’il avait suffisamment confiance en lui pour faire de ces Palestiniens sa carte maîtresse, face à Israël, la Jordanie et l’Autorité Palestinienne à Ramallah. Assad voulait leur faire bien comprendre à tous, qu’il tient solidement les rênes, assez en tout cas, pour décider du sort des Palestiniens : il ne revient qu’à lui de décider s’il compte encore les sauver ou les jeter aux chiens. Et c’est exactement ce qu’il a fait en lâchant ses chiens de l’E.I contre eux. Il pourra, ensuite, renégocier des « couloirs humanitaires » et redevenir « un dirigeant qui compte »…

debka.com,  Exclusive Reportage Exclusif 8 Avril 2015, 1:45 PM (IDT)

Adaptation: Marc Brzustowski Jforum

Daesh décapite le Hamas à Yarmouk

 

« Il n’y a pas d’autre choix que d’appeler Israël à l’aide ; les Israéliens ont infiniment plus de compassion que les Arabes!« , dit M., un Palestinien de Yarmouk interviewé par Ynet, en citant une blague devenuecourante, qui circule dans le camp de réfugiés désespérés depuis des années, et qui a récemment découvert de nouvelles affres de la guerre.

Actuellement, les Jihadistes de l’Etat Islamiste humilient et piétinent le drapeau-symbole d’un chimérique Etat palestinien, au beau milieu des molles protestations soumises de Mahmoud Abbas et d’Ismaïl Haniyeh :

« Tout le monde, ici, a peur, et attend la rédemption. L’Etat Islamique a déjà décapité des têtes et les lance en plein milieu des rues. Allah ne voudrait pas voir ça! ».

De son côté, Hillel Neuer, le représentant d’UNWatch, l’organe de surveillance des dérives internes de l’ONU, stigmatise l’inaction de la soi-disant « Commission des Droits de l’Homme » des Nations-Unies, l’UNHCR, sur son compte Twitter :

@HillelNeuer : L’Etat Islamique est, actuellement, en train de décapiter des Palestiniens en Syrie. Le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU ne fait rien, uniquement parce qu’on ne peut pas en accuser Israël

L’Etat Islamique, que l’Observatoire des droits de l’homme en Syrie dit allié au Front Al Nusra contre les autres groupes rebelles, est parvenu à reconquérir, lors de son second assaut 90% du camp de Yarmouk. Un communiqué du front al Nusra dément cette information en prétendant rester « neutre » (à savoir qu’il attend de savoir qui sera le vainqueur pour refonder ses alliances locales).  Abu Muhammad al Julani, le chef d’Aknaf Beit al Maqdis, appartenant au Hamas, a, aussi, accusé le Front al-Nusra de complicité avec Daesh, sur son compte Twitter. S’exprimant sur la station de radio Mawtini, dimanche, le responsable de l’OLP Ahmad Majdalani a décrit les dures conditions qui prévalent dans le camp. L’Etat Islamique, dit-il, a commencé à  accuser les terroristes palestiniens d’apostasie et les a décapités, en suspendant les têtes coupées à travers tout le camp.

On pense, tout d’abord, que l’E.I a mis à mort par décaptitation l’une des personnalités locales du Hamas, le Cheikh Abu Salah Taha, aux côtés de 5 autres membres du Hamas. (voir photo ci-dessous, diffusée sur Twitter par le journaliste Khaled Abu Toameh, du Jerusalem Post et du Gatestone Institute) :

Le Hamas a confirmé durant deux jours cette décapitation du Cheikh Abu Salah Taha, dignitaire du Hamas dans le camp, puis des contre-informations l’ont ensuite donné pour encore vivant. La photo de sa tête tranchée (ou de celle d’une physionomie proche) circule sur les réseaux sociaux.

Daesh a aussi emprisonné plus de 75 adultes et enfants dans une école locale.

L’E.I a tué bien d’autres leaders palestiniens du camp, dont le Colonel (du Fatah) Ahmed Al-Hassan.

Dans confusion qui règne, à l’intérieur comme à l’extérieur de ce camp de réfugiés palestinien, il reste « extraordinaire » que les deux directions impuissantes des Palestiniens, à savoir le Hamas, d’une part, et l’Autorité Palestinienne d’Abbas, de l’autre, continuent de s’accuser mutuellement de ne rien faire pour leurs frères de Syrie, mais qu’aucun n’ose s’en prendre directement à l’Etat Islamique d’Abu Bakr al Baghdadi. Mieux, Saeb Erekat, le soi-disant négociateur, a fustigé Israël d’être l’égal de Daesh, tandis qu’Abbas poursuit ses aventures « droits de l’hommistes » devant la CPI, contre l’Etat hébreu, en plein massacre de son peuple, de l’autre côté de la frontière, alors que les Palestiniens locaux (18.000 subsistants) sont en train d’être réduits en bouillie ou cherchent à fuir ces combats arabo-arabes. C’est dire le peu de cas que Fatah et Hamas font de cette notion de « peuple », chair à canon exclusivement utilisable contre Israël, quoi qu’il lui arrive. Quant aux boycotteurs persiflants d’Occident, ils sont trop « occupés » et aux abonnés absents. Manque de cran ou antisémitisme forcené, congénital? Où sont passés les tocards de l’été dernier, du NPA, des Verts au Front de Gauche, incendiaires de synagogues?

L’EI a collé contre un mur un certain nombre de membres de la milice du Hamas, l’Aknaf Beit Al-Maqdis et d’autres Jihadistes des groupes rebelles anti-Assad qui le combattaient, depuis quelques jours à l’intérieur du camp.

Sur certaines photos qu’il a publié, on voit treize hommes à genoux, la tête contre un mur. La légende, qui porte le nom de Wilayat Dimashq (le nom arabe de Damas),  les identifie comme des combattants rivaux, Syriens et Palestiniens.

« Inhumain »
« J’ai vu, rue de Palestine, deux membres de Daech (acronyme en arabe de l’EI) jouer avec une tête coupée comme si c’était un ballon », assure Amjad Yaacoub, 16 ans.

Casquette vissée sur le côté comme les rappeurs, blouson à carreaux gris et blancs, il a un œil tuméfié et le menton gonflé. « Daech est entré chez moi pour se venger de mon frère qui appartient aux Comités populaires palestiniens. Ils m’ont frappé jusqu’à ce que je m’évanouisse et m’ont laissé pour mort », dit-il.

Daesh a kidnappé au moins 74 personnes portées disparues et les civils tentent de fuir le camp. Environ 2000 d’entre eux y serait parvenu, sur 18 000 personnes restant piégées à l’intérieur, aux prises au milieu des combats. La coalition de la résistance nationale accuse le régime de Bachar, qui bloque les accès sur trois fronts, empêchant les civils d’évacuer, d’avoir permis l’infiltration de l’Etat Islamique. Pour corser le tout, l’aviation de Bachar a pilonné le camp, samedi, sans discrimination ni merci.

Caricature palestinienne à partir de l’épisode controversé de l’affaire-Al Dura, pour dénoncer les crimes du régime Assad, qui se surajoutent à ceux de l’Etat Islamique.

Cette coalition de l’Etat Islamique et du Front al Nusra n’est plus qu’à 8 kms du centre de Hamas, système nerveux central du pouvoir de Bachar al Assad, qui, à cette heure, choisit de « gérer » les règlements de compte entre milices plus extrémistes les unes que les autres.

Adaptation rapide à partir de diverses sources : Twitter, Ynetlongwarjournal.org : Marc Brzustowski. Jforum

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Syrie : CHUT ! « Palestiniens décapités », massacrés, tour à tour par Assad et l’état islamique

 

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Syrie : CHUT ! « Palestiniens décapités », massacrés, tour à tour par Assad et l’état islamique


Syrie : CHUT ! « Palestiniens décapités », massacrés, tour à tour par Assad et l’état islamique

Des milliers de descendants de « réfugiés palestiniens » pris au piège à Yarmouk, assiégés par l’état islamique et sous contrôle à 90 %. Certains ont été massacrés, décapités, mais le silence est assourdissant du coté des pro-palestiniens et autres ONG. Normal, ce ne sont pas les israéliens qui ont commis ces atrocités, atrocités qu’Israël ne commettra jamais d’ailleurs !

Des milliers de civils sont pris au piège dans le camp de Yarmouk, dans le sud de Damas, assiégé par le régime et presque entièrement aux mains de jihadistes, a annoncé un responsable de l’opposition syrienne samedi.

« Les habitants du camp sont pris entre la peste et le choléra », a dénoncé Ayman Abou Hachem, responsable de la commission des réfugiés palestiniens de l’opposition syrienne. « Le camp est cerné par le régime, et à l’intérieur les forces de l'(organisation Etat islamique) EI ont presque tout saisi ».

L’EI a lancé mercredi l’assaut sur Yarmouk. Repoussés le lendemain par des combattants palestiniens, les jihadistes ont finalement repris le terrain perdu, et avancé au point de détenir 90% du camp, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
Le camp de réfugiés palestiniens, qui compte encore quelque 18.000 habitants et est situé à environ 7 km du centre de la capitale syrienne, est assiégé depuis plus d’un an par l’armée.

Le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane, a affirmé que le front Al-Nosra, la branche syrienne d’el-Qaëda avait aidé l’EI à entrer dans le camp, pourtant son rival dans le complexe conflit syrien.
Des responsables palestiniens ont également accusé Al-Nosra d’avoir facilité l’arrivée de l’EI dans le camp.
Au moins 18 personnes sont mortes dans les violences depuis mercredi, a encore dit M. Abdel Rahmane, 6 civils et 12 combattants palestiniens. Deux d’entre eux ont été décapités.
Le régime a par ailleurs mené des raids aériens sur Yarmouk, selon l’OSDH.

L’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens, l’UNRWA, qui a alerté à de nombreuses reprises sur les conditions humanitaires désastreuses dans le cas, a de nouveau appelé à un accès humanitaire, affirmant que la situation était « un affront à l’humanité dans son ensemble et une source de honte universelle ».

En février 2014, les groupes rebelles syriens s’étaient retirés du camp à l’issue d’un accord avec les groupes armés palestiniens anti-régime. L’armée a ensuite assiégé le camp où les habitants ont souffert de pénuries de nourriture, d’eau et de médicaments. lorientlejour

NDLR – quelques 300 gazaouis ont manifestés à Gaza hier en soutien au camps de Yarmouk

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