UNESCO : la FRANCE dit OUI à un Etat palestinien.

L’Autorité Palestinienne est maintenant passé du statut « état observateur » à « état membre » de l’UNESCO, succursale culturelle et éducative de l’ONU.

L’AP ambitionne de faire classer et reconnaitre comme « palestiniens » plusieurs sites bibliques coimme le caveau des patriarches à Hébron, l’église de la Nativité à Bethléhem et le site de Jéricho…sans parler de Jérusalem, quartier Est.

L’Europe en désordre : l’Allemagne a voté contre, l’Angleterre s’est  courageusement abstenue (idem Italie).

Les USA suspendent 60 millions de dollars d’aides  à l’UNESCO, mais qui s’en soucie ?

Cette reconnaissance est donc un pétard mouillé diplomatique mais une bombe pour tous les habitants des quartiers et sites disputés.

ICI selon Guysen News.   ICI selon Israël flash ICI pour Europe-Israël…ou lire la suite! 

SARKOZY à la reconquête des banlieues et des altermondialistes antisionistes, va encore remonter dans les sondages ? C’est pas si sûr : lire ICI sur Guysen comment les juifs de France vivent cette trahison.

Juppé et Sarkozy votent pour le non-Etat palestinien à l’UNESCO

octobre 31st, 2011 Marc
COMMUNIQUES ISRAEL FLASH Le double-langage sarkozyen dans le texte : alors que la France n’avait de cesse de répéter à tue-tête que l’ONU ou ses instances n’étaient ni le lieu ni le temps pour résoudre le conflit palestino-israélien, qu’il devrait en passer par la négociation, ses émissaires se sont empressés de valider la candidature du non-état palestinien pour devenir membre de l’UNESCO. *

Le projet des Palestiniens est de s’emparer de…

Le projet des Palestiniens est de s’emparer de tous les lieux saints du Judaïsme biblique, pour les affubler de dénominations arabo-musulmanes, ou débaptiser les lieux de culte en mosquées, comme, grâce à l’UNESCO, c’est le cas avec les tombes de Rachel, Yosef ou encore le tombeau des Patriarches.

Le négationniste Sarkozy et son compère Juppé n’appartiennent donc plus, de fait, culturellement, à la civilisation « judéo-chrétienne ».

Des dhimmis mus par l’esprit moutonnier ne sont plus en mesure de diriger un pays de tradition et « d’exception culturelle » comme la France…

La Rédaction

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L’Autorité palestinienne a réussi son pari en devenant membre à part entière de l’UNESCO et en tournant le dos aux négociations de paix.

La demande d’adhésion de l’Autorité palestienne, qui jouissait jusqu’à présent d’un statut d’observateur auprès l’agence des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture, a été validée par un vote au siège de l’organisation à Paris.

Les Etats-Unis avaient menacé, en cas de vote positif, de suspendre leur contribution financière à l’Unesco, qui représente aujourd’hui 22% du budget de l’agence.

Ce vote représente une nouvelle avancée vers la reconnaissance en tant qu’Etat que sollicite la Palestine, dont l’adhésion pleine et entière auprès des Nations unies est menacée par un veto probable des Etats-Unis

Ce succès illustre une nouvelle fois la volonté des Palestiniens de passer par des moyens unilatéraux plutôt que de favoriser les négociations de paix avec Israël qu’ils évitent depuis plus d’un an.

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Les Palestiniens désormais membres à part entière de l’UNESCO, la France a voté POUR

octobre 31st, 2011 Daniele – Europe-Israel.org
siège UNESCO Paris

Cette fois c’est fait: les Palestiniens sont officiellement devenus membres à part entière de l’UNESCO. Israël a déclaré que cette admission éloigne tout accord de paix et la Maison-Blanche l’a taxée de contreproductive.

Les Palestiniens ont enregistré à Paris une victoire diplomatique aussi symbolique que significative sur la voie de la reconnaissance de leur Etat, en obtenant le statut de membre à part entière de l’UNESCO, l’une des principales agences de l’ONU.

 

« La Conférence générale (qui réunit l’ensemble des Etats membres, ndlr) décide de l’admission de la Palestine comme membre de l’UNESCO », dit la résolution adoptée par 107 voix pour, 52 abstentions et 14 voix contre, parmi les pays présents au siège de l’Unesco à Paris.

« L’entrée de la Palestine porte le nombre d’Etats membres de l’Unesco à 195 », a déclaré l’organisation dans un communiqué.

La quasi-totalité des pays arabes, africains et latino-américains se sont prononcés pour l’adhésion des Palestiniens, de même que la France qui avait pourtant émis de sérieuses réserves ces derniers jours sur la démarche palestinienne.

« L’Unesco, ce n’est ni le lieu ni le moment. Tout doit se passer à New York », jugeait encore vendredi le ministère français des Affaires étrangères.

Demande de reconnaissance à l’ONU à New York

Car beaucoup d’Occidentaux estimaient que la candidature à l’UNESCO ne pouvait précéder l’aboutissement de la démarche entreprise par les Palestiniens auprès de l’ONU à New York.

Le président palestinien Mahmoud Abbas avait solennellement demandé le 23 septembre à l’ONU de reconnaître l’Etat palestinien. Cette demande doit être examinée le 11 novembre par le Conseil de sécurité, où elle pourrait être frappée d’un veto américain.

Les Etats-Unis, l’Allemagne et le Canada ont voté contre, tandis que parmi les Européens, l’Italie et le Royaume Uni se sont abstenus.

L’admission de la Palestine à l’UNESCO éloigne les perspectives d’un accord de paix, a estimé pour sa part le gouvernement israélien, en condamnant une « manoeuvre unilatérale » des Palestiniens.

« Israël rejette la décision de l’Assemblée générale de l’UNESCO (…) acceptant la Palestine comme Etat-membre de l’organisation », indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

« Il s’agit d’une manoeuvre palestinienne unilatérale qui ne changera rien sur le terrain mais éloigne davantage la possibilité d’un accord de paix », souligne le communiqué.

« Cette décision ne transformera pas l’Autorité palestinienne en un véritable Etat mais place des obstacles inutiles sur le chemin de la reprise des négociations », ajoute-t-il.

Prématuré et contreproductif

La Maison Blanche a déclaré elle que le vote est « prématuré » et « contreproductif » dans la perspective d’une reprise espérée des négociations de paix au Proche-Orient.

« Le vote d’admission de l’Autorité palestinienne aujourd’hui à l’Unesco est prématuré et contreproductif vis-à-vis de l’objectif de la communauté internationale de parvenir à une paix complète, juste et durable au Proche-Orient », a affirmé le porte-parole du président américain Barack Obama, Jay Carney.

photo Au siège de l’UNESCO à Paris © KEYSTONE

source Le matin

 

Le matin :

Palestiniens à l’UNESCO: la Suisse s’est abstenue de voter

La Suisse figure parmi les Etats à s’être abstenus lors du vote sur l’adhésion de l’Autorité palestinienne à l’UNESCO. La France a pour sa part voté pour.

La joie des délégués après le vote positif  

 

La joie des délégués après le vote positif © KEYSTONE

 

L’ambassadeur de Suisse s’est abstenu lors du vote à l’UNESCO sur l’admission de l’Autorité palestinienne comme membre à part entière de cette organisme onusien, a indiqué une porte-parole de l’organisation. Plusieurs Etats de l’Union européenne ont fait de même alors que la France a voté oui.

Les Palestiniens sont devenus membres à part entière de l’Unesco, après un vote à Paris des Etats membres de cette organisation de l’ONU. Ils jouissaient jusqu’à présent d’un statut d’observateur auprès de l’agence des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture.

«La Conférence générale (qui réunit l’ensemble des Etats-membres, NDLR) décide de , selon la résolution adoptée par 107 voix pour, 52 abstentions et 14 voix contre, parmi les pays présents.

Les Etats-Unis, l’Allemagne et le Canada ont voté contre, tandis que l’Italie et le Royaume-Uni se sont abstenus. La quasi-totalité des pays arabes, africains et latino-américains se sont prononcés pour l’adhésion. La France, qui avait émis de sérieuses réserves sur la démarche palestinienne à l’Unesco, a finalement voté pour l’adhésion.

Lire la suite: http://www.europe-israel.org/2011/10/les-palestiniens-desormais-membres-a-part-entiere-de-lunesco-la-france-a-vote-pour/#ixzz1cOQtuVpR

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Sarkozy et Israël : les Juifs de France trahis
par Julien Bahloul – Mardi 1 novembre 2011 à 00:57

La France a finalement décidé de voter en faveur de l’adhésion des Palestiniens à l’UNESCO. Cette décision surprise illustre un changement profond dans l’attitude de Nicolas Sarkozy envers Israël. Celui qui se targuait d’être un ami d’Israël a, au fil des années, revu son discours pour adopter une posture bien plus critique de l’Etat juif. Retour sur ces années vécues comme une véritable trahison par les Juifs de France.

En 2000,lorsque les Palestiniens déclenchent la seconde intifada, commence une page sombre de l’histoire. En France, le démon antisémite se réveille avec un nouveau visage : celui de l’antisionisme, de la haine d’Israël. En quelques mois, le nombre d’agressions antisémites, d’incendies de synagogues et de manifestations anti-israéliennes explose. Les Juifs de France auront à subir deux ans de silence quasi-total de la part des médias, deux ans d’ignorance de la part des professeurs et directeurs des établissements scolaires. Deux ans avant d’être écoutés, avant d’être pris au sérieux. Deux ans durant lesquels seule la voix en colère du président du CRIF Roger Cukierman tentera de se faire entendre. Deux ans : c’est également le temps qu’il aura fallu pour que Nicolas Sarkozy accède au poste de ministre de l’Intérieur.

Le printemps 2002 marque en effet un changement de taille dans la conscience collective juive française. Enfin quelqu’un semble vouloir lutter avec fermeté contre l’antisémitisme. Nicolas Sarkozy n’hésite pas à se déplacer presque systématiquement lorsqu’un qu’un rabbin est agressé ou qu’une attaque est commise. La sur-médiatisation dont il fait l’objet grâce à ses ambitions présidentielles affichées permet de donner à ses visites une autre dimension. Du jour au lendemain et au rythme de ses déclarations, la question de l’antisémitisme fait enfin la Une des journaux et l’ouverture des JT.

Sarkozy le super-ministre à la rescousse des Juifs oubliés du débat politique. L’alliance fusionnelle entre la communauté juive et le futur président est officialisée le dimanche 22 juin 2003 à Paris. 50.000 personnes sont réunies à la porte de Versailles pour les « 12 heures pour Israël ». L’assemblée hue copieusement François Hollande, alors Secrétaire générale du parti socialiste, pour avoir tardé à réagir contre l’antisémitisme, et acclame Nicolas Sarkozy en « criant Sarko président », allant jusqu’à hurler à l’hystérie lorsque celui-ci se jette dans les bras de son ami Benyamin Netanyahou qui le qualifie de « véritable ami d’Israël ».
Selon un rapport publié par Guysen à l’époque, Nicolas Sarkozy avait alors déclaré à la foule : « Nul n’a le droit de vous reprocher votre attachement à Israël, racine et espérance pour tous les Juifs, qu’il soit un lieu de paix. La France n’est pas antisémite, mais l’antisémitisme y existe, malheureusement. Minimiser cette sinistre réalité, c’est refuser de se donner les moyens de la combattre. Toute attaque contre un Juif français est une tache sur le drapeau français. L’antisémitisme est l’affaire de la République. Je connais mes responsabilités et les assume à vos côtés pour que les Juifs aient droit à la sécurité dans ce pays qui est le leur ».

De là la communauté juive lui est presque totalement acquise. En mai 2007, il est élu par les Français vivant en Israël avec plus de 80% des suffrages exprimés qui se souviennent avec émotion de sa visite à Jérusalem, à peine élu à la tête de l’UMP, et de sa rencontre avec Ariel Sharon alors que celui-ci est condamné par toute la classe politique française. L’année suivante, Nicolas Sarkozy fait couvrir les Champs-Elysées de drapeaux israéliens pour célébrer la venue du président Shimon Pérès et se rend à la Knesset en juin 2008 où il déclare : « celui qui appelle à la destruction d’Israël trouvera toujours la France pour lui barrer le chemin ». Le même jour, le journal Libération fait sa Une avec une photo de Nicolas Sarkozy à l’aéroport de Tel Aviv accompagnée du titre : « Sarkozy, nouveau meilleur ami d’Israël ». Nul ne s’imagine alors que cette lune de miel va s’arrêter peu de temps après.

Celui qui déclarait à l’été 2006, en pleine guerre du Liban, « je ne connais qu’un seul responsable de la situation, c’est le Hezbollah », fera en janvier 2009 pression sur Israël (allant jusqu’à se rendre à Jérusalem en deux reprises en trois semaines) pour qu’il cesse son opération anti-terroriste Plomb durci lancée dans le but de mettre fin aux tirs de roquettes du Hamas. Pendant ce temps, à Berlin, Angela Merkel se montrait bien plus claire : « la responsabilité de l’évolution de la situation dans la région incombe clairement et exclusivement au Hamas », déclarait alors le porte-parole de son gouvernement.

Dès lors, un tournant est amorcé. Nicolas Sarkozy n’est plus le grand ami d’Israël qu’il affirmait être. Le ton de ses discours devient bien plus critique et moralisateur. Le changement s’illustre une nouvelle fois lors de l’épisode de la flottille organisée par les islamistes de l’IHH turc en mai 2010. Au lendemain de l’opération israélienne, le président français déclare : « La communauté internationale s’est exprimée très clairement sur l’opération israélienne de la nuit passée. Tout le monde a été choqué par le nombre de morts, et par la violence des évènements ».

« À titre personnel (…) j’ai condamné l’usage disproportionné de la force par les Israéliens », ajoutait-il encore avant de se lancer dans un pamphlet contre le blocus maritime imposé à la bande de Gaza pour y éviter l’introduction d’armes à destination du Hamas. Mouvement censé d’ailleurs être considéré comme terroriste par la France, donc mis en quarantaine par Paris. Or, à plusieurs reprises, le ministre des Affaires étrangères français de l’époque, Bernard Kouchner, a ouvertement confié des journalistes (dont ceux de Guysen) que si « officiellement la France n’a pas de contact avec le Hamas, officieusement, c’est une autre histoire ».

La liste des exemples attestant du changement d’attitude de Nicolas Sarkozy envers Israël est encore longue. Après les révélations du Canard Enchainé du 6 octobre dernier selon lesquelles le président Sarkozy estime que parler d’Etat juif pour désigner Israël est « stupide », sa décision de voter en faveur de l’adhésion des Palestiniens à l’UNESCO ce 31 octobre est probablement le plus choquant pour la communauté juive car le plus symoblique. Alors que Paris restait jusqu’à présent muette sur la question de la reconnaissance de l’Etat palestinien par l’ONU en affirmant vouloir favoriser les négociations de paix israélo-palestiniennes, ce brutal revirement de situation envoie un message fort : la France prend ouvertement partie pour les Palestiniens dans le conflit qui les oppose à Israël.

Les Juifs de France se sentent aujourd’hui trompés et humiliés par Sarkozy. Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères français a déclaré au sujet du vote de l’UNESCO : « La France prend ses responsabilités ». Dans 172 jours aura lieu le premier tour de l’élection présidentielle. Nul doute que les Juifs de France prendront eux aussi leurs responsabilités.

Photo : visite de Nicolas Sarkozy à Ariel Sharon, Jérusalem, 2004.

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