NdlR : mais qu’Est-ce qui ou QUI a pu inspirer à la Diplomatie française ce scénario affligeant d’une conférence de la Paix réunissant Israël et 70 nations ? Obama-Kerry en mode fin de règne ? le QATAR en mode banquier ? QUI a voulu recréer le SANHEDRIN à PARIS ? des illuminés sans doute… Ils en sont pour leurs frais… pschitt… un bide… un non évènement… les nations déboussolées s’accrochent à Israël pour pouvoir encore exister et se faire entendre. 70 années après de plan de partage de l’ONU en 1947, 70 nations défient Israël et son Elohim…Gog et MAgog (valeur numérique : 70) s’en vont en guerre ? Nous connaissons hélas déjà la fin pour elles, et nous en faisons partie…ou pas !?
« O Dieu, ne reste pas dans le silence ! Ne te tais pas, et ne te repose pas, ô Dieu ! 3 Car voici, tes ennemis s’agitent, Ceux qui te haïssent lèvent la tête. 4 Ils forment contre ton peuple des projets pleins de ruse, Et ils délibèrent contre ceux que tu protèges. Ils se concertent tous d’un même coeur, Ils font une alliance contre toi; 7 Les tentes d’Edom (Rome, Occident) et les Ismaélites (pays musulmans), Moab et les Hagaréniens, 8 Guebal, Ammon, Amalek, Les Philistins (Palestinien) avec les habitants de Tyr; L’Assyrie aussi se joint à eux, Elle prête son bras aux enfants de Lot. Pause. » (Psaumes 83)
Sommet de Paris : une conférence pour le symbole avant Trump. « S’il n’y a pas de conséquences, si l’on répète encore et encore les mêmes choses, ce n’est rien de plus qu’une mise en scène », déplore un expert
Plus de 70 pays et organisations internationales (ONU, Ligue arabe, Quartette…), mais pas les parties concernées, doivent réaffirmer solennellement que la solution des deux états, israélien et palestinien, est la seule voie possible pour amener la paix.
Cette réunion vaut surtout pour le symbole, à un moment où la perspective de deux états s’évapore compte tenu de la situation sur le terrain, marquée par la poursuite de la construction dans les implantations israéliennes, les attaques et attentats palestiniens, la radicalisation des discours et la montée des frustrations.
Et c’est aussi une façon de faire date, à cinq jours de l’arrivée à la Maison Blanche du futur président américain Donald Trump, dont l’imprévisibilité angoisse nombre d’acteurs du dossier.
Abbas a pour sa part salué « le rôle du président [français François] Hollande et du gouvernement français » dans l’organisation de la conférence internationale qui réunit dimanche à Paris 70 pays pour discuter des moyens de parvenir à la paix au Proche Orient.
Jérusalem, question explosive
Si Washington a toujours été un allié historique indéfectible d’Israël, Trump s’est distingué par des prises de position très pro-israéliennes, particulièrement sur la question de Jérusalem.
Il a promis pendant sa campagne de reconnaître cette ville comme la capitale d’Israël et d’y installer l’ambassade américaine, actuellement à Tel Aviv.
Une ligne rouge pour les Palestiniens, qui menacent en retour de revenir sur leur reconnaissance d’Israël.
Dans un communiqué publié après sa visite de samedi au Vatican, Abbas a affirmé « tendre la main au président élu Trump pour coopérer afin de parvenir à la paix basée sur les lois internationales ».
Il a fustigé le gouvernement israélien, qui « poursuit ses politiques visant à transformer Jérusalem en une ville exclusivement juive/israélienne, en démolissant des maisons palestiniennes, en étendant les colonies illégales, en construisant un mur d’annexion illégal, en divisant les familles et en isolant notre capitale occupée du reste de la Palestine. »
« Toute tentative de légitimer l’annexion illégale par Israël de la ville [Jérusalem] détruira les perspectives d’un processus politique, mettra un terme aux espoirs d’une solution fondée sur deux états et apportera de l’eau au moulin de l’extrémisme dans notre région et dans le monde », poursuit le communiqué.
Le transfert de l’ambassade « non seulement priverait les États-Unis de toute légitimité à jouer un rôle dans la résolution du conflit, mais elle réduirait à néant la solution des deux États », a déclaré le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas au quotidien français Le Figaro samedi.
Une telle mesure romprait avec la politique historique des Etats-Unis et irait à l’encontre de la position de l’ONU, pour qui le statut de Jérusalem, également revendiquée par les Palestiniens comme capitale de leur futur état, doit se régler par la négociation.
Symbole
La conférence de Paris devrait donc répéter son engagement en faveur d’une solution négociée et rappellera dans son communiqué final les textes internationaux de référence sur le conflit, particulièrement ceux de l’ONU – sans toutefois s’avancer dans le détail ou fixer des paramètres de résolution du conflit trop précis. « Si l’on fait ça, on entre dans une zone de turbulences », admet un diplomate français.
Car la communauté internationale, même si elle réaffirme son engagement pour les deux états, ne fait pas bloc pour autant. Que ce soit au sein de l’Union européenne ou des pays arabes, certains pays ont d’autres priorités ou ne veulent pas s’aliéner la future administration Trump.
« Il nous semble important que dans le contexte actuel, 70 pays réaffirment que la solution à deux états est la seule possible. C’est aussi simple que ça, ce n’est pas plus que ça », résume le diplomate français.
Plusieurs sources diplomatiques ont ainsi exclu que les conclusions de Paris soient ensuite gravées dans le marbre d’une résolution au Conseil de sécurité de l’ONU, comme s’en est inquiété Israël.
Cette conférence « n’aura aucune conséquence », estime Nathan Trall, spécialiste de la région au sein de l’ONG International Crisis Group. « S’il n’y a pas de conséquences, si l’on répète encore et encore les mêmes choses, ce n’est rien de plus qu’une mise en scène », déplore-t-il.
La réunion de Paris s’annonce néanmoins comme le dernier acte d’une série de gestes remarqués sur la question israélo-palestinienne, dont le plus important s’est produit à l’ONU le 23 décembre.
Un mois avant son départ de la Maison Blanche, l’administration du président sortant Barack Obama a en effet marqué le coup en s’abstenant sur une résolution condamnant les implantations israéliennes, la première depuis 1979. Au grand dam du président élu Trump qui avait exhorté Washington à apposer son veto.
Quelques jours plus tard, dans un discours en forme de testament politique, le secrétaire d’Etat américain John Kerry, qui sera présent dimanche à Paris, avait à nouveau dénoncé les implantations et énoncé des paramètres pour la solution du conflit.
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Danon fustige la conférence pour la paix française
L’ambassadeur israélien à l’ONU déplore que la conférence se concentre sur Israël plutôt que sur la lutte contre le terrorisme
Danny Danon, ambassadeur d’Israël auprès des Nations unies, a critiqué dimanche la conférence pour la paix au Proche Orient organisée à Paris.
« La conférence de Paris est si éloignée de la réalité qu’elle a tendu la main à l’obstruction palestinienne au lieu de la paix. Plutôt que de promouvoir un effort commun pour lutter contre le terrorisme mondial, la conférence s’est exclusivement concentrée sur Israël dans le cadre d’une tentative d’encouragement d’une initiative de dernière minute, quelques jours à peine avant l’arrivée d’une nouvelle administration américaine », a déclaré Danon dans un communiqué.
« Dans les prochaines semaines, nous entrerons dans une nouvelle ère et travaillerons avec la future administration américaine pour défaire les dommages causés par la résolution du Conseil de sécurité et ces autres initiatives unilatérales », a conclu l’ambassadeur.