Sénateur US Perry Clark : « Nous sommes comme à la veille de la 2nd guerre mondiale, en 1933, quand Wall street et la City ont installé Hitler au pouvoir en Allemagne… »

 

Le sénateur US démocrate Perry CLARK a publié le 8 août (soit le 9 AV !!!) dernier une lettre appelant à la démission d’OBAMA (rappel : il est démocrate!)

Dans ce courrier, le sénateur déclare en substance, accrochez-vous :  

 » Notre nation et le monde sont au seuil du chaos économique et social. Le système financier est en phase de désintégration et la plupart de nos états et de nos villes subissent des coupes budgétaires sans précédent qui ont pour conséquences l’accroissement du taux de mortalité. Cette situation rappelle la crise de 1933. Cette même année, l’Allemagne, sous les ordres de Wall Street et de la City de Londres, mettait Hitler au pouvoir Le 2 août 2011, sous l’énorme pression des mêmes banquiers de Wall Street et de Londres qui ont mis Hitler au pouvoir, le Congrès des États-Unis a adopté une législation en violation flagrante de la Constitution des États-Unis, Article 1 Section 8. Le Congrès entérine ainsi un programme d’austérité vicieux et inutile et crée un « super-Congrès » de douze membres pour appliquer ce programme. La totalité du projet, dont le super-Congrès, l’interdiction des débats et amendements, et le mécanisme de déclenchement automatique, est effrontément inconstitutionnelle. Cela fait directement écho à la loi allemande de 1933 abandonnant le pouvoir législatif aux mains du gouvernement criminel d’Adolf Hitler… »

Waouh. Lire tout le texte ? Lire la suite…

 

Original traduit de la déclaration du sénateur, ICI !    

 

 9 août 2011 (Nouvelle Solidarité) – Dans une déclaration rendue publique hier, le sénateur du Kentucky, Perry Clark (Démocrate, 37ème district) s’est joint à Lyndon LaRouche en lançant un appel à la démission immédiate d’Obama et au rétablissement de la loi Glass-Steagall par le Congrès. Voici sa déclaration in extenso :

Mes chers citoyens, après mûres réflexions sur l’adoption d’une loi de replafonnement de la dette et d’austérité budgétaire la semaine dernière à Washington, j’ai décidé que ’c’en est assez’. Cette législation est effrontément inconstitutionnelle, c’est pourquoi je lance un appel par la présente à la mise en oeuvre d’une série d’actions d’urgence pour réparer les dommages causés, en commençant par la démission du Président Barack Obama. 

Notre nation et le monde sont au seuil du chaos économique et social. Le système financier est en phase de désintégration et la plupart de nos états et de nos villes subissent des coupes budgétaires sans précédent qui ont pour conséquences l’accroissement du taux de mortalité. Cette situation rappelle la crise de 1933. Cette même année, l’Allemagne, sous les ordres de Wall Street et de la City de Londres, mettait Hitler au pouvoir. Dans le même temps, les États-Unis empruntait la voie patriotique avec l’élection de Franklin Roosevelt et la mise au pas de Wall Street.

  

  

Le 2 août 2011, sous l’énorme pression des mêmes banquiers de Wall Street et de Londres qui ont mis Hitler au pouvoir, le Congrès des États-Unis a adopté une législation en violation flagrante de la Constitution des États-Unis, Article 1 Section 8. 
Le Congrès entérine ainsi un programme d’austérité vicieux et inutile et crée un « super-Congrès » de douze membres pour appliquer ce programme. La totalité du projet, dont le super-Congrès, l’interdiction des débats et amendements, et le mécanisme de déclenchement automatique, est effrontément inconstitutionnelle. Cela fait directement écho à la loi allemande de 1933 abandonnant le pouvoir législatif aux mains du gouvernement criminel d’Adolf Hitler. Il fallut attendre les procès de la Seconde Guerre Mondiale pour que le monde se remette de cette folie. 
Le Président Obama a été un acteur central de cette législation, et à partir du moment où il a apposé son nom sur ce texte, il a franchi la limite. De nombreux membres du Congrès ont dénoncé ce texte, et des leaders nationaux l’ont déclaré inconstitutionnel. Il est aujourd’hui nécessaire d’aller plus loin. Je me joint à l’homme d’état américain Lyndon LaRouche et demande la démission immédiate du Président, sans quoi il devra faire face à une procédure de destitution. 
Tous les élus, dont je fait parti, ont juré solennellement de « protéger, défendre et promouvoir » la Constitution des États-Unis. J’appelle donc ici le Congrès a renouveler son serment et à annuler la législation du 2 août. 

Une fois fait, j’appelle le Congrès à rétablir sans délais la seule solution viable à la crise économique et à restaurer le Système américain d’économie. Nous devons commencer par rétablir la loi Glass-Steagall et ainsi mettre Wall Street en échec une bonne fois pour toute. Il faut pour cela une adoption rapide du projet de loi H.R. 1489 à la Chambre des représentants et au Sénat, pour restaurer la loi Glass-Steagall de 1933. Pendant les 66 années où la loi Glass-Steagall était en vigueur, les banques de Wall Street étaient sous contrôle, et nous avons évité l’effondrement financier. Le rétablissement de Glass-Steagall est la première étape indispensable à la reconstruction de notre nation. Et alors que nous nous engagerons sur cette voie, nous deviendrons un modèle et une source d’inspiration pour les nations qui souhaitent nous suivre. 

Je presse le Congrès à faire son devoir. Ce n’est pas une période pour les « soldats à mi-temps » ou les « patriotes de la dernière heure » [*]. Le peuple américain a trop souffert et ne mérite rien de moins. 

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Brèves /

Lyndon LaRouche : l’accord sur la dette américaine est un coup d’Etat à la Hitler

1er août 2011 – 21:46
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Communiqué de Lyndon LaRouche, le 1er août à 10h (heure américaine)


Alerte

Ma collaboratrice Debra Freeman vient de me communiquer des faits qui ne sont pas rapportés dans la presse, ce qui est facile à comprendre. Les Etats-Unis viennent d’être coulés (voir communiqué ci-dessous). Du jour au lendemain. Et tout ce qui est dans la presse est un sale mensonge visant à amener les gens vers des fausses pistes. Ce que vous êtes sur le point de perdre, ce sont les Etats-Unis. On est sur le point de dire adieu à la civilisation, de plonger la planète dans un âge de ténèbres.

Debra Freeman m’a fait un résumé de l’accord [conclu entre Obama et le Congrès]. On ne dispose pas encore de tous les détails, mais des sources de très haut niveau nous ont communiqué le contenu essentiel de l’accord. Il signifie la mort des Etats-Unis, et si nous ne l’arrêtons pas très rapidement, cela signifierait la fin. (…) Voilà l’urgence. Toutes les idées qu’on s’est fait ce matin en lisant la presse s’avèrent erronées. Tout cela crée de la confusion. Ce sont des articles qui ne touchent pas à l’essentiel de la question. (…)

L’intention immédiate est un coup d’Etat à la Hitler. C’est l’équivalent d’un coup hitlérien, seulement, c’est pire. Vous allez voir des tas d’Américains morts s’entasser dans les rues, et ce n’est pas une métaphore—à moins qu’on ne retourne la situation. Il nous reste la possibilité de retourner cette situation. La grande crise, nous y sommes ! La rapidité avec laquelle nous pouvons réagir à la situation sera décisive.

Un vote pour l’accord sur la dette est un vote pour la trahison

Communiqué du Larouche PAC


Après avoir reçu un rapport d’un de ses proches collaborateurs en discussion constante avec des responsables à Washington, Lyndon Larouche a conclu que si rien n’est fait pour stopper l’accord désastreux conclu par le Président Obama avec les deux partis au Congrès, pour le relèvement du plafond de la dette américaine, techniquement, les Etats-Unis sont perdus en tant que nation démocratique.

En réalité, il s’agit là d’un coup contre la Constitution des Etats-Unis et contre le peuple américain, une décision dont les conséquences sont pires que celles du coup fasciste d’Adolphe Hitler. Si cet accord est réellement voté, il impliquera des milliers de milliards des coupes, une politique atroce d’austérité fasciste.

Mais, ce n’est pas là le pire. Le pire c’est que ce projet inclut une mesure proposée par Obama pour la création d’un Super-congrès, un comité de 12 représentants, dont six démocrates et six républicains, qui auront le pouvoir, l’autorité et la responsabilité de décider, entre la mi et la fin novembre, de coupes supplémentaires de 1,5 mille milliards de dollars.

Ces coupes seront ensuite présentées au vote de l’ensemble du Congrès. Cependant, lorsqu’il sera saisi des recommandations de ce groupe de douze, le Congrès n’aura pas le droit d’y apporter le moindre amendement ni même d’entreprendre un « filibuster », procédure d’obstruction parlementaire qui permet de retarder le plus possible, ou même bloquer l’adoption d’une loi. Les élus ne pourront se prononcer sur ce projet que par oui ou par non, et même s’ils votent non, c’est-à-dire contre le projet de loi, des coupes automatiques de l’ordre de 1,500 milliards de dollars auront lieu. Elles seront divisées également entre les dépenses de la défense, et celles des programmes sociaux, sans que plus aucune discussion ne puisse avoir lieu sur le sujet.

Il ne fait pas de doute qu’Obama a négocié ce projet de loi pour le compte de ces maitres à la City de Londres et à Wall Street. La menace d’un défaut de paiements des Etats-Unis, celle d’une baisse de la notation de la dette souveraine ont été brandies contre les élus du Congrès à qui on a dit que si ces coupes n’étaient pas décidées, si la décision sur le plafond de la dette n’était pas adoptée au plus tard à la mi-août, les bourses allaient alors s’effondrer et ils en seraient les responsables.

Tout cela n’est que balivernes ! L’aspect le plus grave du plan d’Obama car il est inconstitutionnel, est la mesure visant à créer un Super-congrès, qui éliminerait le droit des élus à participer au processus délibératif sur un projet de loi. Ceci revient à dire que les décisions législatives seront le produit de la seule volonté d’Obama et de son comité de douze. Si notre représentation nationale n’est pas préparée à emboiter le pas à Obama, les décisions seront prises alors de façon automatique.

Le congrès doit savoir que voter pour ces coupes, autoriser Obama à créer ce Super-congrès, est un vote de trahison et qu’ils seront tenus pour responsables d’un acte qui viole la Constitution américaine. Croire ou prétendre que c’est la seule solution possible, est un mensonge. La remise en vigueur de la Loi Glass-Steagall est la seule solution. L’heure est tardive, mais il est encore possible de changer la donne.

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