Prières oecuméniques à 3 pour la paix de Jérusalem depuis Rome : le Pape, Shimon Pérès et Mahmoud Abbas

Mahmoud Abbas, le président palestinien et son homologue israélien Shimon Peres ont été accueillis en cette fin de dimanche après-midi par le Pape à la Maison Sainte-Marthe, où réside François. Après un accueil chaleureux, mais séparé, chacun a eu un entretien personnel avec le Pape à Sainte-Marthe. Les présidents israélien et palestinien se sont ensuite salués par une accolade chaleureuse, avant de se rendre avec le Pape et le patriarche orthodoxe Bartholomée, en mini-bus, vers les jardins du Vatican, pour un moment de prière historique.

La rencontre s’est déroulée en trois temps, faisant écho aux trois religions : judaïsme, chrétienté et islam. Le choix de cet ordre correspond à la chronologie d’apparition de ces religions. Les prières ont été prononcées en hébreu, anglais, italien et en arabe, entrecoupées d’interludes musicaux. A chaque fois, elles ont suivi un même schéma : louange, demande de pardon puis invocation pour la paix. Après les prières, le Pape, Shimon Peres et Mahmoud Abbas ont pris chacun à leur tour la parole, avant de planter un olivier dans les jardins. Ils se sont enfin entretenus loin des caméras. Dans un tweet ce dimanche, le Pape François invitait « toutes les personnes de bonne volonté de s’unir dans la prière pour la paix au Moyen-Orient ». « La prière peut tout. Utilisons-la pour porter la paix au Moyen-Orient et au monde entier » avait écrit le Pape dans un autre tweet samedi. Cette initiative, qui a suscité beaucoup d’espérance parmi les Palestiniens, et un certain scepticisme et quelques soupçons côté israélien, coïncidait avec la solennité de la Pentecôte, fête de l’Esprit Saint.

Premier à prononcer un discours, le Pape a affirmé qu’il faut du courage pour faire la paix, « bien plus que pour faire la guerre. Il faut du courage pour dire oui à la rencontre et non à l’affrontement ; oui au dialogue et non à la violence ; oui à la négociation et non aux hostilités ; oui au respect des accords et non aux provocations ; oui à la sincérité et non à la duplicité » a martelé le Pape. « L’Histoire nous enseigne que nos seules forces ne suffisent pas. Plus d’une fois, nous avons été proches de la paix, mais le malin, par divers moyens, a réussi à l’empêcher. Nous ne renonçons pas à nos responsabilités, mais nous invoquons Dieu comme un acte de suprême responsabilité, face à nos consciences et face à nos peuples. Il faut abattre les murs de l’inimitié et parcourir la route du dialogue, a conseillé François, il faut rompre la spirale de la haine et de la violence avec une seule parole : « frère ». Mais pour prononcer cette parole, nous devons tous lever le regard vers le Ciel, et nous reconnaître enfants d’un seul Père ». Le Pape François a ensuite adressé sa prière au Seigneur, Dieu d’Abraham et des Prophètes.

Ensuite, le président israélien Shimon Peres a voulu se présenter d’emblée comme un homme venu de la Cité Sainte, Jérusalem, le cœur battant du peuple juif. « En hébreu, a-t-il souligné, le mot Jérusalem et le mot paix ont la même racine ». Citant à plusieurs reprises l’Ecriture Sainte, Shimon Peres s’est dit convaincu qu’Israéliens et Palestiniens peuvent apporter la paix à leurs enfants, le bien-être et la prospérité. « Nous avons tous besoin de la paix » « Deux peuples désirent encore ardemment la paix, a-t-il affirmé. Les larmes des mères sur leurs fils sont gravées dans nos cœurs. Nous devons mettre fin aux cris, à la violence, au conflit. Nous tous, avons besoin de la paix. Paix entre égaux. Nous devons employer toutes nos forces pour l’atteindre rapidement. Même si cela demande des sacrifices et des compromis ». le président israélien a conclu son intervention par une prière : « que celui qui fait la paix dans les hauteurs fasse aussi la paix sur nous, et sur tout Israël, et sur le monde entier, et nous disons, amen ». Enfin, le président palestinien Mahmoud Abbas s’est exprimé au nom d’Allah, « suprêmement clément, suprêmement miséricordieux ». Il a prié Dieu de sauver Jérusalem en l’appelant « notre Cité bénie : la première Kiblah, la deuxième sainte mosquée, avec tout ce qui l’entoure ». Il a prié au nom du peuple de Palestine, – musulmans, chrétiens et samaritains -, qui « désire ardemment une paix juste, une vie digne et la liberté, dans un Etat souverain et indépendant ». Citant Jean-Paul II, il a souligné que « si la paix se réalise à Jérusalem, la paix sera témoignée dans le monde entier. Nous te demandons, a-t-il alors prié, de rendre la Palestine, et Jérusalem en particulier, une terre sûre pour tous les croyants, et un lieu de prière et de culte pour les adeptes des trois religions monothéistes, judaïsme, christianisme, et islam, et pour tous ceux qui désirent la visiter, comme il est décidé dans le Saint Coran ». Mahmoud Abbas a enfin souhaité une paix juste, la stabilité et la coexistence pour tous les peuples du Moyen-Orient.

Au moment de saluer le patriarche œcuménique de Constantinople Bartholomée, le Pape a qualifié sa participation de « grand don » ; un soutien précieux, le témoignage du chemin que, comme chrétiens, nous parcourons vers la pleine unité. Le patriarche grec-orthodoxe de Jérusalem Théophile figurait également parmi les invités à l’événement.

NDLR et réaction immédiate : en priant le Dieu d’Abraham et des Prophètes, le Pape évite soigneusement de faire référence au Dieu d’Abraham d’Isaac et de Jacob-Israël, ce qui pourtant est Biblique ! en priant pour « sauver » Jérusalem, Mahmoud Abbas sous-entend que Jérusalem est en danger et ne permet pas la liberté des cultes : ce qui est évidemment un mensonge de plus…énoncé depuis le Vatican un jour de Pentecôte ! De quoi chagriner l’Esprit SAint ? Dommage!  

Pape François : « il faut plus de courage pour faire la paix, que pour la guerre »

2014-06-08 Radio Vatican
 (RV) Après avoir écouté des prières juives, chrétiennes et musulmanes en différentes langues, le Pape François a pris la parole lors de l’invocation de paix historique qui s’est tenue ce dimanche au Vatican, avec le président israélien Shimon Peres et son homologue palestinien Mahmoud Abbas. « Pour faire la paix, il faut du courage, bien plus que pour faire la guerre », a affirmé le Pape François dans son discours, évoquant avec des accents dramatiques les victimes innocentes de la guerre et de la violence, les nouvelles générations épuisées par les conflits. « Il faut du courage pour dire oui à la rencontre et non à l’affrontement ; oui au dialogue et non à la violence ; oui à la négociation et non aux hostilités ; oui au respect des accords et non aux provocations ; oui à la sincérité et non à la duplicité » a martelé le Pape. « L’Histoire nous enseigne que nos seules forces ne suffisent pas. Plus d’une fois, nous avons été proches de la paix, mais le malin, par divers moyens, a réussi à l’empêcher. Nous ne renonçons pas à nos responsabilités, mais nous invoquons Dieu comme un acte de suprême responsabilité, face à nos consciences et face à nos peuples. Il faut abattre les murs de l’inimitié et parcourir la route du dialogue, a conseillé François, il faut rompre la spirale de la haine et de la violence avec une seule parole : « frère ». Mais pour prononcer cette parole, nous devons tous lever le regard vers le Ciel, et nous reconnaître enfants d’un seul Père ». Le Pape François a ensuite adressé sa prière au Seigneur, Dieu d’Abraham et des Prophètes : « Dieu Amour qui nous a créés et nous appelle à vivre en frères : rends-nous disponibles à écouter le cri de nos concitoyens qui nous demandent de transformer nos armes en instruments de paix, nos peurs en confiance et nos tensions en pardon. Et que du cœur de chaque homme soient bannis ces mots : division, haine, guerre ! Seigneur, a-t-il prié, désarme la langue et les mains, renouvelle les cœurs et les esprits, pour que la parole qui nous fait nous rencontrer soit toujours « frère », et que le style de notre vie devienne : shalom, paix, salam ! Amen ». Au moment de saluer le patriarche œcuménique de Constantinople Bartholomée, le Pape a qualifié sa participation de « grand don » ; un soutien précieux, le témoignage du chemin que, comme chrétiens, nous parcourons vers la pleine unité.
Le discours du Pape en intégralité :
« Messieurs les Présidents, Sainteté, frères et sœurs,Avec grande joie, je vous salue et je désire vous offrir à vous et aux distinguées délégations qui vous accompagnent, le même accueil chaleureux que vous m’avez réservé lors du pèlerinage que je viens d’effectuer en Terre Sainte. Je vous remercie du fond du cœur pour avoir accepté mon invitation à venir ici afin d’invoquer ensemble de Dieu le don de la paix. J’espère que cette rencontre sera un chemin à la recherche de ce qui unit, pour dépasser ce qui divise.Et je remercie Votre Sainteté, vénéré Frère Bartholomée, d’être ici avec moi pour accueillir ces hôtes illustres. Votre participation est un grand don, un soutien précieux ; et le témoignage du chemin que, comme chrétiens, nous parcourons vers la pleine unité. Votre présence, Messieurs les Présidents, est un grand signe de fraternité, que vous accomplissez en tant que fils d’Abraham, et une expression concrète de confiance en Dieu, Seigneur de l’histoire, qui nous regarde aujourd’hui comme frères l’un de l’autre et désire nous conduire sur ses voies. Cette rencontre d’invocation de la paix en Terre Sainte, au Moyen Orient et dans le monde entier, est accompagnée par la prière de très nombreuses personnes, appartenant à diverses cultures, patries, langues et religions : des personnes qui ont prié pour cette rencontre et qui, maintenant, sont unies à nous dans la même invocation. C’est une rencontre qui répond à l’ardent désir de tous ceux qui aspirent à la paix et rêvent d’un monde où les hommes et les femmes puissent vivre en frères et non comme des adversaires ou des ennemis. Messieurs les Présidents, le monde est un héritage que nous avons reçu de nos ancêtres, mais c’est aussi un prêt de nos enfants : des fils qui sont fatigués et épuisés par les conflits et désireux de parvenir à l’aube de la paix ; des fils qui nous demandent d’abattre les murs de l’inimitié et de parcourir la route du dialogue et de la paix afin que l’amour et l’amitié triomphent.Beaucoup, trop de ces fils sont tombés, victimes innocentes de la guerre et de la violence, plantes arrachées en pleine vigueur. C’est notre devoir de faire en sorte que leur sacrifice ne soit pas vain. Que leur mémoire infuse en nous le courage de la paix, la force de persévérer dans le dialogue à tout prix, la patience de tisser jour après jour la trame toujours plus solide d’une cohabitation respectueuse et pacifique, pour la gloire de Dieu et le bien de tous. Pour faire la paix, il faut du courage, bien plus que pour faire la guerre. Il faut du courage pour dire oui à la rencontre et non à l’affrontement ; oui au dialogue et non à la violence ; oui à la négociation et non aux hostilités ; oui au respect des accords et non aux provocations ; oui à la sincérité et non à la duplicité. Pour tout cela, il faut du courage, une grande force d’âme. L’histoire nous enseigne que nos forces ne suffisent pas. Plus d’une fois, nous avons été proches de la paix, mais le malin, par divers moyens, a réussi à l’empêcher. C’est pourquoi nous sommes ici, parce que nous savons et nous croyons que nous avons besoin de l’aide de Dieu. Nous ne renonçons pas à nos responsabilités, mais nous invoquons Dieu comme un acte de suprême responsabilité, face à nos consciences et face à nos peuples. Nous avons entendu un appel, et nous devons répondre : l’appel à rompre la spirale de la haine et de la violence, à la rompre avec une seule parole : « frère ». Mais pour prononcer cette parole, nous devons tous lever le regard vers le Ciel, et nous reconnaître enfants d’un seul Père. C’est à Lui que je m’adresse, dans l’Esprit de Jésus-Christ, demandant l’intercession de la Vierge Marie, fille de la Terre Sainte et notre Mère : Seigneur Dieu de paix, écoute notre supplication ! Nous avons essayé tant de fois et durant tant d’années de résoudre nos conflits avec nos forces et aussi avec nos armes ; tant de moments d’hostilité et d’obscurité ; tant de sang versé ; tant de vies brisées, tant d’espérances ensevelies… Mais nos efforts ont été vains. A présent, Seigneur, aide-nous Toi ! Donne-nous Toi la paix, enseigne-nous Toi la paix, guide-nous Toi vers la paix. Ouvre nos yeux et nos cœurs et donne-nous le courage de dire : ‘‘plus jamais la guerre’’ ; ‘‘avec la guerre tout est détruit !’’. Infuse en nous le courage d’accomplir des gestes concrets pour construire la paix. Seigneur, Dieu d’Abraham et des Prophètes, Dieu Amour qui nous a créés et nous appelle à vivre en frères, donne-nous la force d’être chaque jour des artisans de paix ; donne-nous la capacité de regarder avec bienveillance tous les frères que nous rencontrons sur notre chemin. Rends-nous disponibles à écouter le cri de nos concitoyens qui nous demandent de transformer nos armes en instruments de paix, nos peurs en confiance et nos tensions en pardon. Maintiens allumée en nous la flamme de l’espérance pour accomplir avec une patiente persévérance des choix de dialogue et de réconciliation, afin que vainque finalement la paix. Et que du cœur de chaque homme soient bannis ces mots : division, haine, guerre ! Seigneur, désarme la langue et les mains, renouvelle les cœurs et les esprits, pour que la parole qui nous fait nous rencontrer soit toujours « frère », et que le style de notre vie devienne : shalom, paix, salam ! Amen.
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Abbas, Peres et le Pape : trois supplications pour la paix

2014-06-08 Radio Vatican
 (RV) Après le temps de prière et l’invocation pour la paix, le Pape François, puis les présidents d’Israël et de Palestine ont pris la parole. Premier à prononcer un discours, le Pape a affirmé qu’il faut du courage pour faire la paix, « bien plus que pour faire la guerre. Il faut du courage pour dire oui à la rencontre et non à l’affrontement ; oui au dialogue et non à la violence ; oui à la négociation et non aux hostilités ; oui au respect des accords et non aux provocations ; oui à la sincérité et non à la duplicité » a martelé le Pape. Ensuite, le président israélien Shimon Peres a voulu se présenter d’emblée comme un homme venu de la Cité Sainte, Jérusalem, le cœur battant du peuple juif. « En hébreu, a-t-il souligné, le mot Jérusalem et le mot paix ont la même racine ». Citant à plusieurs reprises l’Ecriture Sainte, Shimon Peres s’est dit convaincu qu’Israéliens et Palestiniens peuvent apporter la paix à leurs enfants, le bien-être et la prospérité. « Nous avons tous besoin de la paix » « Deux peuples désirent encore ardemment la paix, a-t-il affirmé. Les larmes des mères sur leurs fils sont gravées dans nos cœurs. Nous devons mettre fin aux cris, à la violence, au conflit. Nous tous, avons besoin de la paix. Paix entre égaux. Nous devons employer toutes nos forces pour l’atteindre rapidement. Même si cela demande des sacrifices et des compromis ». le président israélien a conclu son intervention par une prière : « que celui qui fait la paix dans les hauteurs fasse aussi la paix sur nous, et sur tout Israël, et sur le monde entier, et nous disons, amen ». Enfin, le président palestinien Mahmoud Abbas s’est exprimé au nom d’Allah, « suprêmement clément, suprêmement miséricordieux ». Il a prié Dieu de sauver Jérusalem en l’appelant « notre Cité bénie : la première Kiblah, la deuxième sainte mosquée, avec tout ce qui l’entoure ». Il a prié au nom du peuple de Palestine, – musulmans, chrétiens et samaritains -, qui « désire ardemment une paix juste, une vie digne et la liberté, dans un Etat souverain et indépendant ». « Une terre sûre pour les croyants » Citant Jean-Paul II, il a souligné que « si la paix se réalise à Jérusalem, la paix sera témoignée dans le monde entier. Nous te demandons, a-t-il alors prié, de rendre la Palestine, et Jérusalem en particulier, une terre sûre pour tous les croyants, et un lieu de prière et de culte pour les adeptes des trois religions monothéistes, judaïsme, christianisme, et islam, et pour tous ceux qui désirent la visiter, comme il est décidé dans le Saint Coran ». Mahmoud Abbas a enfin souhaité une paix juste, la stabilité et la coexistence pour tous les peuples du Moyen-Orient.
Photo : le président israélien Shimon Peres serre la main du président palestinien Mahmoud Abbas sous l’œil du Pape François
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Invocation pour la paix historique au Vatican

2014-06-08 Radio Vatican
 (RV) Mahmoud Abbas, le président palestinien et son homologue israélien Shimon Peres ont été accueillis en cette fin de dimanche après-midi par le Pape à la Maison Sainte-Marthe, où réside François. Après un accueil chaleureux, mais séparé, chacun a eu un entretien personnel avec le Pape à Sainte-Marthe. Les présidents israélien et palestinien se sont ensuite salués par une accolade chaleureuse, avant de se rendre avec le Pape et le patriarche orthodoxe Bartholomée, en mini-bus, vers les jardins du Vatican, pour un moment de prière historique. Ecoutez le récit de cette rencontre raconté par Romilda Ferrauto  Alors que le processus de paix est en panne et que le climat de défiance s’est accentué entre Israël et les Palestiniens, ce moment a été pensé comme une pause dans le conflit israélo-palestinien. Abbas, Peres et le Pape ont pris place dans un triangle de verdure au cœur du Vatican, un lieu neutre avec en toile de fond la basilique Saint Pierre. Le patriarche grec-orthodoxe de Jérusalem Théophile figurait également parmi les invités à l’événement. Trois religions, trois temps de prière La rencontre s’est déroulée en trois temps, faisant écho aux trois religions : judaïsme, chrétienté et islam. Le choix de cet ordre correspond à la chronologie d’apparition de ces religions. Les prières ont été prononcées en hébreu, anglais, italien et en arabe, entrecoupées d’interludes musicaux. A chaque fois, elles ont suivi un même schéma : louange, demande de pardon puis invocation pour la paix. Après les prières, le Pape, Shimon Peres et Mahmoud Abbas ont pris chacun à leur tour la parole, avant de planter un olivier dans les jardins. Ils se sont enfin entretenus loin des caméras. Union de prière dans le monde entier  Dans un tweet ce dimanche, le Pape François invitait « toutes les personnes de bonne volonté de s’unir dans la prière pour la paix au Moyen-Orient ». Il avait déjà remercié lors de la prière du Regina Cœli dimanche midi toutes les personnes qui prient pour le succès de cette rencontre. « La prière peut tout. Utilisons-la pour porter la paix au Moyen-Orient et au monde entier » avait écrit le Pape dans un autre tweet samedi. Cette initiative, qui a suscité beaucoup d’espérance parmi les Palestiniens, et un certain scepticisme et quelques soupçons côté israélien, coïncidait avec la solennité de la Pentecôte, fête de l’Esprit Saint.

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