Les États-Unis, le Canada et la France soutiennent pleinement le traité de l’OMS sur les pandémies
Des bureaucrates non élus soutiennent les projets visant à renforcer les pouvoirs de l’OMS.
Depuis le début de la pandémie de grippe aviaire, de puissantes institutions en ont profité pour renforcer la surveillance et le contrôle de la parole.
L’une de ces institutions, l’OMS, une agence mondiale de santé non élue, a passé plus d’un an à faire pression pour étendre ses pouvoirs par le biais de deux instruments : un traité/accord sur les pandémies et des amendements au Règlement sanitaire international (2005). Ces instruments donneront collectivement à l’OMS, une agence de santé non élue, de nouveaux pouvoirs pour cibler la « désinformation », développer ses outils de surveillance et mettre en place un cadre pour les passeports vaccinaux mondiaux.
Le mois dernier, lors d’une table ronde organisée dans le cadre de la soixante-seizième Assemblée mondiale de la santé (AMS), la réunion annuelle de l’organe décisionnel de l’OMS, le secrétaire américain à la santé et aux services sociaux, Xavier Becerra (un bureaucrate non élu nommé par le président Joe Biden avec l’accord du Sénat américain), l’administrateur en chef de la santé publique du Canada, Theresa Tam (une bureaucrate non élue nommée par l’ancienne ministre canadienne de la santé, Jane Philpott), et d’autres encore ont apporté leur soutien inconditionnel à ces instruments.
M. Becerra a déclaré que les États-Unis s’engageaient à soutenir les travaux de l’organe intergouvernemental de négociation (OIN) de l’OMS (groupe chargé de rédiger et de négocier le traité sur les pandémies), les amendements au règlement sanitaire international (RSI), le renforcement de la « biosurveillance et des systèmes de données pour l’alerte rapide en cas de menaces biologiques » et l’amélioration de « l’équité dans la préparation et la réponse aux pandémies ».
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