306 morts et plus de 3000 bléssés dans un double séïsme en IRAN : le son de la HAARP ?

La CHINE a également été touché. Plusieurs voix s’élèvent pour dénoncer les conséquences du projet subversif et presque secret de HAARP. Délire paranoïaque ou quelqu’un joue-t-il de la HAARP dans cette région du monde si convoitée ?  

Alors même que mi-juillet, un vice-président iranien, cité par l’agence Fars, affirmait que l’Occident était responsable de la sécheresse qui frappe le sud de l’Iran dans le cadre de sa « guerre non déclarée » contre la République islamique, deux fortes secousses telluriques ont secoué samedi après-midi à quelques minutes d’intervalle les régions d’Ahar et Varzeghan, situées dans le nord-ouest de l’Iran.

Précisons que cette catastrophe intervient  tandis que la sécheresse pourrait faire s’envoler le cours des matières agricoles et enflammer la planète toute entière par des émeutes de la faim. Téhéran a récemment mis les pieds dans le plat. « J‘ai des doutes sur la sécheresse anormale qui touche le sud du pays. L’oppression et le colonialisme mondial (appellations de l’Occident par les dirigeants iraniens) influencent la situation météorologique avec des moyens technologiques (…) et cela fait partie de la guerre non déclarée » des Occidentaux contre l’Iran, a ainsi récemment déclaré le vice-président chargé du tourisme, Hassan Moussavi. En aout 2010, le très sérieux journal Ria Novosti, rappelait d’ores et déjà que les Américains travaillent depuis quelques années sur la capacité de contrôler le climat dans diverses régions du monde. Cette technologie, développée dans le cadre du High-frequency Active Aural Research Program (HAARP), est capable de provoquer des phénomènes tels que des sécheresses, des ouragans, des tremblements de terre et des inondations.

Andreï Arechev, l’auteur de l’article, indiquait par ailleurs que « du point de vue militaire, le projet HAARP est une arme de destruction massive, un instrument d’expansion qui permet de déstabiliser sélectivement les systèmes écologiques et agricoles des pays et des régions ciblés… La base technique connue du programme est un système d’émetteurs électromagnétiques destiné à l’étude des processus dans l’ionosphère et composé de 360 émetteurs radio et de 180 antennes d’une hauteur de 22 mètres » précisait encore le journaliste de Ria Novosti. « En émettant dans le ciel 3 600 kilowatts la station est devenue l’installation la plus puissante au monde pouvant agir sur l’ionosphère » affirmait-il enfin.

« On pourrait toujours continuer à rire de Hugo Chavez qui a expliqué le tremblement de terre dévastateur en Haïti par la mise en application de HAARP » déclarait alors le journaliste, ajoutant toutefois que des hypothèses similaires avaient été formulées après le tremblement de terre dans la province chinoise de Sichuan en 2008. « Néanmoins, il semblerait que les changements climatiques au service des intérêts politiques soient loin d’être un mythe » s’exclamait-il dès 2010. Les développements dans le domaine d’armement climatique semblent atteindre la « capacité de rendement prévue», en engendrant les sécheresses, en détruisant les récoltes et en provoquant sur le territoire de la « cible »toute une série de phénomènes anormaux concluait-il enfin.

Hugo CHAVEZ : « US was playing GOD by testing weapon that caused quake… »

ICI, sur PrisonPlanet.com…

 Moïse jouait-il de la HAARP en Egypte à l’occasion des 10 plaies ? Il semblerait que l’homme soit aujourd’hui en capacité de maitriser les phénomènes naturels qu’autrefois, « la science des égyptiens » qualifiait de « magie » et que l’Apocalypse qualifie de « prodiges et de miracles ».   

L’Iran frappé par deux violents séismes en pleine mise en cause du projet Haarp

 

Ironie du sort, effet boomerang, retour à l’envoyeur ?

Alors même que mi-juillet, un vice-président iranien, cité par l’agence Fars, affirmait que l’Occident était responsable de la sécheresse qui frappe le sud de l’Iran dans le cadre de sa « guerre non déclarée » contre la République islamique, deux fortes secousses telluriques ont secoué samedi après-midi à quelques minutes d’intervalle les régions d’Ahar et Varzeghan, situées dans le nord-ouest de l’Iran.

Doté sur son territoire de plusieurs failles sismiques – sources d’importantes richesses en hydrocarbures – le pays a connu de nombreux tremblements de terre dévastateurs. Le séisme le plus meurtrier remonte à décembre 2003 dans la ville de Bam, située dans le sud du pays. Quelque 31 000 personnes y sont mortes, soit le quart de la population de Bam.

A l’heure actuelle, le dernier bilan des deux violents tremblements de terre d’une magnitude de 6,4 et 6,3 qui ont frappé samedi le nord-ouest de l’Iran faisait état d’environ 300 morts et quelque 2600 blessés. Un bilan qui devrait s’alourdir durant les prochaines heures, selon les autorités locales.

De nombreux blessés se trouvent dans une situation critique et des centaines d’autres sont encore prisonniers des décombres, les secours ayant été ralentis par la nuit tombante. Le ministre de l’Intérieur, Mostapha Mohammad a néanmoins annoncé l’abandon des recherches, tout en indiquant que « la moitié des 600 villages de la zone ont été détruits entre 40 et 100 % ».

Précisons que cette catastrophe intervient alors même que si certains s’interrogent ici où là sur le réel but du projet Haarp mené par les Etats-Unis, tandis que la sécheresse pourrait faire s’envoler le cours des matières agricoles et enflammer la planète toute entière par des émeutes de la faim, Téhéran a récemment mis les pieds dans le plat.

« J‘ai des doutes sur la sécheresse anormale qui touche le sud du pays. L’oppression et le colonialisme mondial (appellations de l’Occident par les dirigeants iraniens) influencent la situation météorologique avec des moyens technologiques (…) et cela fait partie de la guerre non déclarée » des Occidentaux contre l’Iran, a ainsi récemment déclaré le vice-président chargé du tourisme, Hassan Moussavi.

En aout 2010, le très sérieux journal Ria Novosti, nous rappelait d’ores et déjà que les Américains travaillent depuis quelques années sur la capacité de contrôler le climat dans diverses régions du monde.
Cette technologie, développée dans le cadre du High-frequency Active Aural Research Program (HAARP), est capable de provoquer des phénomènes tels que des sécheresses, des ouragans, des tremblements de terre et des inondations.

Andreï Arechev, l’auteur de l’article, indiquait par ailleurs que « du point de vue militaire, le projet HAARP est une arme de destruction massive, un instrument d’expansion qui permet de déstabiliser sélectivement les systèmes écologiques et agricoles des pays et des régions ciblés. ».

« La base technique connue du programme est un système d’émetteurs électromagnétiques destiné à l’étude des processus dans l’ionosphère et composé de 360 émetteurs radio et de 180 antennes d’une hauteur de 22 mètres » précisait encore le journaliste de Ria Novosti. « En émettant dans le ciel 3 600 kilowatts la station est devenue l’installation la plus puissante au monde pouvant agir sur l’ionosphère » affirmait-il enfin.

Le programme, lancé en 1990, est financé par la direction des Recherches maritimes et par le laboratoire de Recherche de l’armée de l’air américaine avec la participation des plus grandes universités.

On pourrait toujours continuer à rire de Hugo Chavez qui a expliqué le tremblement de terre dévastateur en Haïti par la mise en application de HAARP déclarait alors le journaliste, ajoutant toutefois que des hypothèses similaires avaient été formulées après le tremblement de terre dans la provincechinoise de Sichuan en 2008.

« Les exigences de soulever le voile du secret défense sur les expérimentations menées en Alaska n’ont jamais cessé d’être exprimées aux États-Unis et dans d’autres pays. En Russie les exigences similaires n’ont jamais été exprimées de façon bruyante » précisait encore Andreï Arechev.

« Néanmoins, il semblerait que les changements climatiques au service des intérêts politiques soient loin d’être un mythe » s’exclamait-il dès 2010.

Les développements dans le domaine d’armement climatique semblent atteindre la « capacité de rendement prévue», en engendrant les sécheresses, en détruisant les récoltes et en provoquant sur le territoire de la « cible »toute une série de phénomènes anormaux concluait-il enfin.

Sources : AFP, Reuters, Radio Canada, Ria Novosti, Wikistrike, Nature alerte

****************************************************************************************************

 

Laisser un commentaire