Les « justes » parmi Israël aideront-ils les Chrétiens amis d’Israël ?

Chrétien français : et mon Alya à moi ?(vu sur http://www.europe-israel.org/2015/01/chretien-francais-et-mon-alya-a-moi/ )

Chrétien français : et mon Alya à moi ?

J’écoute les émissions consacrées à Alya des juifs français et je suis grave jaloux. Encore plus quand j’entends un président et son 1er ministre leur dire qu’ils sont les bienvenus en Israël, limite ils envoient le room service pour venir prendre leurs bagages. En cas de pépins, les juifs ont le droit à une assurance « assistance rapatriement », tandis que moi, pauvre goy français, j’ai juste droit à une assurance obsèques.
Je suis là devant mon poste de TV à écouter les hommes politiques français réciter la même litanie : « Plus jamais ça ! » mais je sais que demain ce sera encore ça et même pire ! On parle de 5 à 10 % de musulmans radicalisés en France ; si je prends la calculette, cela fait entre 300 et 600 milles personnes (sur une fourchette basse de 6 millions d’individus, alors que certains parlent déjà officiellement de 10 millions de muslims en France). Si on compare ces chiffres avec nos 67 738 places de prisons toutes occupées, ou nos 143 600 policiers disponibles, la comparaison fait peur. Evidemment une infime minorité passera à l’acte, mais ça fait tout de même un sacré réservoir d’alimentation.On a quand même ce chiffre de 28 000 salauds qui ont retweeté  » #Je suis Kouachi  » pour nous mettre la puce à l’oreille. Autre indice piquant et pas des moindres : 54% des musulmans français sont favorables à l’application de la charia en France (37% de façon partielle et 17% de façon absolue) d’après un sondage de 2008 pour le CSA ! On imagine les pourcentages aujourd’hui avec 6 ans en plus de pourrissement de la situation !
Où est-ce que je devrais trouver des motifs d’espoir ? Certes, l’état réorientera sûrement ses budgets vers la sécurité et l’armée, mais pour quoi faire ? Le combat est perdu d’avance puisque l’ennemi a déjà ses propres territoires à l’intérieur du nôtre : ces zones de non-droit, appelées «les banlieues», où ils peuvent s’organiser, cacher leurs arsenaux, profiter des complicités et de l’argent des leurs réseaux mafieux. La grande différence avec les zones de non-droit d’autres pays non musulmans (qu’elles se nomment « ghettos », « favelas », « township »,…) c’est que les nôtres sont les seules à être acquises à l’islamisme et peuplées de binationaux capables de faire la navette, une particularité de taille quasi inédite. La seule comparaison possible serait celle des territoires occupés en Israël, moins les murs et les zones de surveillances militaires autour.

Justement au sujet d’Israël, on m’explique partout que l’insécurité et les risques sont supérieurs là-bas.

Pour les juifs, certainement pas ! En France, ils vivent désormais un couvre-feu permanent. Même les traîtres qui ont fait allégeance politique à l’anti-sioniste de gauche ou accepté le camouflage religieux par complicité speudo-laïcarde, doivent raser les murs en allant à la synagogue ou au supermarché du coin !

Pour un goy, tout est question de point de vu mais moi j’ai déjà tranché : aucun doute, la soit disante délinquance (en pleine explosion malgré les bidouilles statistiques et la résignation des victimes à porter plainte) est en réalité un djihad caché. Allez faire un tour dans les tribunaux, renseignez-vous sur les prisons, questionnez les policiers… tout le monde sait ! Même les atteintes aux biens et aux personnes s’inscrivent dans un schéma plus global. Cela va plus loin que la simple haine contre l’autorité, comme un voyou gangsta l’aurait contre l’ordre policier américain ou un noir sud-africain contre un pouvoir blanc. Chez nous, il existe une aversion profonde pour le kouffar dans tout ce qu’il représente de non-musulman, à tel point que la police française ne voit plus la frontière entre le banditisme des cités et les agissements pro-djihadistes. Pour preuve, ils envoient aussi la BRI lors des prises d’otages récentes.

 Des solutions existent pourtant mais ne seront jamais prises parce que la France à cette orgueil de vouloir préserver en priorité sa dignité de nation fraternelle, baignée d’angélisme droits-de-l’hommiste. Il faudrait généraliser la politique des indics de police et arroser la voyoucrasie d’argent mais cela risque de heurter nos magistrats de gauche. Il faudrait pratiquer des actions d’élimination de type « false flag », comme le Mossad ou les anglais en Irlande du Nord, mais nos politiques ont peur des médias.

Quelle revanche de l’histoire contemporaine, cette fois les juifs pourront être sauvés tandis que nous, français goys, devrons rester pour assister au naufrage du bateau au son des violons. Et si les Israéliens devaient subir le même sort que nous, au moins eux tomberont les armes à la main, au lieu de la honte. Entre temps, j’espère pour moi que des justes juifs m’exfiltreront clandestinement en terre sainte car je serai probablement dans les premières rafles.

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