Un musée vide pour réécrire l’histoire de la Judée…

http://img.over-blog-kiwi.com/1/42/73/28/20160530/ob_93b13e_13339629-620774041422997-1990788833225.jpgMusée palestinien : un lieu vide pour un pays qui n’existe pas

Un musée vient d’ouvrir ses portes à Bir Zeit, près de Ramallah, à la frontière entre les territoires de Judée et de Samarie, la Cisjordanie « gérée » par l’Autorité palestinienne. Ce musée est financé en partie par l’Union européenne et par la France. Il aurait coûté 28 millions de dollars. Il est censé être consacré à l’histoire et à la culture palestiniennes.

 

 

Mahmoud Abbas a inauguré en grande pompe ce Musée palestinien le 18 mai, censé devenir le réceptacle de la « mémoire de son peuple ». Mais ce projet politique ouvre sans la moindre œuvre d’art ou élément historique à présenter!

bir-zeitIl a – parait-il – fallu 20 ans de préparation et de travaux pour en arriver là et le président palestinien voit en ce premier musée historique des territoires palestiniens l’une des pierres de la « construction d’un État palestinien indépendant ». Ce que ne dit pas Habbas, c’est le niveau de corruption incroyable de son « autorité », ce qui explique sans doute les 20 ans nécessaires pour en arriver là.

Dessiné par des architectes irlandais et chinois, l’enceinte est un bâtiment moderne, écologiquement responsable, qui se fond dans le décor des collines. « Il y a 500 mètres carrés d’espace pour des expositions », a expliqué fièrement à France 24 Omar Qattan, le directeur du musée.

Derrière la façade, rien! A l’image de l’Autorité palestinienne, incapable de gérer quoi que ce soit, le « musée » est un dédale de salles vides. Il paraît que les premières expositions pourraient débuter en octobre. Au cours des derniers mois, le directeur et plusieurs responsables du musée ont démissionné. Mais les responsables palestiniens gardent le silence sur la déroute de leur projet « ambitieux ». 

Afficher l'image d'origineL’histoire palestinienne arabe a de fait été inventée de toutes pièces, avec l’aide d’institutions politisées et antisémites, comme l’UNESCO, qui tentent d’effacer l’histoire juive, en appelant mosquée le Temple juif qui existait 1600 ans avant que Mohamed ne voie le jour.

 
Dès lors que la culture palestinienne à proprement parler n’existe pas, il n’a évidemment pas été possible d’exposer dans le musée des éléments illustrant ladite « culture ».
 
Ce musée vide souligne l’ampleur de l’imposture qui se situe au cœur de la « cause palestinienne ». Son directeur est un Libanais qui vit au Royaume-Uni. Le responsable des expositions est un Arabe britannique qui travaille dans un musée de Londres. Ces hommes sont rémunérés pour dire qu’ils sont « palestiniens », sans qu’ils le soient. Leur vie est ailleurs.palmuseum
                                   Salle « Histoire de la Palestine arabe »
On expliquera sans doute aux visiteurs que les « Palestiniens » descendent des Philistins, ce qui est absolument faux. On leur racontera vraisemblablement que le « peuple palestinien » était ici sur sa terre depuis des siècles, alors que l’immense majorité des Arabes vivant sur la terre d’Israël y sont arrivés dans la première moitié du vingtième siècle, afin de trouver du travail auprès des Juifs mus par le projet sioniste, qui y avaient cultivé la terre et créé des entreprises.
 
On ne leur dira pas, en revanche, que lorsque Mark Twain s’est rendu à Jérusalem à la fin du dix-neuvième siècle, comme il l’explique dans son livre The Innocents Abroad [vers. fr. : Le voyage des innocents. Ndlr.], il a vu des Juifs et des Arabes, mais strictement personne qui se disait « palestinien ».
 
On ne leur dira pas que lorsque le mot Palestine a refait son apparition sur la terre d’Israël, il a servi à désigner les habitants du Mandat palestinien confié au Royaume-Uni pour qu’y soit établi le foyer national juif et il a désigné uniquement les Juifs.
 
On ne leur dira pas que les Britanniques ont favorisé, dans les années 1920-1930, l’immigration arabe sur le territoire du Mandat palestinien, trahissant ainsi les conditions mêmes du Mandat, asphyxiant l’immigration juive et créant une situation explosive dont les effets sont visibles jusqu’à ce jour.
 
On ne leur parlera pas de l’oncle de Yasser Arafat, l’ancêtre de la « cause palestinienne », Amin al Husseini, nommé au poste de principale autorité religieuse musulmane de Jérusalem par les Britanniques, qui était un admirateur d’Adolf Hitler, avec lequel il a collaboré ensuite jusque dans l’extermination des Juifs d’Europe.
 
On ne dira évidemment pas aux visiteurs du musée vide, que la notion de « peuple palestinien » a été inventée il y a un peu plus de cinq décennies et qu’il a fallu ensuite apprendre aux Arabes de Judée-Samarie et de Gaza, à coups de lavages de cerveaux intensifs, qu’ils constituaient le « peuple palestinien », ce qu’ils ne pouvaient qu’ignorer totalement jusque-là. 
Ils prendront probablement ce qu’on leur dira pour argent comptant et repartiront imprégnés d’encore plus de haine à l’encontre des Juifs et d’Israël, ce qui est précisément le but de cet étrange exercice « culturel ».
 
On peut leur suggérer d’exposer des photographies rappelant ce que la « cause palestinienne » a apporté au monde : détournements d’avion, bombes déposées dans des lieux fréquentés par des enfants, attentats-suicides, etc…
 
On attend avec impatience de découvrir ce qui remplira un jour ce musée désespérément vide!
C.T.

 

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