Le Club de Rome persiste et confirme le livre de l’Apocalypse : 4 milliards d’humains doivent disparaitre !

 
Il y a quelques semaines, le Club de Rome célébrait le quarantième anniversaire de son célèbre rapport (surnommé «Halte à la croissance »), dit aussi Rapport Meadows, du nom de son principal rédacteur. Ce rapport avait été présenté au public le 1er mars 1972, à partir d’une commande faite par le même Club de Rome (créé en 1968) au Massachusetts Institute of Technology (MIT) en 1970.
 
Le Club de Rome est un groupe de réflexion réunissant des scientifiques, des économistes, des fonctionnaires nationaux et internationaux, ainsi que des industriels de 53 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu’en développement. Il doit son nom au lieu de sa première réunion à Rome, à l’Accademia dei Lincei le 8 avril 1968. Son comité exécutif est constitué de treize membres.
 
Le point essentiel, que tous les gouvernements, que toutes les entreprises, tout les média auraient du noter, est que le rapport de 2012 confirme celui de 1972. Celui-ci donnait soixante ans au système économique mondial pour s’effondrer, confronté à la diminution des ressources et à la dégradation de l’environnement. La situation est confirmée par la formule du Smithsonian Magazine, «The world is on track for disaster…», autrement dit, “tout se déroule comme prévu pour que survienne le désastre”.Ce désastre, comme le résume le physicien australien Graham Turner, qui a succédé à Dennis Meadows comme rédacteur coordonnateur, découlera du fait que, si l’humanité continue à consommer plus que la nature ne peut produire, un effondrement économique se traduisant pas une baisse massive de la population se produira aux alentours de 2030. Le désastre n’est donc plus loin de nous, mais tout proche. 2020est d’ailleurs considéré par certains experts comme une date plus probable.Les chercheurs affirment que seul un gouvernement mondial peut sauver l’humanité. 

Le site officiel du Club of Rome et ses prédictions apocalyptiques : par  ICI !

 

Notez sur ce graphe l’inflexion du pic de population : la moitié de l’humanité disparait…confirmant les prophéties du livre de l’Apocalypse. C’est de la plagia cette étude scientifique ?

Notez également que 5 milliards de morts en 2030 raménerait la population mondiale à son niveau de…1987 !!! Ce qui, à l’échelle de l’Histoire et de la Nature, n’est rien d’autre qu’une mini-régulation…

Attention : cette nouvelle annonce apocalyptique a pour seule ambition de nous faire accepter pour NOTRE BIEN, un gouvernement mondial qui doit nous éviter la catastrophe !

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Il y a quelques semaines, le Club de Rome célébrait le quarantième anniversaire de son célèbre rapport (surnommé «Halte à la croissance?»), dit aussi Rapport Meadows, du nom de son principal rédacteur. Ce rapport avait été présenté au public le 1er mars 1972, à partir d’une commande faite par le même Club de Rome (créé en 1968) au Massachusetts Institute of Technology (MIT) en 1970.

Cette célébration a donné lieu à un symposium le 1er mars 2012, dont les conclusions sont présentées sur le site du Club de Rome. Dans le même temps, un des organisme en charge du rapport, le Smithsonian Institution, rend public une version actualisée pour 2012 du rapport de 1972. Il s’agit, en fait d’un second rapport, utilisant la même méthodologie que le premier, avec les mêmes acteurs, le Club de Rome commanditaire et le MIT exécutant. Les instruments d’analyse ont cependant été modernisés, pour tenir compte des importants progrès accomplis dans les méthodes d’observation et de prévision.

Le point essentiel, que tous les gouvernements, que toutes les entreprises, tout les média auraient du noter, est que le rapport de 2012 confirme celui de 1972. Celui-ci donnait soixante ans au système économique mondial pour s’effondrer, confronté à la diminution des ressources et à la dégradation de l’environnement. La situation est confirmée par la formule du Smithsonian Magazine, «The world is on track for disaster…», autrement dit, “tout se déroule comme prévu pour que survienne le désastre”.

Ce désastre, comme le résume le physicien australien Graham Turner, qui a succédé à Dennis Meadows comme rédacteur coordonnateur, découlera du fait que, si l’humanité continue à consommer plus que la nature ne peut produire, un effondrement économique se traduisant pas une baisse massive de la population se produira aux alentours de 2030.

Le désastre n’est donc plus loin de nous, mais tout proche. 2020 est d’ailleurs considéré par certains experts comme une date plus probable. L’effondrement pourrait se produire bien avant 2030. Autrement dit tous les projets envisagés pour le moyen terme de 10 ans seraient impactés, voire rendus inopérants. Les rapporteurs font cependant preuve d’optimisme, en écrivant que si des mesures radicales étaient prises pour réformer le Système, la date buttoir pourrait être repoussée.

Rien ne sera fait

Mais nous devons pour notre part considérer, y compris en ce qui concerne nos propres projets, collectifs ou individuels, qu’aucune de ces mesures radicales ne seront prises. Le système économico-polirique, selon nous, ne peut se réformer. Ce sont en effet les décisions des gouvernements, des entreprises et des médias qui convergent pour que tout continue comme avant, business as usual, ceci jusqu’au désastre. Une petite preuve peut en être fournie par le fait que pratiquement aucune publicité n’a été donnée par aucun des acteurs que nous venons d’énumérer à la publication de cette seconde version du Rapport.

Insistons sur le fait que ce n’est pas seulement le réchauffement global qui est incriminé par les rapporteurs, mais plus généralement l’épuisement des ressources et, au-delà, d’une façon plus générale, le saccage catastrophique de l’environnement sous toutes ses formes, autrement dit “la destruction du monde”. Pour l’empêcher, il ne faudrait pas seulement réduire notre production de gaz à effets de serre, mais s’imposer une décroissance radicale, à commencer par celle qui devrait être mise en oeuvre dans les pays riches, qui sont les plus consommateurs et les plus destructeurs.

Vains espoirs. Il suffit de voir comment, lors des élections françaises de cette année, la question a été évacuée des enjeux politiques 1). Dans le même temps, on envisage sérieusement de relancer la recherche des gaz de schistes et d’entreprendre des forages profonds en Méditerranée…Petit exemple, car des mesures autrement plus dangereuses se préparent en Arctique et ailleurs.

Les opinions publiques se rassureront en faisant valoir que si ce nouveau rapport n’est pas discuté, si des milliers d’ « experts » de tous ordres ne le mentionnent pas, c’est parce qu’il est le produit d’un étroit groupe de pression comptant sur le catastrophisme pour prospérer.

Nous pensons pour notre part que certains décideurs, discrets mais influents, prennent au contraire ces prévisions très au sérieux et se préparent, évidemment par la force, à protéger leurs avantages face à la révolte des milliards d’humains qui seront touchés par le futur effondrement.

1) Sauf, marginalement, par le Front de Gauche. Voir ici même http://www.mediapart.fr/journal/france/080412/la-planification-ecologique-enquete-sur-une-idee-retro-futuriste

 

Sources

plantri.gif Nouveau rapport du Club de Rome http://www.clubofrome.org/?p=3392
plantri.gif Article du Smithsonian Magazine http://www.smithsonianmag.com/science-nature/Looking-Back-on-the-Limits-of-Growth.html#ixzz1rEEVUFqq
plantri.gif Rapport du Club de Rome 1972. Halte à la croissance http://fr.wikipedia.org/wiki/Halte_%C3%A0_la_croissance_%3F

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Le MIT prédit que la moitié de l’humanité sera éliminée dans un crash post-industriel
Les chercheurs affirment que seul un gouvernement mondial peut sauver l’humanité
par Aaron Dykes
   
 
 
 
 

Cinq milliards de personnes périront-elles dans le siècle à venir? C’est ce que prédisait en 1972 le think tank élitiste controversé du Club de Rome. Quelques décennies après sa publication, les promoteurs du gouvernement mondial poussent toujours ses prédictions afin de freiner l’empreinte de l’humanité sur terre.

Le physicien australien Graham Turner est revenu récemment sous les feux de la rampe après avoir revisité les modèles informatiques des chercheurs du Massachussets Institute of Technology (MIT), créés pour la publication du Club de Rome en 1972, qui voit un déclin draconnien de la population humaine en relation avec l’augmentation de la rareté des ressources naturelles. Néanmoins, les conclusions de base de Turner trahissent l’agenda et le mettent en pleine vue de tous. “Le monde est sur le chemin d’un désastre”, dit-il de manière laconique, tout en suggérant que “une croissance économique illimitée” est toujours possible si les gouvernements du monde appliquent certaines politiques et investissent dans les technologies vertes qui aident à limiter l’augmentation de notre empreinte écologique.

Le Club de Rome d’obédience néo-malthusienne, refait surface une fois de plus, à un moment opportun où les environnementalistes demandent une gouvernance mondiale pour sauver la planète terre, et pour présenter des modèles informatiques qu’il a développé avec le MIT. Il prédit un futur pessimiste où les ressources limitées comme le pétrole, la nourriture et l’eau, devraient déclancher un crash qui se terminera avec une réduction précipitée de la population humaine. Le graphique (NdT: voir l’article original en anglais), bien que ne présentant pas de données sur l’axe des ordonnées (axe Y), apparait montrer un niveau de population mondiale en 2100 a peu près identique aux 4,5 milliards de 1980, ce qui représente un déclin de plus de 5 milliards sur les projections de chiffres de pic de population (qui pouraient même être supérieurs):

Bien évidemment, les modèles du Club de Rome / MIT avaient déjà prédit que le point culminant pour le désastre viendrait avant l’an 2000, ce qui, tout comme les prédictions de Thomas Malthus qui voyaient la population dépasser la capacité de production de nourriture, n’est jamais arrivé.

Au lieu de cela, cette prédiction pour un désastre reflète les aspirations pour l’élite de mettre un coup d’arrêt à la croissance, ce qui ne représente pas une réflexion neutre sur le sujet alors que cela devrait l’être. Comme nous l’avons documenté de manière répétitive, les élites gouvernantes ont pour but de diminuer la population et mettre en place une société post-industrielle, qui nous ramènera à l’ère féodale.

Le Club de Rome, fondé en 1968, est un groupe “environnementaliste” de, par et pour les élitistes qui veulent contrôler le monde, ses populationss et ses ressources. De fait, l’élitisme au faîte de sa forme fut exprimé par le Club de Rome lorsqu’il publia en 1991 que “l’humanité elle-même” était l’ennemi, et l’utilisation des ressources naturelles par l’Homme, son arme destructrice contre la planète:

“L’ennemi commun de l’humanité est l’Homme. En recherchant un nouvel ennemi qui nous réunifierait, nous avons trouvé l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, les famines et autres fléaux de la sorte, cadreraient avec l’objectif. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et ce n’est que par le changement des attitudes et des comportements que ces problèmes pourront être résolus. Le véritable ennemi est l’humanité elle-même.” Club de Rome, La première révolution mondiale

L’Executive Intelligence Review de Lyndon Larouche, ainsi que d’autres nombreux critiques, a trouvé au début des annés 1980 que le modèle informatique créé par le MIT avait été fait pour produire les résultats que le fondateur du Club de Rome, Aurelio Peccei voulait montrer (NdT: comme les modèles informatiques du GIEC ont été faits pour montrer ce que les politiques voulaient montrer et non pas un reflet de la réalité scientifique…). Les écrivains Philipp Darrell Collins et Paul David Collins le résument ainsi:

“Le but de cette tromperie, pour Peccei, est purement altruiste. Apparemment, le “mensonge nobel” donna suffisamment de traitement de choc pour conjurer les nations d’adopter des mesures de contrôle des populations (Executive Intelligence Review reportage spécial, p.16, 1982). Dans une critique des limites de la croissance, Christopher Freeman a caractérisé le groupe du MIT comme étant: “Malthus avec un ordinateur” (Freeman, p.5, 1975)

En d’autres termes, le modèle informatique utilisé par le Club de Rome, tout comme celui qui refait surface à l’heure actuelle, a été conçu non pas pour prédire le chemin de l’humanité mais pour la diriger. L’économiste Gunnar Myrdal a attaqué la tentative du modèle “d’impressionner le public innocent” tout en ne contenant que “peu ou pas du tout de validité scientifique”.

Les “élites” veulent une société post-industrielle

Le modèle des “Limites à la croissance” du Club de Rome, tout comme “La bombe démographique” de Paul Ehrlich, sont plus faits pour culpabiliser le public de sa consommation que d’avoir été conçus comme une prédiction litérale. Ainsi, la “reconfirmation” du modèle produit par le MIT demeure une confirmation d’une intention de freiner le comportement de la société, de manière très convéniente par le truchement d’un mécanisme de gouvernement mondial.

Ceci est l’objectif de base de l’Agenda 21 de l’ONU et des autres programmes de “développement durable”. Ils s’excitent sur la diminution des ressources, mais beaucoup d’hypothèses sont faites qui sont prouvées incorrectes, ou bien rendent impossible l’adoption d’alternatives.

Considérez le fait que même des entités de l’establishment comme Bloomberg (NdT: la chaîne de Wall Street outre Atlantique), ont été obligées d’admettre le mythe du “pic pétrolier”, avec la constante découverte de nouveaux sites et les sources existantes ridiculisant les affirmations que le pétrole viendrait à manquer et à disparaître. Que le pétrole demeure une ressource désirable au lieu de solutions alternatives pour le carburant et l’énergie est une question tout à fait différente; mais les ressources actuelles peuvent encore largement durer des centaines d’années (NdT: Selon la théorie russo-ukrainienne de l’origine abyssale abiotique du pétrole, prouvée elle scientifiquement au contraire de la théorie biotique, les réserves naturelles de la planète en hydrocarbures seraient inépuisables à l’échelle humaine…).

Au lieu de cela, comme Alex Jones et Paul Joseph Watson l’avaient analysé en 2005, la ruse est mise en avant pour conditionner la société à l’idée de la rareté artificiellement induite. Couper l’humain de base de l’accès au pétrole est très différent de son actuelle disponibilité.

De plus, comme le magazine Forbes l’a signalé, l’étude du Club de Rome a été constamment mise à jour et la “confirmation” actuelle réfute l’utilisation de toute alternative réelle. Les possibilités existent-elles mais les élites ont-elles choisi de ne pas considérer d’autres solutions ? Pourquoi ?

Time Worstall cite d’abord de l’article de Graham Tuner:

Une position simple et solide a été prise concernant la prise en compte de la substitution entre les ressources. En premier lieu, on considère que les métaux et les minéraux ne vont pas être substitués aux carburants fossiles pour les ressources majeures d’énergie.

Puis il ajoute:

Ainsi, si nous ne sommes pas à court de métaux ni de minéraux, mais que nous substituons ces métaux et minéraux aux carburants fossiles, alors l’idée qu’en fait le Club de Rome avait raison est un peu bizarre n’est-il pas ?

L’abondance et le prix raisonable de la nourriture sont défiés non pas par la capacité de produire et de distribuer, mais par les spéculateurs qui poussent à la hausse des coûts et des prix. Les biocarburants, comme l’éthanol dérivé du maïs, exacerbent ce dilemme en détournant des surfaces arables pour une production de biocarburant au lieu d’une production alimentaire, ceci menaçant de famine des milliards de gens simplement à cause d’une mauvaise politique.

De plus, les cultures OGM ont été poussées sur la scène mondiale avec la fausse promesse que les rendements seraient meilleurs. Mais l’échec de ces cultures à produire plus de nourriture causera un plus grand désastre encore par la destruction des cultures traditionnelles par le moyen coûteux des graines terminator, qui ont déjà été prouvées si coûteuses qu’elles ont déclanchées une épidémie de suicide en Inde, d’une ampleur jamais vu au monde jusqu’ici.

L’accès à l’eau propre est mis au défi par plusieurs facteurs, mais le plus grand d’entr’eux étant la contamination par des produits pharmaceutiques et les composés mimiquant les estrogènes comme le Bisphénol-A, qui sont devenus omniprésents dans la vie quotidienne des consommateurs modernes et qui sont bizarrement connectés avec un problème grandissant de trouble de le fécondité, ainsi qu’un pic dans les cancers, les déformités de naissance et l’altération des caractéristiques sexuelles à la fois chez les humains et dans la faune sauvage.

Une fois de plus, les “élites” poussent à la réalisation de ces politiques. Dire que le potentiel de l’humanité à sur-consommer à des niveaux qui ne sont pas “soutenables” n’est pas sans mérite, mais cela manque singulièrement d’objectivité quand on blâme immédiatement les masses au lieu de ceux qui dirigent ces politiques.

Les calculs du MIT dans son “Limites à la croissance” sont dès lors un peu nébuleux pour ces raisons précises et bien d’autres. Nous ne disputons pas le fait que l’Homme peut se détruire lui-même, mais il est clair que le côté oligarchique de l’humanité est prône à détruire les 80% de la population mondiale qu’ils considèrent être le “bas” et ceci n’est tout simplement pas pris en compte ni mentionné.

La stratégie est singée par Bill Gates, comme il l’a démontré dans son exposé TED en 2010. Là, il concocte une formule prédisant l’effondrement à moins que l’humanité ne réduise sa population, sa consommation d’énergie, les services et les rejets de CO2. “Probablement un de ces chiffres devra être proche de zéro”, dit Gates, faisant allusion au nombre de la population comme variable clef.

L’élite veut cadrer le débat dans un jeu tronqué, suggérant ultimement la valeur négative des individus humains. De véritables inovations pourraient nous sortir de ce dilemme, mais ceux qui détiennent le pouvoir les considéreraient-elles ?

Tout comme l’observe Mac Slavo, c’est l’inviabilité du spectre financier qui est le plus gros candidat à la contribution de la destruction, de la mort et de la perte des standards de vie à travers le monde:

Il faut dire haut et fort qu’avoir généré des milliers de milliards de dollars de dette ces dernières décennies, tout comme le pétrole, n’est pas soutenable à long terme. Comme le système entier de la consommation est basé sur cette dette, si la confiance dans ce système est perdue, cela aura sûrement le même effet que celui du pic pétrolier. La dette, même si elle est fabriquée de l’air du temps, est essentiellement une promesse fondée sur une ressource physique. Cela est basé sur l’idée que quelque chose sera créé par quelqu’un à un moment donné afin d’honorer la dette. Nous les peuples, sommes les dommages collatéraux de toute cette dette flottant dans notre système. Mais nous sommes arrivés au point où la dette, quelque part dans la zone des 200 000 milliards de dollars rien qu’aux Etats-Unis, est bien plus importante que notre capacité de rassembler suffisamment de temps et d’énergie pour repayer capital et intérêts.

Ainsi, ce “pic de la dette”, créé pour nous sauver de nos pratiques insoutenables, devrait être de plus de soucis pour nous que le “pic pétrolier” ou l’eau. Parce que quand nous aurons finalement atteint la limite de notre dette et il est maintenant évident que le soutien collatéral de cette dette est incapable de produire suffisemment pour la rembourser, alors nous aurons une toute autre signification pour le terme de “dégât collatéral”.

Article original en anglais :
http://www.infowars.com/mit-predicts-half-of-humanity-to-be-culled-in-post-industrial-crash/

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