John KERRY alias Moïse II : chrétien, juif et…messianique obsessionnel !

La sortie du ministre de la Défense Boogie Ayalon à l’encontre de John Kerry a déclenché la foudre des Américains et couvert les manchettes des Journaux.

En hébreu, les mots d’Ayalon sont les suivants : נחוש ופועל מתוך אובססיה לא מובנת ותחושה משיחית
Ce qui en français pourrait se traduire :« Le secrétaire d’Etat est arrivé chez nous déterminé,  mû par une obsession inexplicable et par  un sens (irrationnel)  de messianisme ».La phrase prononcée par Ayalon pourrait signifier que John Kerry est effectivement fort déterminé mais que sa détermination et l’action frénétique et désordonnée qu’il déploie n’appartiennent pas au domaine du rationnel et du réfléchi.  Ses mobiles relèvent  de pulsions, de sensations vagues,  dont le sens profond lui échappe.Car qu’est-ce que le messianisme en définitive si ce n’est que l’on se sent investi d’une mission par en Haut, et que cette action vise à la Délivrance finale. L’agitation de Kerry déborde largement le cadre géopolitique pour pénétrer de plein pied dans le domaine psychanalytique, s’apparentant d’avantage au Syndrome de Jérusalem, qui transforme régulièrement un pèlerin à priori normal en un Roi David.
Les grands-parents de John Kerry sont d’origine juive. Cela a été révélé en 2003 par un généalogiste américain Felix Gundacker, à la demande du Boston Globe. Il s’agit de Fritz Kohn et de Ida Lowe  – soit, en passant un Cohen et une fille Levi- nés dans l’Empire Austro-Hongrois. Ils changèrent en 1900 leur nom en Frederick et Ida Kerry et se convertirent un an plus tard au Catholicisme. Cette révélation tardive suffirait en tout cas à convaincre John Kerry que la mission qui lui a été confiée, de concilier l’inconciliable, lire Israéliens et Palestiniens, ne lui a pas été attribuée par hasard.
Sauver Israël malgré lui, telle est sa mission. Il est le Moïse des temps modernes qui sait ce qui est bon pour ces Juifs qui ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche. En photo, à la conférence de Münich sur la Sécurité au proche-orient (à sa droite, toujours ces 2 tours !!! )
Le « New York Times » a révélé les grandes lignes de l’accord soumis par Kerry afin de mettre fin au conflit: un programme de retrait israélien des lignes de 67, et la reconnaissance d’Israël comme un Etat juif. Mais dans le plan Kerry, les accords porteraient sur un retrait israélien dans les lignes de 67, avec Jérusalem-Est comme capitale palestinienne avec en échange la reconnaissance d’Israël en tant qu’État juif. Thomas Friedman du New York Times a révélé la teneur du document principal proposé par secrétaire d’Etat, John Kerry, à soumettre bientôt aux parties intéressées pour mettre fin au conflit israélo-palestinien. Les États-Unis s’attendent qu’Israël se retire progressivement de la Judée et Samarie jusqu’aux lignes de 1967. Ce retrait ne devrait pas inclure certains blocs des implantations, mais Israël devra concèder d’autres territoires aux Palestiniens. Cette offre déclarant Jérusalem-est comme capitale palestinienne, l’accord ne comprend pas le droit au retour des réfugiés palestiniens en Israël.
« Par la puissance de notre sainte Torah, nous vous avertissons de cesser immédiatement tous les efforts pour parvenir à ces accords désastreux, afin d’éviter une sévère punition céleste pour tout le monde impliqué, » a écrit un groupe de rabbins israéliens à John Kerry dans une lettre, dimanche.  Selon Israël National News, les rabbins du Comité pour sauver la Terre et le Peuple d’Israël mettent en garde Kerry sur son « antagonisme » contre l’État Juif, en critiquant vivement ses plans « d’établir une capitale arabe à Jérusalem pour le Président de l’Autorité Palestinienne, Mahmoud Abbas.

« Vos efforts incessants pour exproprier des parties intégrantes de notre Terre Sainte et pour les remettre à la gang de terroristes d’Abbas, équivaut à une déclaration de guerre contre le Créateur et Maître de l’univers.  Parce que DIEU a octroyé toute la Terre d’Israël à nos ancêtres, Abraham, Isaac et Jacob, afin qu’ils la lèguent, comme héritage éternel, à leurs descendants, le peuple juif, jusqu’à la fin de tous les temps, » ont déclaré les rabbins dans une lettre ouverte.  Le message a été signé par le rabbin Gedalya Axelrod, chef émérite du tribunal rabbinique de Haïfa, le rabbin Yisrael Ariel, président de Temple Institute, le rabbi Ben Tsion Grossman de Migdal Haemek, le rabbin Shalom Dov Wolpo, doyen de l’Institut pour le Code complet des Maïmonides et le rabbin Yigal Pizam, doyen de Yeshiva Kiryat Shmouel. Les rabbins ont fustigé le plan de Kerry pour déraciner immédiatement « 20 pour cent des Juifs vivant d’une manière productive maintenant en Judée, en Samarie et dans la Vallée du Jourdain, « en avertissement de la menace imminente à la sécurité pour les Israéliens et en lui rappelant comment un déracinement semblable de résidents juifs dans la bande de Gaza a transformé cette région en un tremplin pour les fusées islamiques ».

Le message racontait également l’histoire biblique en déclarant à Kerry : « Si vous continuez sur cette voie destructrice, vous vous assurerez une disgrâce éternelle dans l’histoire juive pour avoir apporté une calamité sur le peuple juif, comme Nebuchadnezzar et Titus qui ont détruit, respectivement, le premier et le deuxième Temple, et la totalité de la ville sainte de Jérusalem, et qui, grâce à des punitions célestes, ont amené des catastrophes éventuelles sur eux-mêmes, aussi ».

NDLR : John KERRY, secrétaire d’Etat du Pharaon OBAMA, est chrétien, juif…et messianique ! A priori donc symptahique…et si dangereux !!! Une fois de plus, l’Impie antechrist ressemblera davantage à ce type de personnage qu’à un effrayant fou de dieu !

Deux grands-parents juifs expliquent-ils l’obsession messianique de John Kerry de sauver Israël malgré lui

La sortie du ministre de la Défense Boogie Ayalon à l’encontre de John Kerry a déclenché la foudre des Américains et couvert les manchettes des Journaux. Et pourtant, personne, à ma connaissance n’a cherché à analyser le sens de la phrase de Boogie qui est d’une finesse peu commune, surtout dans la bouche d’un militaire.
En hébreu, les mots d’Ayalon sont les suivants : נחוש ופועל מתוך אובססיה לא מובנת ותחושה משיחית
Ce qui en français pourrait se traduire :« Le secrétaire d’Etat est arrivé chez nous déterminé,  mû par une obsession inexplicable et par  un sens (irrationnel)  de messianisme ».
La phrase prononcée par Ayalon pourrait signifier que John Kerry est effectivement fort déterminé mais que sa détermination et l’action frénétique et désordonnée qu’il déploie n’appartiennent pas au domaine du rationnel et du réfléchi.  Ses mobiles relèvent  de pulsions, de sensations vagues,  dont le sens profond lui échappe. Quant au messianisme qui le meut, Ayalon tombe en plein dans le mille. Car qu’est-ce que le messianisme en définitive si ce n’est que l’on se sent investi d’une mission par en Haut, et que cette action vise à la Délivrance finale. Non pas une petite délivrance de rien du tout mais au chambardement d’une réalité, pour lui inacceptable, dont la finalité serait que le loup cohabite avec l’agneau et vice versa. L’agitation de Kerry déborde largement le cadre géopolitique pour pénétrer de plein pied dans le domaine psychanalytique, s’apparentant d’avantage au Syndrome de Jérusalem, qui transforme régulièrement un pèlerin à priori normal en un Roi David courant nu dans les rues de la ville sainte, muni d’une couronne en carton et d’une épée en plastique, réclamant la royauté qui lui est due.
Ce type de comportement est généralement le fait de chrétiens atteints par une certaine fragilité émotionnelle qui ne s’exprime que lors de leur passage à Jérusalem. Les psychanalystes israéliens sont très au fait de ce phénomène et ont développé au fil des ans des techniques appropriées à ce syndrome. Voir l’abondante littérature qui traite du Syndrome de Jérusalem.
Pour ma part j’aimerais avancer une hypothèse, qui vaut ce qu’elle vaut, et qui pourrait expliquer le cas Kerry.
Vous n’ignorez pas que les grands-parents de John Kerry sont d’origine juive. Cela a été révélé en 2003 par un généalogiste américain Felix Gundacker, à la demande du Boston Globe. Il s’agit de Fritz Kohn et de Ida Lowe  – soit, en passant un Cohen et une fille Levi- nés dans l’Empire Austro-Hongrois. Ils changèrent en 1900 leur nom en Frederick et Ida Kerry et se convertirent un an plus tard au Catholicisme. John Kerry a toujours affirmé qu’il savait que ses grands-parents étaient natifs d’Autriche mais, jusqu’à la révélation du Boston Globe, ignorait que ses ascendants étaient tous deux Juifs. Il apprit par ailleurs que le frère et la sœur de sa grand-mère (Otto et Jenni) ont été exterminés dans les Camps.
Tachez de vous mettre à la place d’un homme qui prend connaissance par la Presse à l’âge de 60 ans que ses deux grands-parents étaient des Juifs convertis au Catholicisme. Je veux imaginer que cette révélation, si elle n’a pas constitué un traumatisme, a néanmoins provoqué un choc, disons important. Et voici que 10 ans après, John Kerry bombardé Ministre des Affaires Etrangères s’attelle avec frénésie au dossier Israélo-Palestinien, de la manière que l’on sait. Cette révélation tardive suffirait en tout cas à convaincre John Kerry que la mission qui lui a été confiée, de concilier l’inconciliable, lire Israéliens et Palestiniens, ne lui a pas été attribuée par hasard et, que si les voies, ou voix  du seigneur sont à priori impénétrables, pour ce qui le concerne, elles seraient limpides et audibles.
Il s’agit, je le répète, d’une hypothèse de travail, qui tendrait à expliquer la frénésie, l’acharnement  et la somme d’énergie que dépense Kerry dans sa Mission, et que Boggy Ayalon dans une formule lapidaire et géniale qualifie d’ « obsessive et de messianique ».
M’est avis aussi est que si la sortie d’Ayalon  a tant énervé les Américains c’est qu’elle comportait un fond de vérité (« Il n’y a que la vérité qui blesse », comme dit le dicton populaire).
Bien d’autres politiciens américains ont œuvré pour un rapprochement israélo-palestinien mais aucun d’eux n’a semblé habité par sa mission comme l’est John Kerry. On sent clairement que pour lui la conciliation des deux parties est d’une importance cruciale. Si cela ne se produisait pas, ce serait une catastrophe planétaire, une quasi apocalypse débouchant sur l’ultime guerre de Gog et Magog.
Avant d’apprendre que les grands parents de Kerry étaient Juifs et qu’il l’ait découvert à un âge avancé, j’imaginais que son obstination à convaincre les Israéliens qu’hors d’un accord, il n’y avait point de salut, répondait à des considérations chrétiennes. Après avoir réfléchi sur la phrase d’Ayalon et après avoir wikipedié, je pense que la découverte tardive de ses origines juives jointe à son éducation catholique constitue un cocktail très personnel d’où il puise son énergie quasi messianique.
Sauver Israël malgré lui, telle est sa mission. Il est le Moïse des temps modernes qui sait ce qui est bon pour ces Juifs qui ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche. Sinon, c’est chaos, c’est le boycott généralisé, d’où découlera la famine et la misère. Apocalyptique, vous dis-je. Et pour donner encore plus de poids à ses dires, Kerry nous l’annonce, non pas du haut du Mont Sinaï, mais de la ville de Munich de sinistre mémoire.
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Le ministre israélien de la Défense a des mots durs pour Kerry, puis s’excuse

Moshe Yaalon qualifie même M. Kerry d’«obsessif» et «messianique»

14 janvier 2014 20h39 |La Presse canadienne |Actualités internationales
Le ministre israélien de la Défense, Moshe Yaalon.
Photo :  Jim Hollander APLe ministre israélien de la Défense, Moshe Yaalon.
Jérusalem — Le ministre israélien de la Défense a déploré les efforts de paix du secrétaire d’État américain John Kerry au Proche-Orient comme étant naïfs et sans valeur, suscitant une réponse immédiate de Washington et redonnant de l’ampleur aux tensions entre les deux alliés.
Dans des commentaires publiés dans le quotidien Yediot Ahronot, Moshe Yaalon qualifie même M. Kerry d’«obsessif» et «messianique», ajoutant que «la seule chose qui pourrait nous sauver est si M. Kerry remporte le prix Nobel et nous laisse tranquille».
Le bureau du ministre n’a pas voulu confirmer ou infirmer les commentaires rapportés par le journal. Plus tard mardi, le bureau a émis un deuxième communiqué dans lequel le ministre de la Défense exprime son appréciation des efforts de paix de M. Kerry.
Selon ce communiqué, M. Yaalon n’avait aucunement l’intention de «causer de torts» au secrétaire d’État, et s’excuse si M. Kerry a été «offensé par les mots qui lui sont attribués».
Le secrétaire d’État américain est de nouveau attendu dans la région dans les prochaines semaines pour livrer ses idées sur une feuille de route pour la paix entre Israël et les Palestiniens. M. Kerry a déjà soumis à Israël une série de propositions visant à assurer la sécurité d’Israël dans le cadre d’un éventuel accord de paix.
M. Yaalon est un ancien chef d’état-major et proche allié du premier ministre Benjamin Nétanyahou. Depuis son entrée en fonction comme ministre de la Défense l’an dernier, une position de grande influence en Israël, il a affiché publiquement son scepticisme à l’égard des efforts de paix de M. Kerry.
M. Nétanyahou et d’autres leaders israéliens ont tenté de se distancer de M. Yaalon, tandis que les États-Unis ont condamné ces propos comme étant «offensants et inappropriés».
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Clash diplomatique entre John Kerry et Israël

Par LEXPRESS.fr,  publié le

Le ministre israélien de la Défense Moshe Yaalon qui avait ironisé sur  « l’obsession incompréhensible » et la « sorte de messianisme » du secrétaire d’Etat  américain a été forcé de présenter des excuses.

Le Département d’État américain a qualifié d' »insultants » des  propos du ministre israélien de la Défense Moshe Yaalon critiquant le plan de  paix du chef de la diplomatie américaine John Kerry dans le cadre des  pourparlers israélo-palestiniens.afp.com/Michal Cizek

Le ton monte entre  Israël et les Etats-Unis après une virulente attaque  du  ministre israélien de la Défense Moshe Yaalon contre le secrétaire d’Etat John Kerry.

Moshe Yaalon, un faucon du gouvernement Netanyahu, a critiqué plus spécifiquement des propositions  américaines sur la sécurité dans la vallée du Jourdain, le long de la frontière  avec la Jordanie.

Moshe Yaalon a été forcé de présenter tard mardi des excuses après que la  Maison Blanche et le département d’Etat américain ont condamné sa diatribe. Le  ministre a assuré qu’il « n’avait eu aucune intention d’offenser le secrétaire  d’Etat » et qu’il appréciait « les multiples efforts déployés par M. Kerry pour faire avancer la  paix entre Israël et les Palestiniens ».

« Animé par une obsession incompréhensible et une sorte de  messianisme »

Dans des conversations privées rapportées mardi par un quotidien israélien,  le ministre de la Défense avait accusé John Kerry d’être « animé par une  obsession incompréhensible et une sorte de messianisme », ajoutant que ce dernier  n’avait rien à lui apprendre du conflit avec les Palestiniens. « La seule chose  susceptible de nous sauver est que John Kerry remporte le prix Nobel (de la  Paix) et nous laisse tranquilles », avait ironisé Moshe Yaalon, selon le journal Yediot  Aharonot.

Le département d’Etat américain a jugé « insultants » ces déclarations alors  que John Kerry s’efforce depuis juillet dernier de parvenir à un accord de paix  entre Israël et les Palestiniens.

« Les remarques du ministre de la Défense, si elles sont confirmées, sont  insultantes et inappropriées, en particulier compte tenu de ce que font les  Etats-Unis pour la sécurité d’Israël », a déclaré sa porte-parole Jennifer Psaki. « Nous  attendons du Premier ministre (Benjamin Netanyahu) qu’il règle cette affaire en exprimant  publiquement son désaccord avec les propos visant le secrétaire Kerry », a ajouté  un responsable américain.

Benyamin Netanyahu a pris ses distances vis-à-vis de son  ministre de la Défense, sans le désavouer nommément. « Il y a parfois des  divergences avec les Etats-Unis, mais elles portent toujours sur le fond et non  sur les personnes », a rappelé le Premier ministre devant le Parlement.

Accrocs à répétition

« Le plan américain de sécurité qui nous a été présenté ne vaut pas le papier  sur lequel il est écrit. Il n’assure ni la sécurité ni la paix », a-t-il tranché,  toujours selon des conversations citées par Yediot Aharonot.

« Pour le moment, nous sommes les seuls à avoir concédé quelque chose – la  libération de prisonniers (palestiniens) – alors que les Palestiniens n’ont rien  donné », s’est plaint Moshe Yaalon, membre du Likoud (droite nationaliste) de  Benyamin Netanyahu.

Israël s’est engagé à relâcher par étapes un total de 104 détenus  palestiniens pour relancer des négociations avec les Palestiniens. Lors des  trois premières phases, les libérations se sont accompagnées d’annonces de  constructions dans les colonies.

Une autre accroc israélo-américain a eu lieu mardi après une déclaration du  ministre israélien du Logement Uri Ariel, fervent partisan de la colonisation, qui a assuré que les récents projets de  construction annoncés par Israël l’avaient été « en coordination » avec les  Etats-Unis.

Un haut diplomate américain, réitérant la condamnation américaine des  colonies, a affirmé que M. Kerry n’avait « jamais rencontré ni parlé avec Uri  Ariel et que par conséquent rien n’avait été coordonné ou agréé avec  lui ».

Malgré sa détermination, John Kerry, qui a effectué dix voyages dans la  région depuis mars 2013, n’a jusqu’à présent pas réussi à convaincre les deux  camps de se rallier à un plan de paix.

Les relations entre le gouvernement de M. Netanyahu et l’administration Obama  ont été marquées depuis 2008 par des désaccords à répétition, qu’il s’agisse du  nucléaire iranien ou du processus de paix au  Proche-Orient.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/clash-diplomatique-entre-john-kerry-et-israel_1314199.html#MiIGasqAokmb5VDS.99

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La menace de la « divine colère de DIEU » sur la tête de Kerry. Une « sévère punition céleste » s’il ne change pas de cap.

Par Joe Kovacs – Le 5 février 2014 –

Le Secrétaire d’État des États-Unis, John Kerry, est maintenant mis en garde qu’il risque la divine colère de Dieu s’il continue ses plans contre Israël que certains croient être une guerre contre le Tout-Puissant.

Secrétaire d’État John Kerry et le président Barack Obama.

« Par la puissance de notre sainte Torah, nous vous avertissons de cesser immédiatement tous les efforts pour parvenir à ces accords désastreux, afin d’éviter une sévère punition céleste pour tout le monde impliqué, » a écrit un groupe de rabbins israéliens à John Kerry dans une lettre, dimanche.

Selon Israël National News, les rabbins du Comité pour sauver la Terre et le Peuple d’Israël mettent en garde Kerry sur son « antagonisme » contre l’État Juif, en critiquant vivement ses plans « d’établir une capitale arabe à Jérusalem pour le Président de l’Autorité Palestinienne, Mahmoud Abbas, et de forcer Israël à se retirer sur les lignes de l’armistice de 1949 ».

Au cours du week-end, Kerry a menacé Israël d’un boycott international si les pourparlers de paix échouaient.

« Vos efforts incessants pour exproprier des parties intégrantes de notre Terre Sainte et pour les remettre à la gang de terroristes d’Abbas, équivaut à une déclaration de guerre contre le Créateur et Maître de l’univers.  Parce que DIEU a octroyé toute la Terre d’Israël à nos ancêtres, Abraham, Isaac et Jacob, afin qu’ils la lèguent, comme héritage éternel, à leurs descendants, le peuple juif, jusqu’à la fin de tous les temps, » ont déclaré les rabbins dans une lettre ouverte.

Le message a été signé par le rabbin Gedalya Axelrod, chef émérite du tribunal rabbinique de Haïfa, le rabbin Yisrael Ariel, président de Temple Institute, le rabbi Ben Tsion Grossman de Migdal Haemek, le rabbin Shalom Dov Wolpo, doyen de l’Institut pour le Code complet des Maïmonides et le rabbin Yigal Pizam, doyen de Yeshiva Kiryat Shmouel.

Les rabbins ont fustigé le plan de Kerry pour déraciner immédiatement « 20 pour cent des Juifs vivant d’une manière productive maintenant en Judée, en Samarie et dans la Vallée du Jourdain, « en avertissement de la menace imminente à la sécurité pour les Israéliens et en lui rappelant comment un déracinement semblable de résidents juifs dans la bande de Gaza a transformé cette région en un tremplin pour les fusées islamiques ».

La lettre déclare que le plan de Kerry « obligerait l’expulsion de dizaines de milliers de Juifs de leurs maisons et de leurs moyens de subsistance, dévastant leurs vies financièrement, économiquement et psychologiquement, comme cela s’est produit pour les expulsés des colonies florissantes de Gaza, dont la plupart souffrent encore de nos jours des séquelles ruineuses de l’expulsion ».

Le message racontait également l’histoire biblique en déclarant à Kerry : « Si vous continuez sur cette voie destructrice, vous vous assurerez une disgrâce éternelle dans l’histoire juive pour avoir apporté une calamité sur le peuple juif, comme Nebuchadnezzar et Titus qui ont détruit, respectivement, le premier et le deuxième Temple, et la totalité de la ville sainte de Jérusalem, et qui, grâce à des punitions célestes, ont amené des catastrophes éventuelles sur eux-mêmes, aussi ».

La lettre de cette semaine, avec la menace de jugements divins, a été remarquée par Carl Gallups, auteur de, « Le Rabbi qui a trouvé le Messie : L’Histoire de Yitzhak Kadouri et ses prophéties de la fin des temps ».

« C’est le même type de malédiction qui est tombée sur l’ancien Premier Ministre israélien, Ariel Sharon, » a déclaré Gallups à WorldNetDdaily.

Le mois dernier, Sharon est mort après avoir passé neuf ans dans un coma.

Durant son mandat, il a lancé un plan de désengagement dans lequel des milliers de Juifs ont été expulsés de la bande de Gaza et du nord de la Samarie, faisant de la région autrefois fertile une région contrôlée par le Hamas.

Une « malédiction de mort » par un groupe de rabbins d’Israël avait été prononcée contre Sharon pour cette action.

Sharon a été victime d’un grave accident vasculaire cérébral le 4 janvier 2006 et a été dans le coma jusqu’à sa mort.

« La seule parole prophétique de Kaduri concernant Ariel Sharon était que le Messie n’apparaitrait pas jusqu’à ce qu’Ariel Sharon soit mort, » a déclaré Gallups.  « En un peu plus de deux mois après avoir prononcé ces paroles prophétiques, Sharon était dans le coma et Kaduri lui-même est mort ».

Un autre écrivain chrétien, Jim Bramlett, a déclaré que les punitions divines sont possibles ou même probables pour les dirigeants politiques américains s’ils restent sur leurs positions actuelles.

« Je crois que les rabbins sont corrects », a déclaré Bramlett.  « Kerry, Obama et leurs complices subiront le jugement de DIEU pour ce qu’ils font ou tentent de faire à Israël. »

 

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