INTIFADA : « soulèvement populaire » en Arabe ! Donc, NON, il ne s’agit en rien d’un Intifada, mais d’actions terroristes programmées, orchestrées, encouragées. La jeunesse palestinienne en souffrance et en désespoir économique, est instrumentalisée par ses leaders qui les envoient sans scrupules au front et à la mort.
ISRAEL était paradoxalement relativement épargné par les conflits inter-ethniques et confessionnels qui sévissent au PO. Tous ceux qui soulevaient la pierre pesante de Jérusalem (qu’ils soient sunnites et chiites) semblaient frappés d’étourdissement. Ceux de JUDA vont-ils également être contaminés par ce poison ?
Un Israélien de 25 ans a été grièvement blessé dans un attentat à l’arme blanche à Kiryat Arba. Un terroriste palestinien a poignardé une soldate rue Menahem Begin à Tel Aviv… Un Israélien a été grièvement blessé dans un attentat à l’arme blanche dans une station du tramway à Jérusalem…etc… Un terroriste a tenté de forcer un barrage situé entre Jérusalem et la localité de Maalé Adoumim avant de se faire neutraliser. Deux Israéliens ont été blessés à Kiryat Gat. Une femme habitante de Tekoa, au sud de Jérusalem, a été blessée par des jets de pierres. Un Arabe a jeté une bouteille en verre contre un Israélien rue Shimon HaTzadik à Jérusalem.
Dans les territoires, à Jérusalem, à Tel Aviv et ailleurs, des civils israéliens sont attaqués à l’arme blanche, avec des bouteilles de verre et à coups de jets de pierres. Si des Arabes utilisaient des armes blanches, des bouteilles de verre et des pierres pour tenter de blesser ou de tuer des Français à Paris, à Lyon et à Brest, les médias hexagonaux parleraient de grave atteinte à la sécurité nationale et de violation des règles de l’Etat de droit. Mais comme les faits se déroulent en Israël, la presse française minimise la responsabilité des palestiniens et sous-entend même que c’est finalement le résultat de la « politique israélienne », formule classique pour dire que « c’est la faute aux Juifs », que l’on taxe, pour l’occasion, de « soldats » (Juifs actifs au sein des forces de défense d’Israël) ou de « colons » (Juifs civils osant résider en Judée et en Samarie).
Six activistes du Hamas ont été tués et 17 autres blessés vendredi par des tirs israéliens lors de heurts dans un secteur à la frontière entre Israël et Gaza. L’organisation terroriste islamiste Hamas a appelé vendredi les Palestiniens de Judée-Samarie a lancé une intifada pour libérer Jérusalem : « Je confirme que Gaza se tient derrière la lutte pour Jérusalem et Al-Aqsa et se tient derrière l’intifada sacrée malgré la peine, le siège et les complots », a déclaré Ismaïl Haniyeh, le chef du Hamas à Gaza. « La bataille de Jérusalem est la bataille de Gaza et l’intifada en Cisjordanie est l’intifada de notre peuple », a-t-il ajouté.
L’ambassadrice d’Israël en France, Aliza Bin-Noun, a fustigé jeudi les incitations à la haine du président palestinien Mahmoud Abbas.« Intifada en arabe ça veut dire soulèvement populaire. Ici il ne s’agit pas d’un soulèvement populaire, ce sont des attentats terroristes. », a déclaré la diplomate sur la chaîne BFMTV, en réponse sur l’éventualité d’une Troisième intifada. « Ces attaques sont le résultat direct des incitations à la haine d’Israël lancées par le président palestinien Mahmoud Abbas, le Hamas et les autres organisations terroristes. », a-t-elle insisté. « Pour apaiser les tensions on a interdit aux juifs israéliens de se rendre sur l’esplanade des mosquées à Jérusalem. Qu’a fait Mahmoud Abbas pour calmer sa population ? Il n’a pas condamné les attentats. Il doit prendre des mesures concrètes et cesser ses appels à la haine. », a conclu la diplomate.« Si de tels attentats se produisaient à Paris, personne ne l’accepterait. », a-t-elle dénoncé.
Pas si sûr Votre Excellence !
La ville parisienne de Tremblay-en-France a hissé le drapeau palestinien aux côtés du drapeau français, alors même qu’Israël est confronté à une vague de terreur qui a coûté la vie à plusieurs israéliens ces derniers jours : « Comme à l’ONU, en signe de paix et de défense des droits des peuples au Proche-Orient », a expliqué le député-maire communiste François Asensi. « Cet acte s’inscrit dans le cadre de la journée nationale de mobilisation pour la reconnaissance de l’Etat palestinien », a-t-il ajouté.
Alors qu’en Israël les djihadistes arabes commettent tous les jours de nouveaux actes terroristes depuis près d’une semaine, tuant un couple devant leurs 4 enfants à Itamar, tuant deux personnes à Jérusalem, le maire PCF choisit délibérément d’attiser un peu plus la haine en hissant le drapeau palestinien sur le parvis de l’Hôtel de Ville. Ce vendredi, le drapeau a donc été hissé devant la Mairie de Tremblay-en-France devant un parterre de militants d’extrême gauches qui soutiennent les djihadistes palestiniens. Les élus communistes du Tremblay ont l’indignation sélective puisqu’ils n’ont jamais émis la moindre solidarité envers les peuple syrien, les Yézidis ni même pour les Chrétiens d’Orient. Mais pour soutenir le terrorisme islamiste palestinien ils savent faire de belles déclarations. Et quand on tuera à nouveau des juifs en France, ils oseront une nouvelle fois défiler comme lors du 11 janvier 2015…
Drapeaux, suite…
Le président palestinien Mahmoud Abbas a indiqué jeudi que les Palestiniens hisseraient leur drapeau sur la mosquée Al-Aqsa et l’église du Saint-Sépulcre à Jérusalem-Est, comme il a été hissé au Siège de l’ONU. M. Abbas a demandé qu’Israël reste à l’écart des lieux saints musulmans et chrétiens à Jérusalem, exprimant son soutien aux Palestiniens « qui défendent la mosquée Al-Aqsa, et luttent pour la protéger ».
Selon le service de presse, le directeur général de l’ONUG Michael Moeller sera présent à cet événement au Palais des Nations, ainsi que les représentants de la Mission permanente d’observation de la Palestine à l’ONUG et ceux d’autres organisations internationales. Le ministre palestinien des Affaires étrangères Riad al-Maliki a également confirmé sa présence. Le drapeau palestinien a été levé le 30 septembre au siège de l’ONU à New York pour la première fois.
Hamas : « La bataille de Jérusalem est la bataille de Gaza »
L’organisation terroriste islamiste Hamas a appelé vendredi les Palestiniens de Judée-Samarie a lancé une intifada pour libérer Jérusalem.
« Je confirme que Gaza se tient derrière la lutte pour Jérusalem et Al-Aqsa et se tient derrière l’intifada sacrée malgré la peine, le siège et les complots », a déclaré Ismaïl Haniyeh, le chef du Hamas àGaza.
« La bataille de Jérusalem est la bataille de Gaza et l’intifada en Cisjordanie est l’intifada de notre peuple », a-t-il ajouté. « Nous agirons toujours en soutien à notre peuple », a-t-il poursuivi.
Six activistes du Hamas ont été tués et 17 autres blessés vendredi par des tirs israéliens lors de heurts dans un secteur à la frontière entre Israël et Gaza.
Faouzi Ahmed – © Le Monde Juif .info | Photo : DR
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Ambassadrice d’Israël en France : « Ce n’est pas une Intifada, c’est du terrorisme »
L’ambassadrice d’Israël en France, Aliza Bin-Noun, a fustigé jeudi les incitations à la haine du président palestinien Mahmoud Abbas.
« Intifada en arabe ça veut dire soulèvement populaire. Ici il ne s’agit pas d’un soulèvement populaire, ce sont des attentats terroristes. », a déclaré la diplomate sur la chaîne BFMTV, en réponse sur l’éventualité d’une Troisième intifada.
« Ces attaques sont le résultat direct des incitations à la haine d’Israël lancées par le président palestinien Mahmoud Abbas, le Hamas et les autres organisations terroristes. », a-t-elle insisté.
« Il y a, depuis quelques mois déjà, une rhétorique de haine contre Israël. Les instigateurs de cette haine pensent que la violence les sert. », a poursuivi l’ambassadrice. « Si de tels attentats se produisaient à Paris, personne ne l’accepterait. », a-t-elle dénoncé.
« Pour apaiser les tensions on a interdit aux juifs israéliens de se rendre sur l’esplanade des mosquées à Jérusalem. Qu’a fait Mahmoud Abbas pour calmer sa population ? Il n’a pas condamné les attentats. Il doit prendre des mesures concrètes et cesser ses appels à la haine. », a conclu la diplomate.
Éric Hazan – © Le Monde Juif .info | Photo : DR
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Haine du Juif : des Juifs poignardés en Israël, une ville française hisse le drapeau palestinien
La ville parisienne de Tremblay-en-France a hissé vendredi le drapeau palestinien aux côtés du drapeau français, alors même qu’Israël est confronté à une vague de terreur qui a coûté la vie à plusieurs israéliens ces derniers jours.
« Comme à l’ONU, en signe de paix et de défense des droits des peuples au Proche-Orient », a expliqué le député-maire communiste François Asensi. « Cet acte s’inscrit dans le cadre de la journée nationale de mobilisation pour la reconnaissance de l’Etat palestinien », a-t-il ajouté.
Jeudi, Israël a subi quatre attaques terroristes au couteau, au nord, au sud et au centre du pays.
À mi-journée ce vendredi, trois attaques terroristes au couteau ont été perpétrées en Israël selon la police israélienne.
Éric Hazan – © Le Monde Juif .info | Photo : DR
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Tremblay-en-France: A l’heure où le terrorisme islamiste tue en Israël, le député-maire montre son soutien en hissant le drapeau palestinien
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Tandis qu’en Israël, chaque jour des terroristes islamistes tuent, poignardent des juifs suite aux appels à la haine et à la violence du dictateur palestinien Abbas, le maire communiste de Tremblay-en-France hisse le drapeau palestinien devant l’hôtel de ville…
Alors qu’en Israël les djihadistes arabes commettent tous les jours de nouveaux actes terroristes depuis près d’une semaine, tuant un couple devant leurs 4 enfants à Itamar, tuant deux personnes à Jérusalem, le maire PCF choisit délibérément d’attiser un peu plus la haine en hissant le drapeau palestinien sur le parvis de l’Hôtel de Ville.
Ce vendredi, le drapeau a été hissé devant la Mairie de Tremblay-en-France devant un parterre de militants d’extrême gauches qui soutiennent les djihadistes palestiniens.
Les élus communistes du Tremblay ont l’indignation sélective puisqu’ils n’ont jamais émis la moindre solidarité envers les peuple syrien, les Yézidis ni même pour les Chrétiens d’Orient.
Mais pour soutenir le terrorisme islamiste palestinien ils savent faire de belles déclarations « Comme a l’ONU, en signe de paix et de défense des droits des peuples au Proche-Orient » déclare le député-maire communiste François Asensi.
« Cet acte s’inscrit dans le cadre de la journée nationale de mobilisation pour la reconnaissance de l’Etat palestinien », a-t-il ajouté oubliant la dictature de Mahmoud Abbas, qui n’a plus de mandat depuis 6 ans mais qui refuse d’organiser des élections, oubliant également les terroristes islamistes du Hamas proches de l’Etat islamique…
Asensi, comme la grande majorité de l’extrême droite, portent une lourde responsabilité dans l’importation du conflit israélo-arabe qui débouchera sur plus d’actes antisémites en France.
Et quand on tuera à nouveau des juifs en France, ils oseront une nouvelle fois défiler comme lors du 11 janvier 2015…
© Alain Tavor pour Europe-Israel.org
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Jérusalem: Mahmoud Abbas veut hisser le drapeau palestinien sur la mosquée Al-Aqsa et l’église du Saint-Sépulcre
Le président palestinien Mahmoud Abbas a indiqué jeudi que les Palestiniens hisseraient leur drapeau sur la mosquée Al-Aqsa et l’église du Saint-Sépulcre à Jérusalem-Est, comme il a été hissé au Siège de l’ONU.
M. Abbas a demandé qu’Israël reste à l’écart des lieux saints musulmans et chrétiens à Jérusalem, exprimant son soutien aux Palestiniens « qui défendent la mosquée Al-Aqsa, et luttent pour la protéger ».
Il a expliqué aux Israéliens que les Palestiniens garderaient les mains tendues vers la paix malgré les difficultés avec Israël, ajoutant que si la paix est réalisée en Palestine, cela impliquerait « le monde ».
« Nous n’attaquons personne mais nous ne voulons pas qu’ils (Israël) nous attaquent. Nous ne voulons pas non plus qu’ils entrent dans la mosquée Al-Aqsa », a insisté M. Abbas.
Le dirigeant palestinien a répété sa demande qu’Israël respecte les accords signés. « A l’ONU, nous l’avons dit: Israël doit tenir ses engagements et nous tiendrons les nôtres. Cependant, s’ils ne le font pas, alors ils seront responsables du chaos qui s’ensuivra ».
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Les tensions à la mosquée d’Al-Aqsa pourraient avoir des conséquences terribles pour la région
RAMALLAH, 18 septembre (Xinhua) — L’embrasement des tensions autour du complexe de la Mosquée d’Al-Aqsa, qui a culminé cette semaine, pourrait plonger la région toute entière dans le conflit religieux en réaction aux tentatives d’Israël d’imposer un nouveau paradigme à la région, ont mis en garde des responsables et des observateurs.
Azzam el-Khatib, directeur du département des Waqfs (biens islamiques) à Jérusalem, a déclaré à Xinhua que les mesures récentes d’Israël révèlent un plan pour « créer une nouvelle réalité à la Mosquée d’Al-Aqsa pour en expulser les musulmans et les remplacer par des extrémistes juifs ».
Cette semaine, des affrontements acharnés ont éclaté sur le site de la Mosquée d’Al-Aqsa à Jérusalem Est, entre des dizaines de fidèles palestiniens et la police israélienne, lorsque des groupes extrémistes juifs protégés par la police ont tenté de pénétrer ce lieu pour célébrer la fête religieuse juive débutée le 13 septembre.
Environ 70 Palestiniens ont été blessés, de même que plusieurs policiers israéliens, lorsque la police a utilisé des balles en caoutchouc pour répliquer aux jets de pierre.
Al-Khatib a mis en garde contre les conséquences terribles des tensions actuelles à la Mosquée d’Al-Aqsa.
« Cela attisera les flammes de nouvelles tensions dans la ville de Jérusalem, en Palestine et au Moyen-Orient. Nous avons toujours mis en garde contre ces tensions », a-t-il ajouté.
Située dans la vieille ville de Jérusalem Est, la Mosquée d’Al-Aqsa est le troisième lieu le plus saint au monde pour les Musulmans après la Mecque et la Médina en Arabie saoudite. Les juifs croient également que les ruines d’anciens temples de leur religion sont situées sous le site de la Mosquée d’Al-Aqsa.
Politiquement, les Palestiniens revendiquent Jérusalem Est comme capitale de leur futur État qui comprendrait les territoires occupés par Israël depuis 1967. Israel revendique Jérusalem comme sa capitale indivisible, une revendication qui n’est pas reconnue par la communauté internationale.
De plus, pour autoriser les extrémistes juifs à prier à Al-Aqsa, la police israélienne a également limité le nombre de fidèles qui s’y trouvent, interdisant aux Palestiniens d’y passer la nuit.
Rajab Abu Serreya, un analyste politique basé à Ramallah, a déclaré à Xinhua que « les Mosquées de Jérusalem et d’Al-Aqsa sont occupées par Israël depuis 1967, par conséquent Israël n’a aucun droit ni aucune excuse pour la modifier ».
Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou « mène une opération militaire visant à s’emparer de tout Jérusalem et à imposer la division temporelle et spatiale d’Al-Aqsa en garantissant un droit des juifs à y prier et à entrer dans la mosquée quand ils veulent », ajoute cet analyste.
Toutefois, le président palestinien Mahmoud Abbas a déclaré que les Palestiniens ne laisseraient jamais ces plans se réaliser.
Lors d’une réunion à son bureau à Ramallah avec des personnalités palestiniennes et des responsables de Jérusalem Est, M. Abbas a déclaré qu’il « n’y aura pas d’État palestinien sans Jérusalem Est comme capitale ».
« La Mosquée d’Al-Aqsa est un lieu saint pour tous les musulmans et chrétiens. Ils (les Israéliens) n’ont pas le droit de le souiller de leurs pieds, nous ne les laisseront jamais le faire et nous ferons de notre mieux pour protéger Jérusalem », a déclaré M. Abbas.
Par ailleurs, l’Organization de Libération de la Palestine (OLP) a appelé le Conseil de sécurité des Nations unies à organiser une réunion d’urgence pour discuter des tensions croissantes à la Mosquée d’Al-Aqsa.
« Nous demandons à la communauté internationale d’obliger le gouvernement israélien à cesser ces plans criminels et dangereux qui n’apportent que la violence, le chaos et le sang », a déclaré l’OLP dans un communiqué.
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Les médias légitiment la troisième Intifada
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Un Israélien de 25 ans a été grièvement blessé dans le dos dans un attentat à l’arme blanche à Kiryat Arba. Un terroriste palestinien a poignardé une soldate rue Menahem Begin à Tel Aviv, la blessant avant de tenter de s’emparer de son arme. Un Israélien a été grièvement blessé dans un attentat à l’arme blanche dans une station du tramway à Jérusalem, rue Bar Lev.
Un terroriste a tenté de forcer un barrage situé entre Jérusalem et la localité de Maalé Adoumim avant de se faire neutraliser. Deux Israéliens ont été blessés à Kiryat Gat. Une femme habitante de Tekoa, au sud de Jérusalem, a été blessée par des jets de pierres. Un Arabe a jeté une bouteille en verre contre un Israélien rue Shimon HaTzadik à Jérusalem.
Voilà le bilan de la troisième Intifada durant les dernières 48 heures. Dans les territoires, à Jérusalem, à Tel Aviv et ailleurs, des civils israéliens sont attaqués à l’arme blanche, avec des bouteilles de verre et à coups de jets de pierres. Si des Arabes utilisaient des armes blanches, des bouteilles de verre et des pierres pour tenter de blesser ou de tuer des Français à Paris, à Lyon et à Brest, je suppose que les médias hexagonaux parleraient de grave atteinte à la sécurité nationale et de violation des règles de l’Etat de droit.
Mais comme les faits se déroulent en Israël, la presse française minimise la responsabilité des palestiniens et sous-entend même que c’est finalement le résultat de la « politique israélienne », formule classique pour dire que « c’est la faute aux Juifs », que l’on taxe, pour l’occasion, de « soldats » (Juifs actifs au sein des forces de défense d’Israël) ou de « colons » (Juifs civils osant résider en Judée et en Samarie), une façon de dire « Juif méchant ».
Michel Garroté pour Europe Israël News
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Le drapeau palestinien sera hissé à l’Office de l’ONU à Genève
Publié le 2015-10-09 à 21:00 | french.xinhuanet.com
GENEVE, 9 octobre (Xinhua) — Le drapeau de la Palestine sera hissé à l’Office des Nations Unies à Genève (ONUG) lors d’une cérémonie prévue le 13 octobre, a déclaré vendredi le service de presse de l’ONUG.
La cérémonie sera organisée en conformité avec la résolution adoptée le 10 septembre dernier par l’Assemblée générale de l’ONU, en vertu de laquelle les drapeaux des Etats observateurs non membres peuvent désormais flotter au siège new-yorkais de l’ONU et dans ses représentations à travers le monde.
Cette résolution a été adoptée à une majorité écrasante par les Etats membres de l’ONU.
Selon le service de presse, le directeur général de l’ONUG Michael Moeller sera présent à cet événement au Palais des Nations, ainsi que les représentants de la Mission permanente d’observation de la Palestine à l’ONUG et ceux d’autres organisations internationales. Le ministre palestinien des Affaires étrangères Riad al-Maliki a également confirmé sa présence.
Le drapeau palestinien a été levé le 30 septembre au siège de l’ONU à New York pour la première fois.
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