HONGRIE : Viktor Orban, future cible et victime des européistes mondialistes ?

Viktor Orban accuse la France de favoriser “le déclin de la chrétienté et la diffusion de l’islam”

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban. Photo © Zoltan Mathe/AP/SIPA
Le Premier ministre hongrois souhaite la constitution d’une large alliance de pays européens contre l’immigration.

Nouveau cri d’alarme de Viktor Orban. « La situation est que le danger auquel nous devons faire face vient de l’Ouest, des politiques de Bruxelles, Berlin et Paris. Ils veulent que nous adoptions leurs politiques qui ont fait de leurs pays des pays d’immigration, et qui ont amené par là le déclin de la chrétienté et la diffusion de l’islam », a déclaré le Premier ministre hongrois, dimanche, à l’occasion du lancement par son parti conservateur, le Fidesz, de la campagne pour les élections législatives du 8 avril, rapporte la radio belge RTBF.

« La chrétienté est le dernier espoir de l’Europe. » Lors de son discours annuel sur l’état de la nation, prononcé devant ses militants, Orban a souhaité la constitution d’une large alliance de pays contre l’immigration et critiqué l’Europe occidentale, devenue une « zone immigrée, un monde à la population mixte qui prend une direction différente de la nôtre ». Avant de s’en prendre au milliardaire George Soros : « Bien sûr, nous combattrons et nous utiliserons tous les recours juridiques possibles. Le premier est notre loi anti-Soros ».

Le nouveau projet de loi, du nom de l’homme d’affaires progressiste américain d’origine hongroise qui finance la cause des réfugiés et défend l’ouverture des frontières, prévoit que les ONG qui aident les migrants reversent 25% de ces fonds sous forme de taxe à l’Etat et soient soumises à des contrôles drastiques de la part des autorités. « Partout, (Soros) veut qu’on accepte l’immigration. Ça ne marchera pas. Nous ne sommes pas seuls, nous combattrons ensemble (…) et nous vaincrons », a affirmé le Premier ministre.

« Soros nous a non seulement contrarié mais aussi l’Angleterre, le président Trump et Israël. Il veut que de tous côtés la migration soit acceptée. Ça ne marchera pas. Nous ne sommes pas seuls et nous nous battrons ensemble pour stopper le plan Soros présenté à Bruxelles et à l’ONU. Et nous réussirons si nous avons assez d’alliés. Je suis sûr que nous le ferons », a-t-il poursuivi, selon la radio belge. « Nous ne pensons pas que la lutte est désespérée. Au contraire, nous allons gagner […]. Ce n’est donc pas trop tard », a conclu Viktor Orban.

Orban accuse les leaders de l’UE et Soros de vouloir une “Europe islamisée”

valeursactuelles.com

Le Premier ministre hongrois dénonce à nouveau la politique laxiste de l’Union européenne et l’activisme du milliardaire américain progressiste.

Les leaders de l’Union européenne et le milliardaire américano-hongrois George Soros, pape du militantisme progressiste, veulent une “Europe nouvelle, métissée et islamisée”, a accusé, une nouvelle fois, le Premier ministre hongrois conservateur Viktor Orban. En visite en Roumanie samedi, il a aussi promis que les barrières érigées aux frontières de son pays, avec le soutien d’autres pays d’Europe centrale, permettront de bloquer leur tentative d’accroitre l’immigration musulmane.

Tandis que la Hongrie s’oppose à l’entrée de migrants, “qui pourraient changer l’identité culturelle du pays”, Orban a répété que sa nation resterait un lieu où “les chrétiens d’Europe occidentale se trouveront toujours en sécurité”. “Dans la campagne à venir, nous devrons d’abord affronter des puissances extérieures”, a ajouté le candidat à un quatrième mandat en avril 2018. “Nous devons tenir bon face au réseau mafieux de Soros et aux bureaucrates de Bruxelles.”

Interrogé sur son choix entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine, Viktor Orban a répliqué par une blague à propos d’un Polonais qui aurait à choisir entre Hitler et Staline : “Il a répondu avoir choisi Marlene Dietrich. Ce que je veux dire, c’est que vous ne pouvez pas donner une bonne réponse à une mauvaise question.”

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