Le jour de la Saint-Valentin, le 14 février, est considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux. Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour ainsi que des roses rouges qui sont l’emblème de la passion.
À l’origine une coutume païenne, cette fête a finalement été assimilée par l’Église catholique romaine par la désignation de saint Valentin comme saint patron des amoureux. Le jour de la Saint-Valentin n’aurait pas été associé avec l’amour romantique avant le haut Moyen Âge mais avec l’amour physique. La fête est maintenant associée plus étroitement à l’échange mutuel de « billets doux » ou de valentins illustrés de symboles tels qu’un cœur ou un Cupidon ailé. L’association du milieu du mois de février avec l’amour et la fécondité date de l’Antiquité. Dans le calendrier de l’Athènes antique, la période de mi-janvier à mi-février était le mois de Gamélion, consacré au mariage sacré de Zeus et de Héra.
(Image à droite: Femmes emportées après tirage au sort)
Dans la Rome antique, le 15 février étaient fêtées les Lupercales ou festival de Lupercus, le dieu de la fécondité. Les Luperques, prêtres de Lupercus, sacrifiaient des chèvres au dieu. Avec le couteau sanglant, les prêtres touchaient le front de deux jeunes aristocrates patriciens, un garçon et une fille. Un bouc était ensuite sacrifié, et de sa peau étaient fabriquées des lanières. Les Luperques couraient alors nus autour du Palatin en frappant, avec les lanières, les femmes qui se mettaient sur leur passage pour recevoir don de fertilité conformément à l’oracle de Junon, protectrice du mariage et de la maternité.
(ci dessous : Faunus Lupercus, faux dieu protecteur des troupeaux. On le fête aux Lupercales. Dans la mythologie romaine, Faunus était le fils de Picus, petit-fils de Saturne et père de Latinus, roi des Aborigènes (qu’il eut avec son épouse Fauna), lorsque Énée parvint en Italie. D’autres écrits prétendent qu’il est directement le fils de Saturne et Circé. Protecteur des troupeaux, Faunus leur donne la fécondité et les défend contre les loups, d’où le nom de « Lupercus » qui lui est aussi souvent attribué (de Lupus : « loup »). C’est aussi un dieu prophétique dont la voix retentit dans le silence de la nuit pour prononcer des oracles. Il lui arrivait aussi d’inspirer des cauchemars aux humains. Aussi lui donne-t-on le nom d’Incubis (« cauchemar »). C’était aussi un dieu qui rendait des oracles (d’où son qualificatif Fatuus, « le Devin ») ) )
Au moins trois saints différents sont nommés Valentin, tous trois martyrs. Leur fête a été fixée le 14 février par décret du pape Gelase Ier, aux alentours de 498. C’est à cette date qu’ils sont mentionnés dans les premiers martyrologes.
Le rapprochement entre la Saint-Valentin et l’amour courtois n’est mentionné dans aucune histoire ancienne et est considéré par des historiens comme une légende. Il existe une autre légende selon laquelle la fête de la Saint-Valentin a été créée pour contrecarrer la pratique des Lupercales par les jeunes amoureux qui dessinaient leurs noms sur une urne, mais cette pratique n’est citée dans aucune source écrite de l’époque. Sauf une miniature du XIIe siècle, qui montre l’appropriation chrétienne de rites païens. Il ne faut cependant pas oublier que la plupart des fêtes chrétiennes se sont substituées à des fêtes païennes. Le jour de la Saint-Valentin a longtemps été célébré comme étant la fête des célibataires et non des couples. Le jour de la fête, les jeunes filles célibataires se dispersaient aux alentours de leur village et se cachaient en attendant que les jeunes garçons célibataires les trouvent (définition des Lupercales). À l’issue de ce cache-cache géant, les couples formés étaient amenés à se marier dans l’année. Ceci permettait de développer la démographie et stimuler l’expansion des villages. Cette pratique laissait libre cours à beaucoup de tricheries de la part de couples officieux ainsi que des hommes qui visaient une jeune fille en particulier et notamment « la plus belle du village », très courtisée.
Tout comme Noël, Pâques, l’Halloween, le Jour de l’An et autres fêtes de ce monde, la St-Valentin est une autre tentative de camouflage de coutumes et d’observances païennes et idolâtres par une « christianisation ». Aussi innocente et inoffensive que la St-Valentin puisse paraître, ses traditions et coutumes proviennent des deux festivals païens les plus pervertis sexuellement de l’histoire ancienne. Les lupercales et la fête de Juno Februata.
Les lupercales (aussi connue en tant que fête de licence sexuelle) célébrée le 15 février, était observée par les anciens Romains en l’honneur de Lupercus, le dieu de la fertilité et de l’agriculture, le protecteur des troupeaux et des récoltes et grand chasseur de loups. Les Romains croyaient que Lupercus protégerait Rome des meutes de loups qui dévoraient le bétail et les gens. Assistés par les vierges vestales, les luperques (les prêtres mâles) observaient les rites de purification en sacrifiant des chèvres et un chien dans la caverne du Palatin, là où les Romains croyaient que Romulus et Remus avaient été abrités par la louve qui les avait nourris avant qu’ils fondent Rome. Habillés de pagnes tachés de sang et faits avec la peau des chèvres sacrifiées, les luperques parcouraient Rome frappant les femmes avec des februa, des courroies faites des peaux des chèvres. Les luperques croyaient que ces flagellations purifiaient les femmes et leur garantissaient la fertilité et l’aisance lors de l’accouchement. Le mot février dérive du mot februa et signifie purification.
Pour les Romains, février était aussi consacré à Junon Februata, la déesse de febris (fièvre de l’amour), des femmes et du mariage. Le 14 février, des billets (petites pièces de papier sur lesquels étaient écrits le nom d’une adolescente) étaient mis dans un récipient. Des adolescents choisissaient alors au hasard un billet. Le garçon et la jeune fille dont les noms avaient été choisis formaient alors un couple lors de jeux érotiques et de fêtes qui étaient célébrées partout dans Rome. Après la fête, ils demeuraient des partenaires sexuels pour le reste de l’année. Cette coutume a été observée dans l’empire romain pendant des siècles.
A lire ICI, sur le blog de JYH
A lire ICI sur RCG (église restaurée)
Pan, Aphrodite et Éros. Caractéristique du bouc sollicitant une relation sexuelle avec une femme
Le jour de la Saint-Valentin, le 14 février, considéré comme la fête des amoureux, les couples (préalablement formés ou en constitution) en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour ainsi que des roses rouges qui sont l’emblème de la passion.
Mais sachons que l’association du milieu du mois de février avec l’amour et la fertilité date de l’antiquité.
EN EFFET, DANS LE CALENDRIER DE L’ATHENES ANTIQUE, LA PERIODE DE MI-JANVIER A MI-FEVRIER ETAIT LE MOIS DE GAMELION, CONSACRE AU MARIAGE SACRE DE ZEUS ET DE HERA. PAR AILLEURS, DANS LA ROME ANTIQUE, LE JOUR DU 14 FEVRIER ETAIT NOMME LES LUPERCALES (UN JOUR DE FETE OU LES JEUNES FILLES CELIBATAIRES SE DISPERSAIENT AUX ALENTOURS DE LEUR VILLAGE ET SE CACHAIENT EN ATTENDANT QUE LES JEUNES GARÇONS CELIBATAIRES LES TROUVENT ) OU FESTIVAL DE LUPERCUS, LE DIEU DE LA FERTILITE, QUE L’ON REPRESENTE VETU DE PEAUX DE CHEVRE.
Les prêtres de Lupercus sacrifiaient des chèvres au dieu et, après avoir bu du vin, ils couraient dans les rues de Rome à moitié nus et touchaient les passants en tenant des morceaux de peau de chèvre à la main. Les jeunes femmes s’approchaient volontiers, car être touchée ainsi était censé rendre fertile et faciliter l’accouchement. CETTE SOLENNITE PAÏENNE HONORAIT JUNON, DEESSE ROMAINE DES FEMMES ET DU MARIAGE, AINSI QUE PAN, LE DIEU DE LA NATURE.
À l’origine une coutume païenne, cette fête a finalement été assimilée par l’Église catholique romaine par la désignation de saint Valentin comme saint patron des couples. (!) Et elle fait partie de la liste des fêtes « chrétiennes » (la fête de pâques, la noël…etc.) qui se sont substituées à des fêtes païennes et qui s’impose d’une façon ou d’une autre à tous les « chrétiens ». Tandis que les fêtes de L’Eternel-YHWH, qui tiennent lieu de convocation solennelles, instituées par ELOHIM sont expressément ignorées.
ELOHIM a dit : Romains 12-2 : « Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu-Elohim, ce qui est bon, agréable et parfait ».
MAINTENANT QUE TU SAIS, QUE FERAS-TU ?
Peut-être que les cadeaux trop beaux répondent exactement aux attentes et les plans trop parfaits ? Mais ELOHIM a également dit :
1 Pierre 1-14 : « Comme des enfants obéissants, ne vous conformez pas aux convoitises que vous aviez autrefois, quand vous étiez dans l’ignorance
MAINTENANT QUE TU SAIS, QUE FERAS-TU ? »
Je n’ai pas choisi d’être disciple, j’ai seulement eu la grâce de le devenir.
Luqas
https://www.facebook.com/lucaurelienmagloire.nguessan
Voir aussi: http://jyhamon.eklablog.com/amour-bisounours-pour-la-perdition-ou-amour-agape-donc-saint-pour-le-s-a47190215
JYH 7/02/2013 (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d’en redonner le texte intégral et les sources)
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La vérité derrière LA SAINT-VALENTIN.
Par David C. Pack
Le monde voit la Saint-Valentin comme étant la « fête de l’amour ». Puisque la Bible dit que Dieu est amour (I Jn 4 :8, 16), approuve-t-Il la célébration de ce jour ? Veut-Il que Son peuple — les vrais Chrétiens — partagent les friandises, les cartes ou autres coutumes associées à ce jour ?
Lorsque Dieu dit qu’Il veut que vous ayez une vie abondante (Jn 10 :10), est-ce que cela inclut la célébration d’un jour de fête qui semble aussi inoffensif que la St-Valentin ? Le Dieu qui nous donne toutes choses — la vie, le boire, le manger, l’intelligence, etc. — approuve certainement ce jour, fête au cours de laquelle les amoureux échangent des cadeaux — Non ?
N’en soyez pas si sûrs. Ne présumez de rien. Ne vous fiez même pas au présent article. Allez voir dans les encyclopédies et les livres d’histoire. Vérifiez dans la Bible. Alors vous connaîtrez les vraies vérités derrière la St-Valentin. Et vous saurez ce que Dieu attend de vous à ce sujet.
L’histoire de la St-Valentin.
Tout comme Noël, Pâques, l’Halloween, le Jour de l’An et autres fêtes de ce monde, la St-Valentin est une autre tentative de camouflage de coutumes et d’observances païennes et idolâtres par une « christianisation ».
Aussi innocente et inoffensive que la St-Valentin puisse paraître, ses traditions et coutumes proviennent des deux festivals païens les plus pervertis sexuellement de l’histoire ancienne. Les lupercales et la fête de Juno Februata.
Les lupercales (aussi connue en tant que fête de licence sexuelle) célébrée le 15 février, était observée par les anciens Romains en l’honneur de Lupercus, le dieu de la fertilité et de l’agriculture, le protecteur des troupeaux et des récoltes et grand chasseur de loups. Les Romains croyaient que Lupercus protégerait Rome des meutes de loups qui dévoraient le bétail et les gens.
Assistés par les vierges vestales, les luperques (les prêtres mâles) observaient les rites de purification en sacrifiant des chèvres et un chien dans la caverne du Palatin, là où les Romains croyaient que Romulus et Remus avaient été abrités par la louve qui les avait nourris avant qu’ils fondent Rome. Habillés de pagnes tachés de sang et faits avec la peau des chèvres sacrifiées, les luperques parcouraient Rome frappant les femmes avec des februa, des courroies faites des peaux des chèvres. Les luperques croyaient que ces flagellations purifiaient les femmes et leur garantissaient la fertilité et l’aisance lors de l’accouchement. Le mot février dérive du mot februa et signifie purification.
Pour les Romains, février était aussi consacré à Junon Februata, la déesse de febris (fièvre de l’amour), des femmes et du mariage. Le 14 février, des billets (petites pièces de papier sur lesquels étaient écrits le nom d’une adolescente) étaient mis dans un récipient. Des adolescents choisissaient alors au hasard un billet. Le garçon et la jeune fille dont les noms avaient été choisis formaient alors un couple lors de jeux érotiques et de fêtes qui étaient célébrées partout dans Rome. Après la fête, ils demeuraient des partenaires sexuels pour le reste de l’année. Cette coutume a été observée dans l’empire romain pendant des siècles.
Le blanchiment des perversions.
En 494 ap. J.-C., le pape Gélase a rebaptisé la fête de Junon Februata en l’appelant la fête de la purification de la vierge Marie. le pape Gélase a rebaptisé la fête de Junon Februata en l’appelant la fête de la purification de la vierge Marie. Elle est aussi connue sous le nom de Chandeleur, de fête de la Présentation, de purification de la Sainte Vierge et de fête de la présentation du Christ au Temple.
Après que Constantin eut fait de l’Église romaine la religion chrétienne officielle de l’empire romain (325 ap. J.-C), ses dirigeants voulurent se débarrasser des fêtes païennes observées par le peuple. Parmi elles, les lupercales étaient prioritaires. Toutefois, les citoyens romains voyaient cela d’un autre oeil.
Ce ne fut pas avant 496 ap. J.-C. que l’Église de Rome put agir sur les lupercales. Ne pouvant s’en débarrasser, le pape Gélase la changea plutôt du 15 au 14 février et l’appela la Saint-Valentin. La date de célébration fut plus tard changée du 14 au 2 février. Elle tire son nom d’un des saints de l’Église qui, en 270, fut exécuté par l’empereur à cause de ses croyances.
Selon l’Encyclopédie catholique, au-moins trois Saint-Valentin différents, tous martyrs, sont mentionnés dans le martyrologe sous la date du 14 février. Un aurait été prêtre à Rome, un autre évêque d’Interrama (la Terni moderne). Ces deux personnes semblent avoir été martyrisées dans la deuxième moitié du troisième siècle et avoir été enterrées le long de la voie flaminienne, mais à des distances différentes de la ville d’un troisième Saint-Valentin qui aurait souffert en Afrique avec un certain nombre de ses compagnons. On ne sait rien de plus. Des biographies de plusieurs hommes différents appelés Valentin ont été fusionnées pour obtenir un seul Saint-Valentin officiel.
L’Église a poussé le blanchiment des lupercales encore plus loin. Au lieu de mettre les noms des jeunes filles dans des boîtes, ce fut le nom des saints qui cette fois étaient tirés à la fois par les garçons et les filles. Il était ensuite du devoir de chaque personne d’émuler la vie du saint dont le nom avait été tiré. C’est une autre tentative par Rome de blanchir une observance païenne en la christianisant. Dieu n’a jamais donné à l’homme l’autorité ou le pouvoir de faire une telle chose. Bien que l’Église de Rome ait banni la loterie sexuelle, les jeunes hommes continuent d’en pratiquer une version atténuée en envoyant aux femmes qu’ils désirent des messages romantiques contenant le nom de Saint-Valentin.
À travers les siècles, les cartes de la Saint-Valentin sont devenues populaires, spécialement à la fin du XVIII et au début du XIX siècles. Ces cartes étaient ornées de cupidons et de cœurs et méticuleusement décorées avec de la dentelle, de la soie ou des fleurs.
Le premier homme du nom de Valentin.
Mais qui était le Valentin original ? Et que signifie le nom de Valentin ?
Valentin vient du mot latin Valentinus, qui vient lui-même de valens — être fort, puissant, imposant. La Bible décrit un homme qui possède un titre semblable : « Cusch engendra aussi Nimrod; c’est lui qui commença à être puissant sur la terre. Il fut un vaillant chasseur devant l’Éternel; c’est pourquoi l’on dit: Comme Nimrod, vaillant chasseur devant l’Éternel. » (Gen 10 :8-9). On dit qu’il chassait avec l’arc et les flèches.
Tel que mentionné, les Romains célébraient les lupercales afin d’honorer le dieu de la chasse Lupercus. Pour les Grecs, de qui les Romains avaient copié la majorité de la mythologie, Lupercus était connu sous le nom de Pan, le dieu de la lumière. Les Phéniciens adoraient le même dieu sous le nom de Baal, le dieu soleil. Baal était un des nombreux noms ou titres de Nimrod, un vaillant chasseur, particulièrement de loups. Il fut aussi le fondateur et premier maître de Babel (Gen 10 :10-12). Défiant Dieu, Nimrod fut à l’origine de la religion à mystères de Babylone dont la mythologie a été copiée par les Égyptiens, les Grecs, les Romains et une multitude d’autres peuples anciens. Sous des noms ou des titres différents — Pan, Lupercus, Saturne, Osiris — Nimrod est l’homme fort, le vaillant chasseur-guerrier, dieu des anciens.
Mais, direz-vous, qu’est-ce que le symbole du cœur a à faire avec le fait d’honorer Nimrod/Valentin ?
Le titre Baal signifie seigneur ou maître et celui-ci est mentionné dans toute la Bible comme étant le dieu des païens. Dieu a averti Son peuple de ne pas adorer, ni même tolérer les voies de Baal (Nimrod). Dans l’ancien chaldéen (la langue des Babyloniens), bal, qui est semblable à Baal, signifie « cœur ». Voilà d’où provient le symbole du cœur.
Notez maintenant le nom de Cupidon. Il provient du verbe latin cupere, signifiant désirer. Cupidon était le fils de Vénus, la déesse romaine de la beauté et de l’amour. Connu aussi sous le nom d’Eros chez les Grecs, il était le fils d’Aphrodite. Selon le mythe, il était responsable d’avoir fécondé un grand nombre de déesses et d’êtres mortels. Cupidon était un archer à l’allure d’enfant (rappelez-vous que Nimrod était archer). La mythologie décrit Cupidon comme pourvu d’une personnalité à la fois cruelle et enjouée. Il utilisait ses flèches invisibles dont l’embout était en or, pour frapper les femmes et les hommes sans méfiance, les faisant tomber follement amoureux. Il ne faisait pas cela pour leur bénéfice, mais bien pour les rendre fous de passion avec le dessein de rendre leur vie misérable et se moquer d’eux.
Plusieurs des dieux des Égyptiens, des Grecs, des Romains, des Assyriens et de d’autres peuples ont pris pour modèle un seul homme, Nimrod.
Mais qu’est-ce que cela a à faire avec nous aujourd’hui ? Pourquoi devrions-nous nous préoccuper de ce qui est arrivé dans le passé ?
Ce que Dieu pense.
Lisez ce que Dieu commande à Son peuple en ce qui concerne les pratiques et les traditions païennes. « N’imitez pas la voie des nations, et ne craignez pas les signes du ciel, parce que les nations les craignent. Car les coutumes des peuples ne sont que vanité » (Jér 10 :2-3). Voyez aussi les paroles du Christ dans Matthieu 15 :9 : « C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes ».
Partout dans la Bible, Dieu décrit les païens comme ceux qui adorent les choses qu’Il a créées (les animaux, le soleil, la lune, les étoiles, les arbres etc.), ou des idoles faites de mains d’hommes, ou toute autre chose que Dieu. Il qualifie ces personnes et leurs pratiques de païennes. Les vrais Chrétiens savent que Dieu hait toutes les coutumes, pratiques et traditions dont l’origine est païenne.
Dieu prend-Il vraiment au sérieux le paganisme ?
Lorsqu’Il sauva les douze tribus d’Israël d’un esclavage brutal et les fit sortir d’Égypte, Il leur commanda : « Vous ne ferez point ce qui se fait dans le pays d’Égypte où vous avez habité, et vous ne ferez point ce qui se fait dans le pays de Canaan où je vous mène: vous ne suivrez point leurs usages » (Lév 18 :3). Dieu exigea des Israélites de ne pas se souiller par les pratiques et coutumes païennes des nations environnantes (v. 24-29). « Vous observerez mes commandements, et vous ne pratiquerez aucun des usages abominables qui se pratiquaient avant vous, vous ne vous en souillerez pas. Je suis l’Éternel, votre Dieu » (v. 30).
Dieu a maudit l’Égypte — une nation d’adorateurs de la nature — par dix plaies et libéra Israël de l’esclavage. Il sauva Israël de l’armée de Pharaon en ouvrant la mer Rouge et en conduisant Son peuple en sécurité. Il nourrit les Israélites de la manne des cieux — une nourriture spéciale donnée par Dieu. Il les protégea des armées aguerries des nations païennes et les emmena dans la Terre Promise en expulsant leurs ennemis.
Comment Israël répondit-il à Dieu ? « Nos pères en Égypte ne furent pas attentifs à tes miracles, ils ne se rappelèrent pas la multitude de tes grâces, ils furent rebelles près de la mer, près de la mer Rouge… Ils firent un veau en Horeb, ils se prosternèrent devant une image de fonte. Ils échangèrent leur gloire contre la figure d’un boeuf qui mange l’herbe. Ils oublièrent Dieu, leur sauveur, qui avait fait de grandes choses en Égypte, des miracles dans le pays de Cham, des prodiges sur la mer Rouge… Ils méprisèrent le pays des délices; ils ne crurent pas à la parole de l’Éternel, ils murmurèrent dans leurs tentes, ils n’obéirent point à sa voix… Ils s’attachèrent à Baal-Peor, et mangèrent des victimes sacrifiées aux morts. Ils irritèrent l’Éternel par leurs actions » (Ps 106 :7,13-14, 19-22, 24-25, 28-29).
Dieu ordonna explicitement à Israël d’expulser et de détruire toutes les nations qui occupaient la Terre Promise (Canaan). Par-dessus tout, Son peuple ne devait faire aucune alliance avec elles ou se marier avec elles (Deut 7 :1-3, 5, 16), « car ils détourneraient de moi tes fils, qui serviraient d’autres dieux » (v.4).
Mais les Israélites se croyaient meilleurs que Dieu. Ils décidèrent de faire les choses à leur façon. « Ils ne détruisirent point les peuples que l’Éternel leur avait ordonné de détruire. Ils se mêlèrent avec les nations, et ils apprirent leurs oeuvres. Ils servirent leurs idoles, qui furent pour eux un piège; ils sacrifièrent leurs fils et leurs filles aux idoles, ils répandirent le sang innocent, le sang de leurs fils et de leurs filles, qu’ils sacrifièrent aux idoles de Canaan, et le pays fut profané par des meurtres. Ils se souillèrent par leurs oeuvres, ils se prostituèrent par leurs actions » (Ps 106 :34-39).
Dieu voulait que la nation d’Israël serve d’exemple aux nations d’alentour. C’est pourquoi, ayant en vue de les réveiller et de les remettre sur la bonne voie, Dieu permit à leurs ennemis de les conquérir. Israël se repentit et cria vers Dieu, qui les sauva. Une fois le ventre plein et leurs vies en sécurité, les Israélites retournèrent vers les autres dieux. Dieu les punit à nouveau. Israël se repentit et cria à nouveau vers Dieu.
Et c’est ainsi que se poursuivit le cycle de délivrance, idolâtrie, punition, repentir (v. 40-46), jusqu’au moment où, finalement, Dieu n’eut d’autre choix que de divorcer l’Israël infidèle (Jér 3 :6-11).
Il utilisa les Assyriens, une des nations guerrières les plus brutales de l’histoire, pour envahir, conquérir, mettre en esclavage et déplacer tout le royaume du nord d’Israël (II Rois 17). Ceux-ci disparurent de l’histoire et les descendants modernes de ces dix tribus ont ignoré leur véritable identité jusqu’à aujourd’hui.
Par après, Dieu envoya le royaume du sud, celui de Juda (qui consistait surtout des tribus de Juda, de Benjamin et de Lévi) en exil à Babylone (II Rois 24 et 25). Parce qu’ils observaient (au-moins physiquement) le véritable Sabbat qui est un signe qui identifie le vrai Dieu et Son peuple (Ex 31 :12-18), les Juifs purent conserver leur identité.
Les Israélites furent sévèrement punis pour avoir désiré suivre les coutumes, les rituels, les traditions et les pratiques païennes. Comme vous pouvez le constater, Dieu ne prend pas le paganisme à la légère.
Pourquoi le paganisme est mauvais.
Pourquoi au juste Dieu déteste-t-Il tout ce qui ressemble aux coutumes païennes ? Est-il possible de « blanchir » en les « christianisant » des pratiques païennes et les rendre pures ? Est-ce correct d’adopter des pratiques païennes aussi longtemps que vous adorez Dieu ?
Prenez note de ce que Dieu dit dans Lévitique 18. Après les avoir délivrer de l’esclavage, Dieu les a prévenu de ne pas pratiquer les coutumes qu’ils avaient connues en Égypte, et de ne pas apprendre les voies, coutumes et traditions des nations païennes qu’ils rencontreraient dans le pays de Canaan (v. 1-3). En lieu et place, Dieu commanda à Israël de suivre Ses voies (v. 4-5).
Dieu décrit ensuite les vies païennes de ces nations en détail. Aux versets 7 à 20, Il condamne toutes sortes de pratiques hétérosexuelles qui sont hors des limites du mariage, l’inceste, la fornication, l’adultère etc. Aux versets 22-23, Dieu condamne l’homosexualité et la bestialité. Tous ces péchés brisent et détruisent la famille que Dieu a créée et instituée avec amour
Notez ce à quoi Dieu rattache ces perversions. « Tu ne livreras aucun de tes enfants pour le faire passer à Moloc, et tu ne profaneras point le nom de ton Dieu. Je suis l’Éternel » (v.21). Dieu lie ces pratiques sexuelles perverses des nations païennes aux sacrifices humains — des parents qui offraient leurs enfants aux dieux païens.
La Bible nous montre que non seulement Israël a désobéi à Dieu et a embrassé de tout cœur l’immoralité sexuelle des païens, mais ils sont allés encore plus loin.
« Ils m’ont tourné le dos, ils ne m’ont pas regardé; on leur a enseigné, on leur a enseigné dès le matin; mais ils n’ont pas écouté pour recevoir instruction. Ils ont placé leurs abominations dans la maison sur laquelle mon nom est invoqué [le temple à Jérusalem] afin de la souiller. Ils ont bâti des hauts lieux à Baal dans la vallée de Ben-Hinnom, pour faire passer à Moloc leurs fils et leurs filles: Ce que je ne leur avais point ordonné; et il ne m’était point venu à la pensée qu’ils commettraient de telles horreurs pour faire pécher Juda » (Jér 32 :33-35). (Pour en apprendre davantage au sujet de ces sacrifices humains, télécharger notre sermon intitulé Santa Claus is Molec (en anglais) et lisez notre brochure La véritable origine de NOËL et La véritable origine de PÂQUES).
Imaginez-vous. Israël a commis un péché si vil, si dégoûtant, que même Dieu en a été choqué.
Mais tout cela était à cette époque. Qu’en est-il de notre époque ? Assurément, les parents de nos jours ne sacrifient pas leurs enfants aux dieux païens — ou le font-ils toujours ?
N’en soyez pas si sûrs. Peut-être leurs vies ne sont-elles pas sacrifiées, mais qu’en est-il de leur innocence ?
Les parents de nos jours s’attendent à ce que leurs petits tombent en amour et aient des « amoureux et des amoureuses ». Ils trouvent cela mignon lorsque de petits garçons et les petites filles se tiennent la main et agissent comme un couple en s’échangeant un baiser ou deux en cachette quand personne ne regarde. Certains parents s’inquiètent lorsque leurs enfants ne montrent pas d’intérêt pour le sexe opposé. Ils ne cessent de leur demander, « as-tu un petit ami ? Ou, qui est ta petite amie ?
Pourtant, ces mêmes parents sont surpris lorsque leur adolescente tombe enceinte, ou attrape une maladie sexuellement transmissible, ou encore, se fait avorter en cachette.
La Saint-Valentin n’est qu’un des nombreux outils que le dieu de ce monde (II Cor 4 :4) utilise afin d’amener les parents à sacrifier l’innocence de leurs enfants.
Lorsque les jeunes garçons et les jeunes filles tirent au hasard leurs noms et s’envoient des cartes de la Saint-Valentin et des cadeaux les uns aux autres en déclarant leur amour, ils sont en train d’apprendre les premières étapes des relations intimes que le Créateur a conçues spécifiquement pour des adultes matures. Au lieu de vivre dans l’innocence sans responsabilités de la jeunesse, c’est-à-dire grandir sans les casse-têtes et les déceptions des adultes (trouver un emploi, payer les comptes, le mariage, élever une famille…), on enseigne aujourd’hui à nos enfants à se désirer les uns les autres. Ils en viennent au drame quotidien du « si tu m’aimais, tu coucherais avec moi » ; « je suis enceinte » ; « ce n’est pas mon enfant » ; ou, « elle s’est faite avortée ». Au moment d’atteindre l’âge adulte, il ne reste pratiquement plus aucune trace d’innocence, de sincérité ou de décence morale en eux. Ils sont abattus, ils ont les attitudes blasées du monde « j’ai déjà été là, j’ai déjà fait ça » etc.. Et leur vie ne fait que commencer !
Voilà pourquoi nous vivons dans un monde où une adolescente encore vierge est un phénomène rare. Ce qu’on appelait autrefois le concubinage et vivre dans le péché s’appelle aujourd’hui, tout simplement « vivre ensemble », où les relations sexuelles ne sont rien de plus qu’une récréation physique sans attaches émotionnelles, sans souci ni préoccupations. Les gens changent de partenaire sexuel comme on change de vêtements. D’autres, non mariés, dans la vingtaine ou la trentaine ont déjà eu cinq partenaires sexuels — et cela est considéré un chiffre peu élevé, tout spécialement aux États-Unis. Les hommes ne se font plus appelés « mari » ou « fiancé » mais le père de mon deuxième enfant.
Quelle tristesse!
Satan a séduit le monde entier (Apoc 12 :9) et de multiples façons, tout particulièrement en ce qui concerne les relations intimes. Le jour de la Saint-Valentin n’est qu’un de ses outils de séduction. (Pour en apprendre davantage sur ce qu’est ce fraudeur, lisez notre brochure intitulée Qui est le DIABLE ?
Sortez du milieu d’elle, mon peuple.
En ce qui concerne le proche avenir, alors que ce monde influencé par Satan est à la veille de s’écrouler, Dieu déclare, « Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l’impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe » (Apoc 18 :2-3).
Concernant ce système païen et satanique, Dieu ordonne aux vrais Chrétiens : « Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux » (v.4).
La Saint-Valentin provient du paganisme antique de ce monde influencé par Satan. Il a été inventé afin de tromper l’humanité en faisant appel aux désirs charnels, ou comme la Bible les appelle, les oeuvres de la chair. « Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicité, l’impureté, la dissolution, … l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. » (Gal 5 :19-21). D’après vous, cela ressemble-t-il aux lupercales ?
En dernier lieu, « ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume de Dieu » (v. 21). Un vrai Chrétien se concentre sur le prochain Royaume de Dieu (Matth 6 :33) et sur le monde à venir et non sur les désirs charnels de ce monde. Un véritable Chrétien doit s’efforcer de se dépouiller du « vieil homme » et suivre l’exemple parfait et juste de Jésus-Christ. Il sait qu’il doit prendre la décision de sortir de ce monde rempli de coutumes, de traditions et de pratiques païennes.
Les Chrétiens ne célèbrent pas la Saint-Valentin !
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Les Vraies Origines de la Saint-Valentin : les Lupercales
par Nzwamba Simanga
Les Lupercales sont des fêtes célébrées chaque années du 13 au 15 février par les luperques, des prêtres de la Rome antique en fin d’année du calendrier romain. Les luperques sont réunis au sein d’un collège qui rassemble les fils descendant des plus anciennes familles qui ont fondé la ville de Rome.
Romulus et Remus allaités par une louve
Cette série de fêtes célébrait le souvenir de l’allaitement de Romulus et Remus par une louve et rendait aussi hommage à Faunus Lupercus, une divinité de la fertilité et défenseur des troupeaux contre les loups ayant un aspect mi-homme mi-bouc. Les 12 prêtres luperques sacrifiaient un bouc à leur dieu dans la grotte de Lupercal au pied du Mont Palatin là où la louve aurait allaité Romulus et Remus avant qu’ils ne soient recueillis par un couple de berger dont la femme, une prostituée, était surnommée “Lupa” (la louve en latin). Cette “Lupa” s’appelait Acca Larentia et son commerce de prostitution la rendit prospère et légua à sa mort sa fortune à Romulus.
Avant que Rome n’existe, les Grecs célébraient déjà la fête des loups, “Lukéia”, dont découlera les Lupercales. Le dieu grec Pan était également représenté sous une forme mi-humaine mi-bouc. Il était le protecteur des bergers et des troupeaux. Pan serait un des rares noms divins que l’on peut attribuer à une période commune indo-européenne. Le dieu Pan est très réputé pour sa puissance sexuelle et il est dit qu’il apprit la masturbation chez son père Hermès et transmis cette habitude aux bergers. Pan partage avec les satyres des attributs communs et ces derniers ont un aspect rustre et jeune caractéristique typique de la brutalité érotique de la jeunesse.
Pan s’accouplant avec une chèvre
Un rituel était officié par un prêtre sacrificateur au cours duquel ce dernier tailladait le front de deux jeunes hommes pour que le sang versé soit mélangé à du lait. Ensuite, ces jeunes hommes couraient quasi nus dans toute la ville de Rome en fouettant les femmes au passage, qui voulaient avoir un enfant, à l’aide des lanières de peau de bouc pour les rendre fécondes. Le bouc était réputé être l’animal qui symbolise la luxure par excellence, tous les plaisirs sexuels.
Au cours de ces Lupercales, les noms des jeunes femmes étaient tirés au sort par des hommes et la suite des évènements n’était qu’immoralité sexuelle. C’était en somme une période dépravation sexuelle généralisée.
Femmes emportées après tirage au sort
Cependant, en 494 après l’ère européenne le pape Gélase Ier (originaire d’Afrique du Nord, voir travaux de Runoko Rashidi) mis fin à cette fête et la substitua par la Saint Valentin, patron des fiancés et des amoureux, et décréta que le 14 février soit le jour consacrée à cette fête au nouveau visage. Le nom de Valentin est pris à Valentin de Terni, un moine du 3e siècle martyrisé sous l’empereur romain Claude II (Marcus Aurelius Claudius Gothicus), surnommé “Claude le Cruel“. Valentin de Terni fût, par ordre de Claude le Cruel, roué de coups par les légionnaires et décapité le 14 février 269.
LE SYMBOLISME DU BOUC
On a vu que le bouc était relié à des rituels de fertilité. Aussi, les Lupercales étaient des fêtes de purification et c’est le sacrifice d’un bouc qui laisse dans la culture européenne l’expression populaire “bouc émissaire” pour expier les impuretés. Dans la culture judéo-chrétienne, le bouc est devenu la représentation de l’Antéchrist et est assimilé à Satan tout en symbolisant également la luxure. Dans les pratiques occultes européennes, on retrouve le personnage de Baphomet qui est une représentation mi-homme mi-bouc. La représentation visuelle que l’on connaît de ce Baphomet a été réalisée par Éliphas Lévi, un ecclésiastique français du 19e siècle et grande figure de l’occultisme.
En plus d’attribuer aux boucs l’attribut de la fécondité, ils sont réputés transmettre cette aptitude aux hommes et c’est cela qui explique la pratique d’accouplement d’un bouc et d’une femme. En effet, on comprend mieux lors de l’installation des Grecs en Égypte antique ce passage d’Hérodote lorsqu’il dit: « Il arriva, pendant que j’étais en Égypte, une chose étonnante dans le nome mendésien: un bouc eut publiquement ce commerce avec une femme, et cette aventure fut connue de tout le monde. » (dans son ouvrage “Enquête”). Mendès était située dans la région du delta du Nil.
Pan, Aphrodite et Éros. Caractéristique du bouc sollicitant une relation sexuelle avec une femme
Alors, nombreux sont ceux qui sont englués dans les religions eurasiatiques sous prétexte d’échapper à la sorcellerie, le fétichisme, ou au paganisme de la spiritualité africaine. Que doit-on penser de la sorcellerie de cette Saint Valentin en plein christianisme décomplexé qui maquille les traditions indo-européennes représentées par ce bouc viril? Les propriétaires de ces religions iront-ils en enfers? Où est-ce encore, comme aime bien le dire certains, une mauvaise interprétation des “Saintes” Écritures par les Hommes? Dans tous les cas, l’Afrique de demain se construira avec ceux et celles qui seront réconciliés avec leur patrimoine culturel et non pas avec des bénis-oui-oui. Pour faire simple, la Saint Valentin n’est supposée qu’être une fête orgiaque où la copulation massive est le sport favori du moment. Sans plus.