United Kingdom : vers le Grand Remplacement et une guerre civile inévitable dans les rues de Londres ?

« We will fight. Whether they like it or not, the sharia will come to the UK ( Nous nous battrons. Que cela leur plaise ou pas, la charia sera appliquée en Grande-Bretagne ) »

Scènes incroyables vendredi devant la mosquée de Regent’s Park de Londres alors que la chaussée était bloquée par des manifestants radicaux islamistes d’un côté et par des contre-manifestants de l’autre. L’imam radical Anjem Choudary avait annoncé qu’il appelait à un « Rassemblement contre la Croisade britannique » qui se tiendrait après la prière du vendredi. L’EDL et le Britain First ont tous les deux réagi en appelant à une contre-manifestation contre Choudary.

La Charia prend pied au Royaume Uni. Par Guy Millière

Une soumission sournoise à l’islamiquement correct gagne présentement l’Europe. On la trouve en Scandinavie, où les propos critiques ou humoristiques concernant l’islam valent désormais souvent des condamnations en justice. On la trouve en France, où l’écrivain Renaud Camus vient de se voir lourdement condamné, lui aussi, pour avoir osé dire que s’opérait ce que des millions de Français constatent quotidiennement : un grand remplacement de populations, par le biais duquel les chrétiens et les Juifs refluent, tandis que les musulmans, eux, se font de plus en plus nombreux. On retrouve ce phénomène dans divers autres pays.

Mais le pays où le processus est actuellement le plus avancé est incontestablement le Royaume Uni. Que, dans un pays qui a été le premier en Europe à promulguer la liberté de parole, celle-ci se trouve de plus en plus nettement foulée aux pieds dès lors qu’il s’agit d’islam est en soi consternant et très inquiétant. Mais ce qui se passe au Royaume Uni va bien au-delà de la simple remise en cause de la liberté de parole. C’est la charia elle-même qui vient se substituer à la loi commune [common law] ; c’est l’abrogation du Bill of Rights de 1688, pierre angulaire des institutions du pays depuis cette date, qui est en train de s’opérer.

La Law Society [≈ société du droit], organisation professionnelle représentant les professions juridiques pour l’Angleterre et le Pays de Galles a, voici peu, autorisé ses membres à utiliser la « loi islamique » pour prendre leurs décisions et à la substituer à la common law si les circonstances s’y prêtent. Et les autorités politiques du pays, au nom de la séparation des pouvoirs, n’ont rien trouvé à redire. Seule la Baronne Caroline Cox, membre de la Chambre des Lords, a osé élever la voix. Elle est une femme courageuse mais, hélas, isolée.

Comme l’a noté dans un article consacré au sujet le journaliste italien Giulio Meotti, quatre-vingt-cinq cours islamiques règlent désormais les différends familiaux et s’occupent de questions essentielles, telles que le divorce, la garde des enfants en cas de séparation des parents ou l’héritage. Et les habitants du Royaume Uni peuvent, en toute légalité, en vertu du British Arbitration Act, s’adresser à l’une de ces cours islamiques aussi bien qu’à un tribunal, sans qu’aucun juge puisse contester ultérieurement les décisions qui seront prises.

Même plus drôle : Dans des villes telles que Manchester ou Birmingham, la majorité des décisions de justice en matière de différends familiaux sont prises par des cours islamiques ! Le comité de supervision des universités, en charge d’établir les règles dans l’ensemble du système universitaire, vient d’entériner une demande effectuée par des mouvements islamiques, et, désormais, toutes les rencontres universitaires, tous les colloques organisés dans une université au Royaume Uni, devront observer la stricte séparation des hommes et des femmes.

Lors du World Islamic Economic Forum [forum mondial de l’économie islamique], au mois de décembre dernier, David Cameron a proclamé que la place financière de Londres entendait devenir la première place financière du monde pour ce qui concerne la finance islamique. Ce qui est ainsi en train de se mettre en place au Royaume Uni n’est rien moins qu’une soumission qui ne dit pas son nom.

Ce n’est pas la liberté de parole seulement qui se trouve remise en cause au Royaume Uni, non, – et quand bien même ce serait uniquement la liberté de parole qui se trouverait remise en cause, ce serait déjà extrêmement grave, car celle-ci est au cœur de toutes les autres libertés dans les sociétés démocratiques -, c’est l’égalité de droit.

Car, selon la charia, il ne s’agit pas uniquement de séparer les hommes et les femmes, mais de les traiter très différemment. La répudiation peut être effectuée par un homme à l’encontre d’une femme, mais jamais par une femme aux dépens d’un homme. L’héritage attribue à un homme le double de ce qui est attribué à une femme. Il faut en outre, en loi islamique, le témoignage de deux femmes pour contrebalancer celui d’un homme.

 La finance islamique considère comme haram [interdit] non seulement le prêt à intérêt mais aussi les investissements dans divers secteurs d’activités, de même que les contacts économiques avec un pays que les penseurs de la finance islamique considèrent encore comme strictement haram : Israël.

Ce qui se passe au Royaume Uni n’a, pour l’heure, pas affecté d’autres pays d’Europe, mais, au train où vont les choses, ce qui aurait pu sembler impensable il y a relativement peu de temps encore devient, hélas, nécessairement envisageable.

Par Guy Millière © Metula News Agency

Scènes de chaos devant la mosquée Regent’s Park de Londres le 20 avril derneir : lire ICI sur Fdesouche…

ET A LA FRENCH TV ??? RIEN !!!

Scènes de chaos devant la mosquée Regent’s Park de Londres : « Je n’ai jamais rien vu de tel en 30 ans » (vidéos)

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Scènes incroyables vendredi devant la mosquée de Regent’s Park de Londres alors que la chaussée était bloquée par des manifestants radicaux islamistes d’un côté et par des contre-manifestants de l’autre.

L’imam radical Anjem Choudary avait annoncé qu’il appelait à un « Rassemblement contre la Croisade britannique » qui se tiendrait après la prière du vendredi. L’EDL et le Britain First ont tous les deux réagi en appelant à une contre-manifestation contre Choudary.

La police a rapidement établi une ligne de séparation entre les deux groupes mais cela n’a pas empêché insultes et jets de bouteilles lancées d’un groupe à l’autre.

Un groupe de manifestants islamistes a tenté de casser les caméras des journalistes présents. Nous avons recueilli le témoignage d’une journaliste travaillant pour la BBC qui a été poussée et bousculée par des islamistes.

L’affrontement a duré environ une heure avant que les manifestants anti charia ne décident volontairement de quitter les lieux sous escorte de la police.

La protestation prévue à l’origine s’est donc terminée avec seulement les partisans de Choudary demandant l’application de la charia partout en Grande-Bretagne.

Source

 

3’08″ : We will fight. Whether they like it or not, the sharia will come to the UK ( Nous nous battrons. Que cela leur plaise ou pas, la charia sera appliquée en Grande-Bretagne )

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Grande-Bretagne : le gouvernement annonce des prêts étudiants «charia compatible»

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Un système de prêts étudiants «charia compatible» a été dévoilé, jeudi 3 avril, en Grande-Bretagne par David Willetts, le secrétaire d’Etat chargé des Universités et de la Science. Ce nouveau dispositif devra permettre aux étudiants musulmans, rebutés par le système de prêt à intérêt instauré en 2012, de financer leurs études à l’université de façon conforme à l’Islam.

Les frais globaux liés au prêt seront équivalents à ceux d’un prêt classique, pour ne pas désavantager les autres étudiants. Mais les remboursements effectués par les étudiants concernés seront reversés à un fond, qui devrait ensuite allouer des financements aux étudiants se conformant aux mêmes principes religieux.

En 2011, le gouvernement Cameron a triplé le plafond des frais de scolarité payables par les étudiants britanniques, qui passaient ainsi de 3 000 à 9 000 Livres l’année (de 3 600 à 10 900 euros environ). Bien souvent, en plus de cumuler les petits boulots, les étudiants britanniques n’ont d’autre choix que de contracter un prêt. Environ 115 000 jeunes musulmans étudient actuellement dans les universités britanniques.

 

 

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