OMS : vers le contrôle totale des pandémies futures

Les États-Unis, le Canada et la France soutiennent pleinement le traité de l’OMS sur les pandémies

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6 juin 2023

Des bureaucrates non élus soutiennent les projets visant à renforcer les pouvoirs de l’OMS.

Depuis le début de la pandémie de grippe aviaire, de puissantes institutions en ont profité pour renforcer la surveillance et le contrôle de la parole.

L’une de ces institutions, l’OMS, une agence mondiale de santé non élue, a passé plus d’un an à faire pression pour étendre ses pouvoirs par le biais de deux instruments : un traité/accord sur les pandémies et des amendements au Règlement sanitaire international (2005). Ces instruments donneront collectivement à l’OMS, une agence de santé non élue, de nouveaux pouvoirs pour cibler la « désinformation », développer ses outils de surveillance et mettre en place un cadre pour les passeports vaccinaux mondiaux.

Le mois dernier, lors d’une table ronde organisée dans le cadre de la soixante-seizième Assemblée mondiale de la santé (AMS), la réunion annuelle de l’organe décisionnel de l’OMS, le secrétaire américain à la santé et aux services sociaux, Xavier Becerra (un bureaucrate non élu nommé par le président Joe Biden avec l’accord du Sénat américain), l’administrateur en chef de la santé publique du Canada, Theresa Tam (une bureaucrate non élue nommée par l’ancienne ministre canadienne de la santé, Jane Philpott), et d’autres encore ont apporté leur soutien inconditionnel à ces instruments.

M. Becerra a déclaré que les États-Unis s’engageaient à soutenir les travaux de l’organe intergouvernemental de négociation (OIN) de l’OMS (groupe chargé de rédiger et de négocier le traité sur les pandémies), les amendements au règlement sanitaire international (RSI), le renforcement de la « biosurveillance et des systèmes de données pour l’alerte rapide en cas de menaces biologiques » et l’amélioration de « l’équité dans la préparation et la réponse aux pandémies ».

Il a également noté que la proposition de budget du président américain Joe Biden pour 2024 comprend un investissement de plusieurs milliards de dollars pour s’assurer que l’Amérique est préparée à « la prochaine crise de santé publique » et 1,6 milliard de dollars pour « l’action mondiale en matière de santé ».

En outre, M. Becerra a vanté l’engagement de l’administration Biden en faveur du Fonds de lutte contre les pandémies – un fonds hébergé par la Banque mondiale (une institution financière mondiale qui accorde des prêts et des subventions aux pays à revenu faible et intermédiaire), dont l’OMS est le chef de file technique, et qui fournit des fonds pour la prévention et la préparation aux pandémies aux pays à revenu faible et intermédiaire.

Becerra a souligné l’engagement précédent de 450 millions de dollars du régime Biden envers le Fonds pandémique, a souligné un engagement supplémentaire de 250 millions de dollars envers le fonds que l’administrateur Biden avait récemment pris, et a déclaré que « davantage d’investissements sont nécessaires ».

Mme Tam a déclaré qu’il était « absolument extraordinaire que les présidents de l’INB et du RSI procèdent à un examen » et que le Canada « s’engageait à adopter une approche collaborative avec de multiples partenaires sur des priorités communes en matière de santé ». En outre, elle a déclaré que « l’OMS devrait absolument être au centre et jouer un rôle vraiment essentiel dans cette architecture mondiale de la santé ».

La représentante de la France a exprimé son engagement total en faveur de « l’accord sur les pandémies » et des amendements au RSI et a déclaré que ces deux éléments étaient « vitaux ». Elle a également déclaré que la France soutenait le traité sur les pandémies en s’inspirant de l’initiative « One Health », un système de surveillance de l’OMS qui utilise les liens entre « la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes » pour « créer de nouvelles méthodes de surveillance et de lutte contre les maladies ».

Non seulement les représentants de plusieurs nations se sont engagés à soutenir la prise de pouvoir de l’OMS par le biais du traité sur les pandémies et des amendements au RSI, mais le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a poussé les États membres à soutenir ces mesures et d’autres formes de surveillance accrue tout au long de la soixante-seizième Assemblée mondiale de la santé.

Lors de l’ouverture de l’AMS de cette année, le Dr Tedros a déclaré : « L’accord sur les pandémies… doit être un accord historique visant à opérer un changement de paradigme dans la sécurité sanitaire mondiale. »

Lors de son intervention en direct à la soixante-seizième Assemblée mondiale de la santé, le directeur général de l’OMS a expliqué comment l’OMS développe ses systèmes de surveillance et de contrôle, a exhorté les membres à adopter les amendements au RSI et l’accord sur les pandémies, et a demandé aux membres d’augmenter les fonds alloués à l’OMS.

Lors de la table ronde au cours de laquelle les États membres de l’OMS ont soutenu le traité et les amendements au RSI, le Dr Tedros a exhorté les États membres à présenter le traité sur les pandémies « dans les délais », leur a demandé de se concentrer sur des « amendements audacieux » au RSI, a remercié les États-Unis d’avoir recommandé aux États membres de commencer à modifier le RSI et a exhorté les États membres à « maintenir l’OMS au centre de l’architecture mondiale de la santé ».

Outre les États membres et le directeur général de l’OMS qui ont fait l’éloge du traité sur les pandémies et des amendements au RSI, l’OMS a également publié plusieurs documents sur le renforcement de la surveillance de l’OMS et la « gestion » des informations qu’elle juge « fausses ou trompeuses » au cours de la soixante-seizième Assemblée mondiale de la santé.

L’un de ces documents, intitulé « Renforcement de la préparation et de la réponse de l’OMS aux situations d’urgence sanitaire », contient des plans de « surveillance collaborative » et de « gestion de l’infodémie » (l’infodémie est un terme à la mode à l’OMS qui décrit « l’excès d’informations, y compris d’informations fausses ou trompeuses, dans les environnements numériques et physiques lors d’une épidémie de maladie »).

Un autre de ces documents, intitulé « WHO’s work in health emergencies », décrit les plans de l’OMS visant à étendre le programme One Health dans le cadre d’un plan quinquennal entre 2022 et 2026.

Dans un document intitulé « Mise en œuvre de la résolution WHA75.11 (2022) », l’OMS note qu’elle « continue de soutenir la riposte à la maladie à coronavirus (COVID-19) en renforçant la surveillance ».

Alors qu’elle cherche à obtenir des pouvoirs accrus, l’OMS a également exigé que les États membres, dont beaucoup connaissent des conditions économiques difficiles chez eux, fournissent des centaines de millions de dollars de financement supplémentaire à cette agence de santé non élue.

Les États membres se sont pliés à ces exigences en acceptant de verser 20 % de plus à l’OMS en 2024-2025 lors de la soixante-seizième Assemblée mondiale de la santé. Les États membres doivent déjà verser à l’OMS plus de 950 millions de dollars de cotisations pour 2022-2023, de sorte que cette augmentation de 20 % représente une hausse de près de 200 millions de dollars. En outre, les États membres ont déjà versé plus de 270 millions de dollars en contributions volontaires pour 2020-2021.

Bien que la version actuelle du traité sur les pandémies ne prévoie pas de budget spécifique pour la mise en œuvre du traité, elle exige des États membres de l’OMS qu’ils mettent en place des mécanismes de financement pour soutenir la mise en œuvre du traité. Les versions précédentes du traité proposaient que les États membres de l’OMS versent des milliards de dollars supplémentaires par an à divers projets.

L’OMS a l’intention de finaliser le traité sur les pandémies et les amendements au RSI d’ici mai 2024.

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Le coprésident du groupe de l’OMS appelle à « donner la priorité aux actions susceptibles de restreindre les libertés individuelles »

Publié 2 juin 2023 · Mis à jour 1 juin 2023

L’agence de santé non élue s’empare à nouveau du pouvoir lors des négociations du traité sur la pandémie.

Lors d’une réunion qui s’est tenue la semaine dernière, un coprésident d’un groupe de travail de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) chargé d’étudier les amendements au droit international visant à accroître les pouvoirs de l’OMS a franchi une étape supplémentaire en exhortant les membres à donner la priorité aux « actions susceptibles de restreindre les libertés individuelles ».

Le coprésident du groupe de travail de l’OMS sur les amendements au Règlement sanitaire international (2005), le Dr Abdullah Assiri, a fait ces commentaires lors d’une table ronde stratégique organisée dans le cadre de la soixante-seizième Assemblée mondiale de la santé (réunion annuelle de l’organe décisionnel de l’OMS).

Au cours de cette table ronde stratégique, les membres de l’OMS ont discuté du traité international sur les pandémies et des amendements au Règlement sanitaire international – deux instruments qui, ensemble, étendront les pouvoirs de l’OMS en matière de lutte contre la « désinformation », renforceront ses pouvoirs de surveillance et favoriseront la mise en place de passeports vaccinaux mondiaux.

M. Assiri a fait le point sur les progrès réalisés par l’OMS en ce qui concerne les amendements au RSI avant de suggérer que les libertés individuelles devraient être restreintes par cette agence de santé non élue.

« Toutefois, le monde a besoin de différents mandats juridiques, tels que le traité sur les pandémies, pour naviguer à travers une pandémie particulière, si elle se produit, et elle se produira », a déclaré M. Assiri. « La hiérarchisation des actions susceptibles de restreindre les libertés individuelles, l’obligation et le partage des informations, des connaissances et des ressources et, surtout, le financement des efforts de lutte contre la pandémie sont autant d’éléments nécessaires en cas de pandémie. Les moyens de mener à bien ces actions ne sont tout simplement pas disponibles à l’heure actuelle. »

Bien que les nouveaux pouvoirs étendus contenus dans le traité sur la pandémie et les amendements au RSI restreignent les libertés individuelles, telles que la vie privée et la liberté d’expression, les responsables de l’OMS se sont abstenus jusqu’à présent de l’admettre directement.

Les commentaires de M. Assiri sont le dernier exemple en date des nombreux cas où l’OMS continue de réclamer davantage de pouvoirs, alors que l’agence de santé non élue a déjà acquis une influence considérable au cours de la pandémie.

Depuis 2020, l’OMS s’est associée à YouTube, Facebook et Wikipédia et a eu un impact direct sur les règles d’expression sur ces plateformes. Google a renouvelé son partenariat avec l’OMS le mois dernier.

Bien qu’elle ait déjà une grande influence sur le discours en ligne, l’OMS a cherché à obtenir encore plus de pouvoir en 2021 (lorsque les travaux sur le traité international sur les pandémies ont commencé) et en 2022 (lorsque l’administration Biden a proposé des amendements au RSI).

La prise de pouvoir de l’OMS s’est heurtée à la résistance des responsables politiques aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en Australie et en Europe. L’OMS prévoit de finaliser le traité sur les pandémies et les amendements au RSI d’ici mai 2024.

S’il est adopté, le traité sur la pandémie s’appliquera aux 194 États membres de l’OMS (qui représentent 98 % des pays du monde) et les amendements au RSI s’appliqueront à 196 pays. Ces deux instruments sont juridiquement contraignants en vertu du droit international.

Lire aussi : Les sénateurs australiens refusent d’examiner le traité de l’OMS sur les pandémies

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Les sénateurs australiens refusent d’examiner le traité de l’OMS sur les pandémies

Publié 31 mars 2023 · Mis à jour 30 mars 2023

Les travaillistes et les verts ont voté contre les efforts visant à examiner le traité controversé.

La motion d’un sénateur australien visant à ouvrir une enquête sur le traité international controversé de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les pandémies a été bloquée après que les travaillistes et les verts ont voté contre.

Le traité, qui sera juridiquement contraignant en vertu du droit international, élargira les pouvoirs de surveillance de l’OMS, permettra à l’agence mondiale de santé non élue de cibler la “désinformation”, et plus encore. La prochaine étape des discussions sur le traité débutera la semaine prochaine.

La motion, présentée par le sénateur Malcolm Roberts, demande que le traité international de l’OMS sur les pandémies soit renvoyé à la commission des affaires étrangères, de la défense et des références commerciales pour enquête.

De nombreux législateurs ont soutenu la motion et ont critiqué le traité sur la pandémie au cours d’un débat.

Le sénateur Roberts a accusé le directeur général de l’OMS de “tromper le public sur ce que fait l’OMS avec le traité sur les pandémies”.

Le sénateur Ralph Babet a mis en garde contre le “pouvoir sans cesse croissant de l’OMS” et a fustigé ceux qui ont rejeté les critiques du traité sur les pandémies en les qualifiant de “théorie du complot”.

Le sénateur Geraard Rennick a déclaré que l’Australie risquait d’être influencée par les “vibrations” de l’OMS si le traité était adopté et a rappelé que l’Australie “suivait religieusement les ordres ou les proclamations de l’OMS sans se poser de questions” pendant la pandémie de grippe aviaire de 19 ans.

Le sénateur Alex Antic a souligné la censure massive qui a eu lieu pendant la pandémie de Covid-19 et a critiqué la façon dont les gens ont été qualifiés de “théoriciens du complot” s’ils allaient à l’encontre du discours de l’establishment sur la Covid.

« Tous ceux qui ont défié l’avis prétendument expert de l’OMS, y compris d’imminents professionnels de la santé, ont été censurés et vilipendés par les médias et les grandes entreprises technologiques, à la demande du gouvernement et de ces organisations. De nombreux professionnels de la santé australiens ont été suspendus pour avoir contredit la position de l’OMS sur les vaccins Covid-19. Leurs prédictions et observations se sont révélées exactes et nous verrons comment ce discours évolue peu à peu. »

Le sénateur Matthew Canavan a déclaré que l’Australie “devrait se retirer de l’Organisation mondiale de la santé en raison de sa négligence dans la gestion du coronavirus” et a souligné plusieurs faux pas de l’agence sanitaire non élue au cours de la pandémie.

Cependant, plusieurs sénateurs se sont opposés à la motion et ont fait l’éloge de l’OMS.

« C’est en fait une bonne chose », a déclaré la sénatrice Dorinda Cox à propos du traité. « Il est important que nous tirions les leçons des réactions des gouvernements du monde entier afin de pouvoir faire mieux la prochaine fois. »

Le sénateur David Shoebridge a affirmé que les critiques à l’encontre du traité de l’OMS sur les pandémies relevaient de la “désinformation” poussée par un “club de conspiration”.

Malgré le soutien de plusieurs sénateurs, la motion a été rejetée par deux voix, les travaillistes et les verts ayant voté contre.

Vous pouvez suivre l’intégralité du débat sur cette motion ici.

Il s’agit de l’une des nombreuses initiatives récentes visant à mettre en lumière le traité de l’OMS sur les pandémies, dont la portée est considérable. Le sénateur américain Ron Johnson a récemment introduit un amendement visant à exiger la ratification par le Sénat de tout accord sur les pandémies conclu avec l’OMS. Toutefois, la tentative de M. Johnson d’examiner le traité de près a également été rejetée.

Lire aussi : L’OMS publie le projet de traité international sur la pandémie, qui cible la « désinformation » et la « mésinformation »

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L’OMS publie le projet de traité international sur la pandémie, qui cible la « désinformation » et la « mésinformation »

4 février 2023

L’agence mondiale de la santé, non élue, obtiendra de nouveaux pouvoirs de censure juridiquement contraignants si le traité est adopté.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment publié une version préliminaire de son traité international sur les pandémies, qui donnera à l’agence mondiale de la santé, non élue, de nouveaux pouvoirs pour “s’attaquer” à tout ce qu’elle considère comme “faux, trompeur, mésinformé ou désinformé” s’il est adopté.

L’OMS fait pression en faveur de ce traité depuis décembre 2021 et ceux qui le rédigent ont l’intention de présenter un rapport final à l’Assemblée mondiale de la santé (AMS), l’organe décisionnel de l’OMS, en mai 2024.

S’il est adopté, le traité sera juridiquement contraignant en vertu du droit international et les 194 États membres de l’OMS (qui représentent 98 % de l’ensemble des pays du monde) seront tenus de se conformer aux exigences du traité en matière de lutte contre la désinformation.

Le projet zéro est similaire aux versions précédentes du traité et les dispositions relatives à la désinformation sont décrites à l’article 17 (“Renforcement des connaissances en matière de pandémie et de santé publique”).

Cette section du traité appelle les États membres à “s’attaquer aux informations fausses, trompeuses, erronées ou désinformées, y compris par la promotion de la coopération internationale”.

Elle invite également les États membres à gérer l’“infodémie”, un terme inventé par l’OMS qui désigne “l’excès d’informations, y compris les informations fausses ou trompeuses, dans les environnements numériques et physiques pendant une épidémie”. Plus précisément, les États membres sont invités à gérer ces “infodémies” “par des canaux efficaces, y compris les médias sociaux”.

La portée de ce traité s’étend également au-delà de la base des membres de l’OMS. L’article 16 (“Approches pangouvernementales et sociétales au niveau national”) invite les États membres à collaborer avec les acteurs non étatiques et le secteur privé dans le cadre d’une “réponse de l’ensemble de la société en matière de prise de décision, de mise en œuvre, de suivi et d’évaluation, ainsi que de mécanismes de retour d’information efficaces”.

Nous avons obtenu une copie du projet zéro du traité de l’OMS sur la pandémie pour vous ici.

Comme toute tentative de censurer un contenu considéré comme de la désinformation, ce traité sur la pandémie soulève des questions sur la manière dont ces soi-disant autorités décideront de ce qu’est la désinformation. Les experts commencent maintenant à admettre que de nombreuses affirmations qui étaient autrefois présentées comme vraies par les autorités, telles que l’affirmation selon laquelle les vaccins Covid préviendraient l’infection, sont fausses.

Ces questions sont particulièrement pertinentes dans le cas présent, car l’OMS est tristement célèbre pour avoir publié un tweet trompeur aux premiers stades de la pandémie, qui amplifiait les affirmations des autorités chinoises selon lesquelles il n’y avait “aucune preuve évidente de transmission interhumaine” du coronavirus.

L’OMS a publié cette version zéro du traité international sur la pandémie lors de la 152e réunion de son conseil exécutif qui a débuté le 30 janvier et se terminera le 7 février.

S’il est adopté, le traité international sur la pandémie sera adopté en vertu de l’article 19 de la Constitution de l’OMS. Cet article permet à l’AMS d’imposer des conventions juridiquement contraignantes aux États membres de l’OMS par un vote à la majorité des deux tiers.

En général, les élus votent sur les lois qui s’appliquent à leur pays, mais avec ce processus législatif de l’OMS, une poignée de représentants mondiaux décident des règles qui s’appliquent à tous les pays. Même si un tiers des États membres de l’OMS votent contre le traité international sur les pandémies, celui-ci s’appliquera quand même à leur pays en vertu du droit international.

En plus de limiter le pouvoir des politiciens de décider des lois qui s’appliquent à leur pays, ce processus limite également la capacité des citoyens à demander des comptes aux politiciens dans les urnes. Les représentants des États membres de l’OMS sont pour la plupart des diplomates non élus qui restent à leur poste quels que soient les changements de gouvernement. Et la majorité des votes déterminant si une loi internationale s’applique à un pays donné sont émis par des représentants d’autres nations.

Le traité international sur les pandémies bénéficie du soutien de nombreux pays démocratiques, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Conseil européen (qui représente les 27 États membres de l’Union européenne), malgré le processus législatif non démocratique de l’OMS.

La publication de ce projet zéro de traité international sur les pandémies intervient quelques jours après que l’OMS a déclaré qu’il fallait s’attaquer à la désinformation. L’OMS a également diffusé récemment une vidéo affirmant que le “militantisme anti-vaccin” est plus meurtrier que le “terrorisme mondial”.

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Le Forum économique mondial déclare que la « désinformation » est l’un des principaux « risques mondiaux »

17 janvier 2023

Le groupe pro-censure a publié un nouveau rapport à l’occasion de son événement annuel.

Le Forum économique mondial (FEM) a publié un rapport citant, dans le cadre de sa réunion annuelle, la “désinformation et l’information erronée” parmi les principaux “risques” mondiaux dans un rapport couvrant la période des deux prochaines années et de la prochaine décennie.

De nos jours, les concepts de “désinformation” et de “mésinformation”, mal ou pas du tout définis, sont souvent utilisés par les gouvernements et les médias (sociaux) qu’ils influencent, comme une excuse universelle pour censurer l’information et étouffer la liberté d’expression.

Mais dans le discours des élites réunies par le FEM, la “désinformation” est au même niveau que la crainte d’un conflit mondial, d’une inflation incontrôlée, de la sécurité alimentaire et d’autres calamités réelles qui pourraient s’abattre sur le monde dans les années à venir.

Et maintenant – que l’on soit d’accord ou non avec la vision de la planète du FEM, telle qu’elle est exposée dans le “Global Risks Report 2023” – où le “changement climatique” et les “actions” liées à cette théorie jouent également un rôle très important – ce qui est vraiment intéressant, c’est de voir ce que le FEM pense qu’il faut faire face à ce qu’il identifie comme des problèmes clés.

Le rapport du FEM indique que la technologie va en fait “exacerber les inégalités”, tandis que l’angle “cybersécurité” reste une grande préoccupation.

L’avenir, tel que prévu par le groupe, voit la technologie comme l’une des cibles centrales de l’intervention de l’État et de ce qu’il appelle des “politiques industrielles plus fortes”.

N’ayant jamais peur de lancer des mots à la mode dans ses articles, le FEM mentionne des choses comme l’“IA” et l’“informatique quantique” – ainsi que la biotechnologie – comme des secteurs qui devraient se développer grâce à l’argent investi par l’État (c’est-à-dire l’armée) et le secteur privé dans la recherche et le développement.

L’avenir dystopique effrayant dans lequel l’IA, la biotechnologie et l’“informatique quantique” gagnent en importance et dans lequel de plus en plus d’argent est investi est décrit dans le rapport comme une “solution partielle à toute une série de crises émergentes, qu’il s’agisse de faire face à de nouvelles menaces pour la santé et à une pénurie de capacités de soins de santé, de renforcer la sécurité alimentaire ou d’atténuer les effets du changement climatique”.

Mais cela ne sera vrai que pour les pays capables de dépenser de l’argent pour faire face aux “risques” futurs – les autres, c’est-à-dire les pays pauvres dont la souveraineté est mal définie, peuvent s’attendre à encore plus d’inégalités.

Il semblerait toutefois que le FEM ne considère pas cela comme un point négatif en soi. Cette partie du rapport note ensuite que ces technologies comportent “également” des risques, qui vont de “l’aggravation de la désinformation et de l’information erronée à une évolution rapide et ingérable des emplois de cols bleus et blancs”.

Lire aussi : Le FEM publie un article, développé par une coalition de Big-Tech, sur la lutte contre la « désinformation » et plus

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PRÉPAREZ-VOUS A UNE MALADIE ENCORE PLUS MEURTRIÈRE QUE LE COVID, LE SIGNAL D’ALARME DE L’OMS

épidémie

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Amandine Zirah le 23 mai 2023

Ses propos ont de quoi en faire frissonner plus d’un. Selon Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS, le monde s’apprête à faire face à une épidémie bien pire que le Covid.

Personne n’oubliera jamais le Covid, cette très longue période d’incertitude où le monde était à l’arrêt total. Un phénomène qui pourrait malheureusement se reproduire avec des conséquences bien plus graves, à en croire le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le patron de l’Organisation mondiale de la santé. Alors qu’il dévoilait un nouveau programme mondial pour repérer et suivre les agents pathogènes les plus dangereux, il a tenu des propos inquiétants, relayés par le Daily mail.

Selon lui, la menace d’une autre crise de santé publique ne peut être écartée “sur la route”. Et bien qu’il ait affirmé que les jours les plus sombres de la pandémie soient relégués à l’histoire, une variante apocalyptique de Covid pourrait bien apparaître dans les années à venir. “La menace d’une autre variante émergente qui provoque de nouvelles poussées de maladies et de décès demeure. Et la menace d’un autre agent pathogène émergeant avec un potentiel encore plus mortel est également bien présente”, a-t-il déclaré.

“Aucune maladie spécifique n’a été mentionnée”

Concrètement, aucune maladie spécifique n’a été mentionnée. Mais la “maladie X” (un espace réservé donné à un agent pathogène dévastateur non encore découvert) figure sur la liste des menaces urgentes de l’agence des Nations Unies. Parmi les autres, on retrouve notamment le Covid ainsi que la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, une maladie transmise par les tiques qui tue 30% des personnes qu’elle hospitalise.

Ebola, qui tue environ la moitié des personnes qu’il infecte, en est une autre. Il provoque des vomissements, de la diarrhée, une éruption cutanée, un jaunissement de la peau et des yeux et des saignements par plusieurs orifices, notamment les yeux, les oreilles et la bouche. Dans la liste figurent également Marburg, l’un des agents pathogènes les plus meurtriers jamais découverts, avec un taux de létalité de 88%. Il provoque des symptômes similaires à Ebola.

Enfin, on retrouve la fièvre de Lassa, bénigne ou asymptomatique dans 80% des cas. Elle tue environ 1 à 3% des personnes qu’elle infecte et est endémique dans certaines parties de l’Afrique de l’Ouest. “Lorsque la prochaine pandémie viendra frapper à la porte et elle le fera, nous devons être prêts à répondre de manière décisive, collective et équitable”, a-t-il conclu.

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L’OMS bénéficie d’une augmentation de 20 % de son budget pour lutter contre la “maladie X” et les “urgences de toutes sortes”.

La 76e Assemblée mondiale de la santé de l’Organisation mondiale de la santé s’est achevée la semaine dernière après avoir approuvé une augmentation de 20 % du budget pour lutter contre les « pandémies alimentées par le changement climatique » et les « urgences de toutes sortes ».

La 76e Assemblée mondiale de la santé (AMS) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est achevée la semaine dernière sans que les membres ne parviennent à un accord final sur le traité relatif aux pandémies ou sur les amendements au règlement sanitaire international (RSI).

Toutefois, des développements importants ont eu lieu, notamment :

  • Approbation par les États membres d’une forte augmentation du budget de l’OMS.
  • Le lancement de nouvelles initiatives de collecte de fonds.
  • Avertissements concernant une future pandémie ou une nouvelle “maladie X” mortelle.
  • Une nouvelle collaboration entre l’OMS et la Fondation Rockefeller pour promouvoir de nouveaux vaccins.

Ces nouveaux développements s’ajoutent à ceux dont le Defender a rendu compte la semaine dernière, notamment la publication du texte d’un nouveau bureau sur le projet de traité relatif à la pandémie et de nouvelles propositions visant à limiter la liberté d’expression et les libertés individuelles.

Les pandémies se multiplient, mais elles ne sont pas la seule menace, selon l’OMS

S’adressant à l’Assemblée mondiale de la santé le 22 mai, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que sa récente déclaration visant à mettre fin au COVID-19 en tant qu’urgence sanitaire mondiale ne signifiait pas “la fin du COVID-19 en tant que menace sanitaire mondiale”.

M. Tedros a déclaré aux États membres de l’Assemblée mondiale de la santé :

“La menace de l’apparition d’une autre variante provoquant de nouvelles vagues de maladies et de décès demeure. Et la menace de l’émergence d’un autre agent pathogène au potentiel encore plus meurtrier demeure… Lorsque la prochaine pandémie frappera à la porte – et elle le fera – nous devons être prêts à y répondre de manière décisive, collective et équitable.

Les futures pandémies ne sont pas la seule menace à laquelle l’humanité est confrontée ou à laquelle l’OMS doit être prête à répondre, a déclaré M. Tedros.

“Les pandémies sont loin d’être la seule menace à laquelle nous sommes confrontés”, a-t-il déclaré. “Dans un monde où les crises se chevauchent et convergent, une architecture efficace pour la préparation et la réponse aux urgences sanitaires doit prendre en compte les urgences de toutes sortes.

Cette déclaration intervient alors que l’Assemblée générale des Nations unies discute de son programme d’action. L’initiative “Préparation, prévention et réponse aux pandémies “, qui permettra au secrétaire général de l’ONU de répondre rapidement aux “chocs mondiaux” liés aux pandémies, au climat, à la guerre biologique, aux perturbations du cyberespace ou de la chaîne d’approvisionnement, à un “événement dans l’espace” ou à un “événement imprévu”, est une initiative de la Commission européenne. un événement de type “cygne noir“.

M.Tedros a utilisé cette menace pour exhorter les États membres de l’OMS à mener à bien les négociations concernant le traité sur les pandémies et les amendements au RSI, “afin que le monde n’ait plus jamais à faire face à la dévastation d’une pandémie comme celle du COVID-19”.

“Nous ne pouvons pas laisser traîner les choses”, a-t-il déclaré. “Si nous ne procédons pas aux changements qui s’imposent, qui le fera ? Et si nous ne les faisons pas maintenant, quand le ferons-nous ?”.

M.Tedros ne semble pas avoir utilisé l’expression nommément lorsqu’il s’est adressé à l’Assemblée mondiale de la santé, mais plusieurs articles de presse ont fait référence à la “maladie X“, nom générique utilisé par l’OMS pour désigner une maladie actuellement inconnue ou qui n’existe pas, mais qui pourrait avoir des effets dévastateurs sur l’humanité.

La “maladie X”, qui figure sur la liste de l’OMS des “maladies prioritaires” susceptibles de provoquer la prochaine pandémie, n’est pas un concept nouveau – elle a été nommée pour la première fois en 2018 par le Dr Richard Hatchett de la Coalition for Epidemic Preparedness (Coalition pour la préparation aux épidémies). Selon le New York Post, M. Hatchett a déclaré : “Ce n’est pas de la science-fiction. C’est un scénario auquel nous devons nous préparer. Il s ‘agit de la maladie X“.

Le budget de 6,83 milliards de dollars comprend une “augmentation historique de 20 %”.

L’Assemblée mondiale de la santé a approuvé une augmentation de 20 % du budget de l’OMS, ainsi que le lancement d’une nouvelle initiative de “reconstitution des ressources” visant à collecter davantage de fonds pour l’agence.

Selon Dr. David Bellmédecin spécialiste de la santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale au sein du fonds Intellectual Ventures Global Good, l’approbation d’autres fonds “illustre le fait que la santé mondiale en tant que discipline a complètement perdu le fil et a été prise en charge par des personnes intéressées par le profit”.

Le 22 mai, les États membres de l’OMS se sont mis d’accord sur un budget de 6,83 milliards de dollars pour l’OMS en 2024-2025, incluant ” une augmentation historique de 20 % des contributions obligatoires (ou cotisations). ” Les États membres contribueront à hauteur de 1,15 milliard de dollars par le biais de leurs cotisations, tandis que 5,69 milliards de dollars supplémentaires proviendront des “contributions volontaires” des “États membres et autres contributeurs”.

Les priorités budgétaires pour la période 2024-2025 comprennent l’extension de la couverture sanitaire universelle, la protection contre les urgences sanitaires et la promotion d’une “meilleure santé et d’un meilleur bien-être” pour “un milliard de personnes supplémentaires”, en plus d’un “soutien plus efficace et efficient de l’OMS aux pays”, de l’éradication de la poliomyélite, des “programmes spéciaux” et des “opérations d’urgence”.

Selon le journaliste indépendant James Roguski, l’OMS a dépensé deux fois plus en salaires (1,164 milliard de dollars) qu’en fournitures et matériels médicaux (551 millions de dollars) en 2022, ce qui ne représente que 13 % des dépenses.

L’analyse financière de l’OMS réalisée par M. Roguski indique que l’année dernière, l’agence disposait d’un actif net de 5,02 milliards de dollars, d’un revenu de 4,354 milliards de dollars et d’un excédent net de 506 millions de dollars. Les contributions volontaires des donateurs représentent 84 % de ses recettes, tandis que les États membres ont versé 496 millions de dollars de contributions obligatoires, soit moins que l’excédent net.

Si seulement 13 % des dépenses ont été consacrées aux fournitures et matériels médicaux, 30 % ont été consacrés aux salaires (avec une moyenne de 120 000 dollars par employé) et près de 35 % ont été consacrés aux “services contractuels”. En outre, 161 millions de dollars ont été dépensés en “frais de voyage” en 2022.

“Les États-Unis ont fait don de 739 millions de dollars supplémentaires en plus de leur contribution obligatoire”, a déclaré M. Roguski.

Malgré l’augmentation des contributions des États membres, l’OMS met également en place un “mécanisme de reconstitution” afin de collecter davantage de fonds auprès d’acteurs privés.

Le mécanisme de reconstitution “sera conçu pour accroître la prévisibilité du financement de l’OMS en encourageant les engagements pluriannuels”, a déclaré l’OMS. Il attirera également de nouveaux donateurs et “renforcera le soutien politique en faveur du financement intégral du segment de base du budget-programme de l’OMS grâce à un processus d’engagement inclusif d’une durée d’un an qui aboutira à un événement de financement à haute visibilité”.

L’AMS a approuvé la proposition de mécanisme de reconstitution, et plusieurs “cycles d’investissement” devraient suivre à partir de 2024. Pour rendre cette opportunité attrayante pour les investisseurs, l’OMS a déclaré qu’il y avait un “rendement de 35 dollars pour chaque dollar investi dans l’OMS“.

Tedros encourage l’augmentation du nombre de vaccins et fait l’éloge de Gates et de Gavi

Lors de son discours d’ouverture à l’Assemblée mondiale de la santé le 21 mai, M. Tedros a souligné à plusieurs reprises l’importance d’étendre la couverture vaccinale dans le monde et de promouvoir de nouveaux vaccins, tout en notant un recul mondial de la couverture vaccinale COVID-19 et DTP [diphtérie, tétanos, coqueluche], qu’il a imputé aux “anti-vaxxistes”.

M. Tedros a également encouragé l’utilisation de nouveaux vaccins contre la tuberculose, le paludisme et le papillomavirus humain (HPV), en particulier dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.

Dans son discours d’ouverture, M. Tedros a remercié Gavi, l’Alliance du Vaccin, en déclarant que “depuis plus de 20 ans, des millions d’enfants du monde entier bénéficient des avantages des vaccins grâce au travail de Gavi, l’Alliance du Vaccin”, y compris l’introduction de “nouveaux vaccins contre le cancer du col de l’utérus, le paludisme, la pneumonie, la méningite, la polio, et ont atteint l’étape incroyable de la vaccination d’un milliard d’enfants”.

Gavi, qui affirme contribuer à la vaccination de près de la moitié des enfants du monde contre des maladies infectieuses mortelles et débilitantes, a été créé en 1999, la Fondation Gates étant l’un de ses cofondateurs et membres permanents de son conseil d’administration. Elle entretient un partenariat essentiel avec l’OMS, l’UNICEF et la Banque mondiale.

M. Tedros a également profité de l’occasion pour promouvoir les vaccins COVID-19 et le centre d’ARNm de l’OMS, qui sera lancé en Afrique du Sud en 2021. Il a déclaré que ce centre s’inscrivait dans le cadre de notre engagement à renforcer la production locale et à améliorer la préparation et la réponse aux pandémies à l’échelle mondiale :

“Le centre a commencé à transférer des technologies à des fabricants de 15 pays, avec le soutien du centre de formation à la bioproduction de la République de Corée, qui a formé 300 personnes dans des pays à revenu faible ou intermédiaire.

“Le programme de transfert de technologie de l’ARNm est extrêmement prometteur, non seulement pour les vaccins contre le COVID-19, mais aussi pour d’autres maladies comme le VIH, la tuberculose, le paludisme et bien d’autres encore.

M. Tedros a fait le lien entre toutes ces questions et les objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, exhortant les pays à “accélérer le rythme des progrès” dans la réalisation des objectifs des ODD liés à la santé.

“La pandémie nous a fait dévier de notre trajectoire, mais elle nous a montré pourquoi les OMD doivent rester notre étoile polaire et pourquoi nous devons les poursuivre avec la même urgence et la même détermination que celles avec lesquelles nous avons combattu la pandémie”, a-t-il déclaré.

Nouveau partenariat avec la Fondation Rockefeller pour lutter contre les “pandémies alimentées par le changement climatique”.

L’AMS de cette année a également vu l’annonce d’un nouveau partenariat entre l’OMS et la Fondation Rockefeller “pour renforcer le centre de l’OMS pour le renseignement sur les pandémies et les épidémies”.

Annoncé le 23 mai, cet investissement de 5 millions de dollars “permettra d’accélérer les projets prioritaires du Centre de l’OMS pour le renseignement sur les pandémies et les épidémies afin de stimuler la collaboration mondiale en matière de surveillance génomique, d’adoption d’outils de données pour la détection des agents pathogènes et d’évaluation des menaces d’épidémies aggravées par le climat”.

Il s’agira notamment de cultiver des “réseaux mondiaux de détection des agents pathogènes et de renforcer les capacités de préparation aux pandémies, notamment en élargissant la surveillance des maladies aggravées par la hausse des températures et les conditions météorologiques extrêmes”, ainsi que de “renforcer les capacités mondiales de surveillance génomique” et d’”améliorer la détection des épidémies”.

Le Dr Chikwe Ihekweazu, sous-directeur général de l’OMS et chef du centre de l’OMS pour les renseignements sur les pandémies et les épidémies, a déclaré :

“La pandémie de COVID-19 a montré que la surveillance des maladies, la collaboration entre les parties prenantes et le partage des données étaient des ingrédients absolument essentiels pour la sécurité sanitaire – et la communauté mondiale n’était pas préparée.

Rajiv Shah, président de la Fondation Rockefeller, a quant à lui déclaré que “le changement climatique augmente à la fois le risque d’une nouvelle pandémie mondiale et la nécessité de collaborer et de partager les données”, ajoutant que “nous sommes fiers de nous associer au Hub pour élargir son champ d’action à la prévention des pandémies alimentées par le changement climatique”.

Le 24 mai, M. Tedros a annoncé une autre initiative liée au changement climatique. S’exprimant lors d’une séance d’information technique sur le climat et la santé dans le cadre de l’AMS, il a déclaré que la Conférence des parties des Nations unies sur le climat (COP28), qui se tiendra cette année à Dubaï entre le 30 novembre et le 12 décembre, inclura dans son calendrier une journée entière consacrée à la santé et au changement climatique.

S’exprimant par vidéo lors de la même réunion, l’envoyé spécial du président américain sur le changement climatique, John Kerry, a déclaré que “la crise climatique tue des gens” et a parlé d’une “bataille” dans laquelle “nous perdons beaucoup plus de vies chaque année que nous n’en avons perdu lors de l’Holocauste et de la Seconde Guerre mondiale”.

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ALERTE : OMS et Fausse Pandémie !

Il n’y a plus de doute, la nouvelle offensive de l’OMS est déclenchée. En prévision d’une déclaration prochaine pour une nouvelle fausse pandémie, il était nécessaire de neutraliser les trouble-fête désormais identifiés à l’occasion de la première fausse pandémie à but essentiellement génocidaire. La chasse aux sorciers et aux sorcières était officiellement ouverte contre les Pr Didier Raoult, les Alexandra Henrion-Caude, les Pr Christian Perronne, les Dr Louis Fouché, les Dr Nicole et Gérard Delépine, les Jean-Marc Sabatier, les Pierre Chaillot, les Michel Jean-Dominique et tous les autres qui ont été la voix de l’honnêteté médicale et scientifique.  

Des cohortes de fonctionnaires disciplinés et nécessairement décérébrés allaient ainsi débarquer à l’IHU de Marseille avec tambours et trompettes pour une « perquisition » spectaculaire à grand renfort de propagandes sur les médias inféodés au système. Il fallait d’urgence traîner dans la boue, la réputation du Pr Didier Raoult, déployer à tout prix la diffamation, décrédibiliser pour de bon la parole dissidente de ce scientifique et de tous ceux qui le soutiennent, car la proclamation imminente d’une nouvelle fausse pandémie devait obtenir cette fois-ci le résultat escompté. 

Pour le programme génocidaire de l’OMS, il n’était plus acceptable que des gens comme Didier Raoult puissent encore avoir le droit à la parole et qu’ils puissent une nouvelle fois être à l’origine d’une résistance qui a empêché les salauds, les ordures et les pervers au pouvoir, d’obtenir ce qu’ils voulaient : un génocide suffisant, satisfaisant, efficace sur les populations maintenues dans un dressage et la croyance au narratif innocent de l’Agenda 2030 (programme pour la dépopulation)…

Et voilà déjà le résultat tant attendu : un média espagnol La Vanguardia Internacional, par Eusebio Val du 31 mai 2023, écrit :

«  … un médico, Didier Raoult, acabó convirtiéndose en una caricatura del peor populismo sanitario, un charlatán con bata blanca. Su remedio aparentemente mágico contra el coronavirus no funcionó y quedó totalmente desacreditado…” (« …un médecin, Didier Raoult, a fini par devenir la caricature du pire populisme sanitaire, un charlatan en blouse blanche. Son remède apparemment magique contre le coronavirus n’a pas fonctionné et il a été totalement discrédité… », traduit par DeepL)

Il existe actuellement la possibilité de consulter plus de trois cents études sur l’utilisation de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine à travers le monde et qui arrivent au même résultat que celui de Didier Raoult ! Mais, qu’à cela ne tienne, ce n’est pas grave, les pervers au pouvoir contrôlant tous les médias autorisés à diffuser, et censurant tous les résistants, imposent leur narratif mensonger en toute impunité : le Pr Didier Raoult est tout bonnement un « charlatan » ! La diffamation est sans scrupule, puisque les tribunaux sont eux aussi entre les mains des ordures, des salauds et des pervers au pouvoir ! 

Les criminels ont tous les droits ; la voie est libre pour eux ; ils peuvent de manière totalitaire décréter le bien et le mal, la vérité et le mensonge, le scientifique et le charlatan ! On en est là en Occident. D’ailleurs, entre parenthèse, tous ceux qui tiennent ce discours de salaud sur les scientifiques qui ont osé rester honnêtes, sont les mêmes qui accablent les Russes et défendent les Ukro-nazis en leur fournissant des milliards et des armes sans la moindre approbation des peuples priés de la fermer et de bêler en cœur leur servitude volontaire !

L’Espagne n’est pas en reste : on sait que plus de 95% de la population s’est soumise aux injections à ARNm graphénisées et de ce fait est devenue sans doute le premier pays européen des « borregos et des cobardes »… (les moutons et les lâches)

Ainsi, la diffamation circule joyeusement sur toute l’Union Européenne ; le travail de sabotage est parfait ; il y a assez de crétins en Espagne et ailleurs pour relayer stupidement cette désinformation criminelle ; le terrain est soigneusement préparé pour l’étape suivante ; les « borregos » étant persuadés que les loups sont innocents, ceux-ci les mènent sans résistance dans les verts pâturages alors que tous les panneaux indiquent sur le chemin la direction de l’abattoir !

Pourquoi cette scrupuleuse préparation du terrain par l’élimination des empêcheurs de tuer tranquillement les braves gens avant la nouvelle et prochaine déclaration de fausse pandémie ?

Parce qu’il est impératif de savoir que l’OMS a été créée en 1948 par Rockfeller qui voulait contrôler la population mondiale par le moyen de la santé. Il estimait avec d’autres membres de « l’élite » financière, que la population humaine était trop nombreuse sur Terre, il fallait organiser le moyen de la réduire via un eugénisme méticuleusement élaboré.

L’OMS a donc été créée essentiellement pour être l’organisation d’un génocide programmé ne visant bien entendu que les populations des « inutiles », la masse populaire qui se révolte et qui conteste en posant problème à la caste des profiteurs d’en haut et qui ont été appelés par Laurent Alexandre, le 11 février 2019, les « substituables », « inutiles »…

Puis, l’OMS a été intégrée par rachat à l’ONU, avec l’idée de poser ainsi les bases du Nouvel Ordre Mondial.

Dans les années 1950, Rockfeller également maître de la Standard Oil, estimait que les plantes devaient être abandonnées pour la concoction des médicaments et que désormais, l’industrie pharmaceutique se lancerait dans la fabrication industrielle des médicaments à partir de produits pétrochimiques… L’OMS devenait de facto le grand promoteur de l’industrie pharmaceutique.

Aujourd’hui, l’OMS reste essentiellement financée par le secteur privé et en particulier par la Fondation Bill et Melinda Gates.

Le financement de l’OMS / T.T.C. (Toutes taxes comprises) / 6 min. / le 29 mai 2017

Source : rts.ch

Le conflit d’intérêt est évident et massif, pourtant l’OMS fait partie de l’ONU ! C’est une contradiction que les pays membres de l’ONU ne devraient pas tolérer, cette situation anachronique entraînant avec elle des conséquences criminelles contraires aux intérêts des Nations Unies.

Le programme original de l’OMS n’a pas changé : son but est d’abord et avant tout le génocide organisé de la masse des classes populaires. Si l’on veut des preuves de cela, rien de plus simple, puisque, sans scrupules et persuadés du bien fondé de cette vision des choses, les décideurs de l’OMS se sont de multiples fois exprimés sur la question en allant même jusqu’à écrire soigneusement les détails de leur programme, noir sur blanc… (Cf., article dans mondialisation.ca du 21 mai 2023, par Peter Koenig et les références aux différentes sources.)

Via les services rendus par NewsGuard, l’IFCN, la NED, la Fondation Bill et Melinda Gates, la Soros Open Society Foundation, Google et Facebook, l’OMS contrôle absolument toute l’information existante sur le thème de la santé ! Grâce à cela, elle fait bloquer tous ceux qui sont traités de « complotistes » ou de lanceurs d’alerte, les scientifiques honnêtes, non corrompus par les conflits d’intérêts, bref, toute personne qui ne tient pas le seul et unique discours autorisé animant une terreur volontaire, la falsification, une manipulation déterminée à conserver le dernier mot sur une pure stratégie dont l’eugénisme est la seule finalité assumée … 

Le mensonge et la falsification pour une manipulation efficace sont ainsi maintenus en permanence par la censure radicale qui est faite sur toutes les données sanitaires, afin que le programme génocidaire mondial puisse réellement s’appliquer et opérer en toute tranquillité, sans trop de réelles oppositions …

Dans la logique de sa vocation première et toujours actuelle, L’OMS vient de concocter un Traité sur les pandémies. Grâce à ce Traité, s’il est accepté par les pays membres de l’ONU, le Directeur Général de l’OMS aura désormais le pouvoir de déclarer des fausses pandémies mondiales quand bon lui semblera, et d’imposer à tous les vaccinations destinées à stériliser les hommes et les femmes, à tuer les personnes en situation de fragilité, en situation de « comorbidité », à exterminer par des accélérateurs de cancérisations ceux qui auraient échappé à la première rafle de la mort … etc. Ces « vaccins », destinés à génocider une grande partie de l’humanité, deviendront obligatoires en étant imposées à tous par l’aide des armées !

Les principes d’une guerre civile sont ainsi assurément mis en place par l’OMS qui est donc une organisation criminelle internationale… 

L’autorité de l’OMS se trouvera, de ce fait, au-dessus de toutes les Constitutions de chaque pays membre de l’Organisation des Nations Unies. Il va de soi qu’une coercition et une corruption des délégués de chaque pays sont déjà bien orchestrées, afin d’obtenir la certitude que « l’élite eugéniste » de l’OMS, obtiendra gain de cause dans les votes !

Le vote est organisé pour qu’il ait lieu dans le courant de cette année 2023 ! Si le traité est voté, une nouvelle fausse pandémie est déjà programmée pour le début 2024. Les laboratoires ont déjà préparé la campagne d’injections à finalité létale, appelée « campagne de vaccinations pour le salut de l’humanité », avec les mêmes principes que ceux qui ont été appliqués pour la fausse pandémie de Covid-19.

L’OMS a prévu de lâcher un nouveau virus préparé en laboratoire (une nouvelle arme biologique pour la réduction drastique de la population, absolument différente du SARS-COV-2, théoriquement responsable de la Covid-19 – personne n’a jamais isolé, ni réalisé en bonne et due forme, le séquençage du SARS-COV-2) ; cette fois-ci nous ne savons pas encore d’où le nouveau virus va s’échapper ni quelle sera la nouvelle chauve-souris qui va faire un vol de 500 km pour aller infecter un nouveau genre de pangolin dans un marché quelconque !

Toujours est-il que les laboratoires savent déjà qui est ce nouveau venu dans le paysage viral et ils ont déjà les stocks de « vaccins » tout prêts pour l’opération, dès que l’OMS aura autorisé le virus à s’échapper et déclaré la nouvelle fausse pandémie avec obligation du masque, de la distanciation sociale, du confinement et cette fois-ci d’une vaccination de masse imparable …

Aucune Constitution ni aucun Conseil Constitutionnel ne pourra s’opposer à l’autorité suprême de l’OMS, organisation terroriste de criminels eugénistes, si ce « Traité sur les pandémies » est voté à l’ONU dans le courant de l’année en cours !

La seule solution urgente et raisonnable est bien entendu de ne plus adhérer à l’OMS et de quitter cette organisation qui n’a rien à voir avec la santé, mais tout à voir avec le crime et la mort. 

Le Young Global Leader qui squatte actuellement l’Elysée a été formaté par le FEM pour adhérer à cette organisation terroriste. Il est justement là pour organiser le plus efficacement possible la liquidation du peuple des « inutiles » : les « vieux » qui coûtent trop chers avec leurs retraites ; les chômeurs qui ne sont que des « fainéants » et des « parasites » de la société ;  les classes de travailleurs pauvres qui n’arrêtent pas de contester et de pratiquer leurs casserolades exténuantes pour les « élites » seules dignes de vivre tranquillement en profitant largement de l’existence grâce au travail des esclaves qui seront tolérés dans la mesure où ils seront absolument soumis et radicalement contrôlés par les chaînes numériques en cours d’installation …

Nous devons donc retenir qu’une nouvelle pandémie va arriver en début de l’année 2024, quoi qu’il arrive d’ailleurs, puisque l’OMS est en communication directe avec les virus qui la préviennent de leur arrivée. L’industrie pharmaceutique a également déjà réalisé le tour de force du séquençage du génome de ce nouveau virus toujours inconnu, pour en préparer un « vaccin » efficace et cette fois-ci rendu obligatoire dans le monde entier ! Nous devons donc également retenir que les masques au graphène seront à nouveau obligatoires partout, la distanciation sociale sera également obligatoire pour bien détruire le tissu humain ; le confinement sera une nouvelle fois de rigueur pour bien achever la destruction économique de toutes les entreprises qui étaient parvenues à survivre au désastre économique précédent. Les familles qui n’étaient pas encore bien divisée, éclatées, déchirées le seront enfin pour de bon ! Les vieux qui auront réussi à ne pas se faire « rivotriliser » le seront de force cette fois-ci avec l’aide des armées !

Dès le début de l’année 2024, si ce Traité est voté, recommence le cauchemar sans échappatoire… à moins qu’entre temps une déflagration nucléaire ait eu lieu entre l’Occident pervers et la Russie !

Jean-Yves Jézéquel

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One Health : un plan pour « surveiller et contrôler tous les aspects de la vie sur Terre » ?

Les experts qui ont parlé avec The Defender ont suggéré que One Health a plus à voir avec un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports vaccinaux et des restrictions sur le comportement humain qu’avec la protection de la santé humaine.

Par Michael Nevradakis, Ph.D. pour The Defender

Note de l’éditeur : Ceci est la deuxième partie d’une série en deux parties sur l’initiative One Health. Lire la première partie ici .

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit « Une seule santé » comme « une approche intégrée et unificatrice qui vise à équilibrer et optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes », car ils sont « étroitement liés et interdépendants » – un concept qui à première vue, semble promouvoir des objectifs nobles reliant la santé humaine et environnementale.

Cependant, certains scientifiques et experts médicaux sont préoccupés par les objectifs vagues de One Health . Arguant que le concept a été «détourné», ils remettent en question l’intention des personnes impliquées dans le développement et le déploiement mondial du concept – y compris l’OMS, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la Banque mondiale.

Les experts qui se sont entretenus avec The Defender ont également soulevé des questions sur d’autres aspects du concept One Health, notamment un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports vaccinaux et des restrictions sur le comportement humain.

Bien que ces objectifs soient étayés par une « théorie du changement » vaguement définie, des experts ont déclaré à The Defender que des intérêts financiers majeurs sont au cœur de l’agenda One Health, qui semble être étroitement lié au changement climatique et aux initiatives de développement durable promues par le même organisations mondiales.

Les objectifs de One Health incluent une «prise en charge mondiale de tout»

Dans un article du 1er mai, le Dr Joseph Mercola a lié le concept One Health, tel que promu par les organisations mondiales, aux politiques et restrictions poursuivies en réponse au COVID-19 , le décrivant comme une tentative de « prise de contrôle mondiale de tout ».

Mercola a lié le concept One Health à des entités clés qui ont soutenu la recherche sur le gain de fonction . Selon Mercola :

“Il est intéressant de noter que le terme” One Health “, qui a été officiellement adopté par l’OMS et les ministres de la santé du G20 en 2017, a été inventé pour la première fois par le vice-président exécutif de l’EcoHealth Alliance, la même entreprise qui semble avoir joué un rôle dans le création du SARS-CoV-2.

Lors de la conférence 2019 « Can One Health Help Prevent the Next Pandemic ? Président de l’Alliance ÉcoSanté Peter Daszak, Ph.D. , commissaire de la One Health Commission du Lancet , a déclaré que les « maladies infectieuses émergentes » sont « une menace mondiale croissante ».

Il a également fait valoir que bon nombre de ces maladies émergentes sont «zoonotiques – transmises des animaux aux humains».

Francis Boyle, JD, Ph.D. , professeur de droit international à l’Université de l’Illinois et expert en armes biologiques qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989 , a remis en question ce récit en déclarant à The Defender :

« Toutes ces « maladies infectieuses émergentes » émergent de leurs programmes offensifs d’armes de guerre biologique menés dans leurs laboratoires BSL4 [niveau de biosécurité 4] et BSL3.

“Si vous regardez les membres du comité consultatif de l’OMS qui traitent des” maladies infectieuses émergentes “, c’est exactement ce qu’ils font – les” faire sortir “de leurs laboratoires.”

Un exemple est celui de Marion Koopmans, DVM, Ph.D. , directeur du Centre collaborateur de l’OMS pour les maladies infectieuses émergentes au Centre médical Erasmus aux Pays-Bas et membre du groupe d’experts de haut niveau One Health (OHHLEP) de l’OMS.

Selon Boyle, “Erasmus est l’endroit où ce sale boulot offensif de la science de la mort avec gain de fonction dans la guerre biologique nazie est devenu notoire pour la première fois sous Fouchier, [qui] a lancé toute la controverse sur son travail sur le gain de fonction là-bas.”

Boyle faisait référence à Ron Fouchier, Ph.D. , qui est également chef adjoint du département Viroscience d’Erasmus et qui, selon Science , “a alarmé le monde” en 2011, après que lui et d’autres chercheurs “ont modifié séparément le virus mortel de la grippe aviaire H5N1 afin qu’il se propage entre les furets” – un début exemple de recherche de gain de fonction.

Le Dr Meryl Nass, interniste et épidémiologiste de la guerre biologique qui est membre du comité consultatif scientifique de Children’s Health Defence , a déclaré que ces objectifs sont délibérément vagues. Elle a fait référence à un document du CDC qui indiquait :

« Les interventions de santé publique réussies nécessitent la coopération des partenaires de la santé humaine, animale et environnementale… D’autres acteurs pertinents dans une approche One Health pourraient inclure les forces de l’ordre, les décideurs, l’agriculture, les communautés et même les propriétaires d’animaux.

“En promouvant la collaboration dans tous les secteurs, une approche One Health peut obtenir les meilleurs résultats pour la santé des personnes, des animaux et des plantes dans un environnement partagé.”

Nass a écrit sur son blog : « Je prévois que One Health sera utilisé pour imposer des changements dans la façon dont les humains et les animaux interagissent… très probablement en fonction des besoins du WEF [World Economic Forum]/des élites et non des besoins des personnes ou des les animaux qui seront touchés.

Reggie Littlejohn , fondatrice et présidente de Women’s Rights Without Frontiers et coprésidente du groupe de travail Stop Vaccine Passports, a déclaré au Defender : « Il n’est pas clair que One Health donne la priorité à la santé humaine.

Soulignant le langage “vague” employé par les organisations mondiales promouvant One Health, Littlejohn a déclaré qu’un objectif pourrait être de “gouverner la santé des animaux d’élevage en plus de la santé humaine”, grâce auquel “ils pourraient faire des choses comme imposer des vaccins au bétail”.

One Health signifie “tout surveiller”

Les experts qui se sont entretenus avec The Defender ont exprimé leurs inquiétudes concernant le programme de biosécurité associé aux objectifs déclarés de One Health.

Selon Nass, cela reflète la façon dont l’OMS “s’est transformée en une agence de biosécurité”, ajoutant que “la justification, apparemment, pour que le directeur général de l’OMS prenne en charge les soins de santé pendant les pandémies, mais aussi potentiellement les écosystèmes, les animaux et les plantes , passe par One Health.

Nass a noté que One Health “est mentionné à plusieurs reprises dans la loi sur la défense nationale [Autorisation] pour l’exercice 2023 ” (NDAA), qui comprend 18 pages sur la “préparation à la pandémie” et une définition formelle de “l’approche One Health” à la page 952 de l’acte.

Le journaliste et chercheur indépendant James Roguski a également souligné la place prépondérante de One Health dans la NDAA et a noté qu’en définissant formellement le concept dans la loi, il fait désormais partie du Code of Federal Regulations.

Cependant, Roguski a déclaré que la NDAA va encore plus loin :

« Les États-Unis ont promis un milliard de dollars par an au Fonds de lutte contre la pandémie de la Banque mondiale pour soutenir le programme mondial de sécurité sanitaire. L’OMS est l’un des 14 intermédiaires qui recevront et redistribueront une partie de ce milliard de dollars.

« Au fond, c’est du capitalisme, c’est de la corruption, c’est une abomination d’un point de vue sanitaire. Injectons simplement de l’argent dans les sociétés pharmaceutiques , construisons l’infrastructure dans ces pays et, si vous fabriquez des tonnes de produits localement, vous serez en mesure de convaincre le gouvernement local de les mettre dans les bras des gens ou de les enfoncer dans leurs bras. gorge.

“Et rien de tout cela ne s’est vraiment avéré bénéfique pour la santé. C’est dommage pour la santé des gens. »

La mise en place d’une infrastructure de surveillance mondiale censée protéger la santé humaine et animale et l’environnement est associée à la promotion d’un programme mondial de biosécurité. Un document de l’OMS du 3 octobre 2022 indique :

“L’émergence du virus SARS-CoV-2 qui a causé le COVID-19 a souligné la nécessité de renforcer l’approche One Health, en mettant davantage l’accent sur les liens avec la santé animale et l’environnement…

« … Il utilise les liens étroits et interdépendants entre ces domaines pour créer de nouvelles méthodes de surveillance et de contrôle des maladies. …

« Nous avons maintenant une occasion sans précédent de renforcer la collaboration et les politiques dans ces nombreux domaines et de réduire le risque de futures pandémies et épidémies tout en s’attaquant au fardeau actuel des maladies endémiques et non transmissibles.

“Une surveillance qui surveille les risques et aide à identifier les tendances dans ces nombreux domaines est nécessaire.”

À ce sujet, Littlejohn a déclaré que les partisans de One Health parlent de “systèmes de surveillance intégrés et interopérables”. Elle a dit au Defender :

«Je crois… que ces systèmes de surveillance des personnes, des animaux, des plantes et de l’environnement vont être coordonnés par une sorte de système de surveillance mondial interopérable à l’échelle mondiale et intégré.

«Celui qui dirige ce spectacle, l’OMS, le Parti communiste chinois… la Fondation Bill et Melinda Gates, qui sont les personnes qui semblent vraiment diriger le spectacle à l’OMS, vont pouvoir puiser dans et voir tous nos information privée. Pas seulement nous, mais les animaux et les plantes.

Le Dr David Bell , médecin en santé publique et consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de la santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré à The Defender que l’intention des organisations mondiales est de “tout surveiller”. Il a dit:

«Cela signifie tout surveiller, surveiller le climat pour détecter d’éventuelles menaces, surveiller la population animale, surveiller la faune, surveiller le sol pour voir s’il y a de nouvelles traces de virus ou de bactéries dans les systèmes fluviaux, etc.

« Cela vous permet de « découvrir » ce que nous savons déjà être la nature, puis de transformer la nature en une menace potentielle ou en une menace. Plus vous avez de surveillance et plus elle est étendue, plus vous découvrirez de «menaces» inévitables… car vous pouvez faire valoir que presque toutes les nouvelles variantes de virus sont une «menace».

“Cela leur permettra de garder une sorte de peur constante qui vous permettra ensuite d’introduire des contrôles autoritaires tels que les monnaies numériques de la banque centrale et les passeports numériques … qui leur permettront de monétiser plus efficacement la population humaine.”

Nass a noté que des acteurs mondiaux tels que l’OMS «parlent de partage d’échantillons pendant une pandémie… afin qu’ils puissent également essayer de fabriquer des vaccins. Cependant, ils ne parlent pas d’exercer une surveillance sur des êtres humains. Mais ce qu’ils ont dit, ce qui a laissé le chat sortir du sac, c’est qu’ils voudraient obtenir le consentement éclairé des pays pour le partage des données génomiques, plutôt que des individus.

Une partie de cette infrastructure de surveillance comprendrait également des passeports vaccinaux , qui figurent en bonne place dans le traité sur la pandémie et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI) actuellement en cours de négociation à l’OMS.

Selon Littlejohn :

«Je crois qu’ils ont mis en place l’infrastructure pendant la crise du COVID-19, et nous avons un peu de« pause »ici entre les pandémies, mais cette structure, cette infrastructure va se fermer avec la prochaine pandémie si nous ne ne l’arrête pas. Cette structure a à voir avec les passeports vaccinaux.

«Cela pourrait être appelé une« carte de santé intelligente »ou un« identifiant de santé numérique », ou même un permis de conduire numérique obligatoire peut servir de plate-forme pour un système de crédit social à la chinoise . Et il y a un nouveau projet de loi devant le Sénat en ce moment… la loi sur l’amélioration de l’identité numérique de 2023 … C’est une pièce d’identité nationale obligatoire qui sera interopérable, coordonnée, intégrée et peut servir de même plate-forme que le système de crédit social chinois… pour surveiller nous.”

Les restrictions sur le comportement humain pourraient abaisser les humains au niveau des animaux

Le document de l’OMS du 3 octobre 2022 affirmait également que “quelque 60% des maladies infectieuses émergentes signalées dans le monde proviennent d’animaux, sauvages et domestiques”, ajoutant que “les activités humaines et les écosystèmes stressés ont créé de nouvelles opportunités pour l’émergence de maladies”. et se propager.

Ces facteurs de stress “incluent le commerce des animaux, l’agriculture, l’élevage, l’urbanisation, les industries extractives, le changement climatique, la fragmentation de l’habitat et l’empiètement sur les zones sauvages”, selon l’OMS.

“Dans la mesure où les émissions de carbone dues au transport dans les villes contribueraient au changement climatique, alors la” ville de 15 minutes “serait un moyen d’y remédier”, a déclaré Littlejohn. “Le danger est qu’ils l’appliqueront en installant des caméras de surveillance partout pour s’assurer que vous ne sortez pas de votre quartier sans autorisation.”

Dans un article du 30 mars, « Votre fille pour un rat », Bell a cité un éditorial de One Health publié dans The Lancet déclarant que « toute vie est égale et d’égale préoccupation ». En réponse, Bell a suggéré que One Health vise à abaisser les humains au niveau des animaux.

Le même article du Lancet décrivait One Health comme “un appel à l’équité écologique, pas seulement à la santé” et appelait à un “changement de perspective subtil mais assez révolutionnaire” loin de “l’anthropocentrisme”: “Toute vie est égale et d’égale préoccupation. ”

“Il semble que cela va être la justification pour faire passer les gens à la valeur des animaux”, a déclaré Nass en réponse; un sentiment partagé par Boyle, qui a déclaré : « One Health relie les soins de santé des êtres humains aux soins de santé des animaux et réduit ainsi les soins de santé des êtres humains au niveau des soins de santé des animaux.

Selon Bell, « suggérer que nous avons le devoir, en tant qu’espèce sur cette planète, de prendre soin de toutes les espèces de manière égale et de les traiter de manière plus égale [est] en train de devenir une sorte de religion ou de dogme. Cela défie ce que toute société rationnelle dans l’histoire de l’humanité » a pratiqué et est « une approche très inhabituelle et potentiellement très effrayante ».

One Health : Suivez l’argent

L’OMS a tenté de donner une crédibilité théorique au concept One Health en développant une soi-disant « théorie du changement » (ToC).

Bien que l’OMS affirme que la théorie du changement est conçue pour fournir “un cadre conceptuel” pour “les organisations, agences et initiatives travaillant vers des objectifs One Health similaires” et un “récit commun de cohérence”, la théorie elle-même ne semble pas avoir de définition claire.

“Ils veulent pouvoir faire ce qu’ils veulent”, a déclaré Littlejohn. “Si vous le définissez, alors vous pouvez les obliger à la définition … l’une des tactiques consiste simplement à être vraiment obscur et incompréhensible.”

“C’est un terme qui est utilisé dans ces cercles”, a ajouté Bell. « Il énonce l’évidence, que si vous faites un certain acte, vous aurez un certain résultat. C’est une façon élégante de dire cela.

Bell a également fait référence à “l’erreur qui est poussée selon laquelle les humains ont de plus en plus de contacts avec la faune”, censément conduisant à “cette menace de virus sautant de la faune à l’homme”.

Appelant cela une “affirmation ridicule”, Bell a déclaré que “lorsque les humains se déplacent dans les habitats fauniques, la faune ne commence pas à vivre avec les humains. Ils meurent.

Notant qu ‘«il était très courant» pour les gens de vivre avec des animaux de ferme, Bell a ajouté que l’affirmation selon laquelle les pandémies sont de plus en plus courantes en raison d’un contact accru avec les animaux n’est en soi «pas vraie», mais est «utilisée pour instiller la peur et pour essayer d’amener les gens à adhérer à ce programme d’urgence sanitaire constant One Health.

Nass a déclaré que les partisans de One Health “n’ont en fait aucune preuve” pour étayer leurs affirmations, offrant l’exemple de la résistance aux antimicrobiens dans les bactéries trouvées dans la viande consommée par les humains, à la suite d’antibiotiques administrés au bétail. “C’est le crochet auquel One Health a été accroché”, a déclaré Nass.

Cependant, Nass a déclaré que ce problème “pourrait être résolu en un clin d’œil si la Food and Drug Administration des États-Unis ou le département américain de l’Agriculture venaient de dire aux agriculteurs qu’ils ne peuvent plus mettre d’antibiotiques dans les aliments pour animaux, ils ne peuvent les utiliser que lorsqu’un animal tombe malade. .”

Dans son récent article, Mercola a suggéré de suivre l’argent. “Les intérêts privés exercent un pouvoir immense sur l’OMS, et la majorité du financement est” spécifié “, ce qui signifie qu’il est affecté à des programmes particuliers. L’OMS ne peut pas allouer ces fonds là où ils sont le plus nécessaires.

En conséquence, cela “influence massivement ce que fait l’OMS et comment elle le fait. Ainsi, l’OMS est une organisation qui fait tout ce que ses bailleurs de fonds lui disent de faire », désignant des organisations telles que la Fondation Gates comme principaux bailleurs de fonds de l’OMS.

Bell a déclaré que les partisans de One Health incluent «ceux qui ont poussé l’agenda COVID… et s’en sont enrichis», y compris «les fondations privées qui sont dans le train» et «les entreprises qui ont tout à gagner en contrôlant la chaîne alimentaire et en contrôlant l’agriculture et pharmaceutiques, et cetera.

“Ce sont les autoritaires des entreprises qui ont eux-mêmes bénéficié de la santé publique grâce au COVID et à la réponse COVID certainement inappropriée”, a ajouté Bell. “Et c’est la même chose et ce n’est pas déconnecté de l’agenda de l’urgence climatique.”

Un acteur financier de premier plan étroitement impliqué dans le développement de l’agenda One Health est la Banque mondiale, comme l’ indiquent les documents de l’OMS .

Lors d’une réunion de l’OHHLEP en novembre 2022, Franck Berthe, spécialiste principal de l’élevage à la Banque mondiale, a présenté le Fonds d’intermédiaire financier de la Banque mondiale, qui «permettrait aux pays d’emprunter des fonds pour renforcer leur système de santé et promouvoir l’approche OH [One Health]».

Selon Nass, “l’OMS et la Banque mondiale ont aidé à former cette opération de financement pour le programme de biosécurité”, tandis que Boyle a déclaré au Defender : “Il n’y a rien d’humanitaire à propos de ces bailleurs de fonds et de la promotion par l’OMS du programme One Health”.

Nass et Bell ont tous deux déclaré que le programme One Health est étroitement lié aux objectifs de développement durable et à l’ Agenda 2030 de l’ONU . Bell a déclaré que le programme One Health tente de faire face à une supposée “menace existentielle pour la santé humaine” qui “doit être traitée de manière centralisée, plutôt que de donner aux gens le choix”.

One Health étroitement lié au traité de l’OMS sur la pandémie et aux amendements du RSI

Les experts qui se sont entretenus avec The Defender ont également souligné les liens entre le concept One Health et le traité sur la pandémie et les amendements du RSI en cours de négociation .

Mercola a écrit que grâce au programme One Health, qui reconnaît “un très large éventail d’aspects de la vie et de l’environnement [qui] peuvent avoir un impact sur la santé et relèvent donc du” potentiel “de causer des dommages”, l’OMS “sera en mesure de déclarer le changement climatique comme une urgence sanitaire et nécessitent par la suite des verrouillages climatiques.

Roguski, qui a fait des recherches approfondies sur le traité sur la pandémie et les amendements du RSI, a déclaré que dans les amendements que l’UE a récemment proposés pour le traité sur la pandémie, le terme “Une seule santé” apparaît 29 fois, notamment en appelant les pays à élaborer et à mettre à jour régulièrement des plans de prévention de la pandémie via le Approche One Health.

Se référant à la nécessité de prévenir d’éventuelles “situations de pandémie”, les propositions appellent également à renforcer la surveillance mondiale de la santé publique “en utilisant une approche One Health”, qui s’attaquera également aux moteurs de l’émergence et de la réémergence de la maladie au niveau humain. l’interface animal-environnement, y compris, mais sans s’y limiter, le changement climatique, le changement d’utilisation des terres, le commerce des espèces sauvages, la désertification et la résistance aux antimicrobiens.

Les propositions suggèrent également que l’approche One Health pourrait être utilisée «pour produire des preuves scientifiques et soutenir, faciliter et / ou superviser la mise en œuvre correcte, fondée sur des preuves et tenant compte des risques de la prévention et du contrôle des infections», et aller jusqu’à suggérer des cibles sur la « consommation/utilisation des antimicrobiens ».

Roguski a déclaré à The Defender que la dernière version du traité sur la pandémie faisait référence à One Health 13 fois. Un tel langage « serait utilisé pour prendre le contrôle total de nos vies », a ajouté Roguski.

Par exemple, une proposition stipule que « chaque Partie adopte, conformément à la législation nationale, des politiques et des stratégies, appuyées par des plans de mise en œuvre, dans les secteurs public et privé et les organismes compétents, compatibles avec les outils pertinents, y compris, mais sans s’y limiter : le Règlement sanitaire international, et renforcent et renforcent les fonctions de santé publique pour : (c) la surveillance (y compris en utilisant une approche One Health).

D’autres propositions incluent:

“Les parties s’engagent à renforcer les systèmes de surveillance multisectoriels, coordonnés, interopérables et intégrés One Health… pour identifier et évaluer les risques et l’émergence d’agents pathogènes et de variants à potentiel pandémique, afin de minimiser les événements de débordement, les mutations et les risques associés maladies tropicales négligées zoonotiques et à transmission vectorielle, en vue d’empêcher que des épidémies à petite échelle chez les animaux sauvages ou domestiques ne se transforment en pandémie.

“Chaque Partie élabore et met en œuvre un plan d’action national Une seule santé sur la résistance aux antimicrobiens qui renforce la gestion responsable des antimicrobiens dans les secteurs humain et animal, optimise la consommation d’antimicrobiens, augmente les investissements dans les nouveaux médicaments, les outils de diagnostic et favorise un accès équitable et abordable à ceux-ci, vaccins et autres interventions, renforce la prévention et le contrôle des infections dans les établissements de soins de santé ainsi que l’assainissement et la biosécurité dans les élevages, et fournit un soutien technique aux pays en développement.

Roguski a déclaré que l’expression “One Health” n’apparaît pas directement dans les documents liés aux amendements proposés au RSI, mais il a ajouté que l’OMS “va essayer de les faire prévaloir”, se référant à la fois au traité et aux amendements du RSI.

Littlejohn a déclaré que l’approche One Health et le libellé proposé dans le traité “leur donnent le droit de surveiller et potentiellement de contrôler tous les aspects de la vie sur terre”.

Notant que le traité proposé appelle également à un “engagement à lutter contre la ‘désinformation’, la ‘désinformation’ et les ‘fausses nouvelles’”, a ajouté Littlejohn, “ils vont surveiller nos médias sociaux… et si l’un d’entre nous sort de ligne en contredisant ce que dit l’OMS, alors nous pourrions être censurés.

“C’est ce que je pense être à l’esprit avec cet engagement envers des systèmes de surveillance One Health” coordonnés, interopérables et intégrés “”, a ajouté Littlejohn. « Je pense que c’est ainsi qu’il pourrait finir par être déployé. En fin de compte, des entités mondialistes, telles que le Forum économique mondial et l’ONU, utilisent l’OMS comme moyen d’établir un contrôle mondial.

“La raison pour laquelle la santé est un si bon prétexte est que les gens peuvent devenir terrifiés”, a ajouté Littlejohn. “Dans la mesure où leurs esprits sont paralysés s’ils pensent qu’ils pourraient mourir ou tomber vraiment malades, ils sont prêts à abandonner des libertés qu’ils ne seraient pas prêts à abandonner dans d’autres contextes.”

Roguski a déclaré au Defender :

«Ils ont pris beaucoup de mauvaises décisions. Ils ont donné beaucoup de mauvais conseils [et] ils ont causé beaucoup de tort à beaucoup de gens. Vous ne pouvez pas simplement donner à ces gens plus de pouvoir, d’autorité et de contrôle sans regarder ce qu’ils ont fait et dire, ‘non, vous ne devriez pas être en charge de tout cela.’

À son tour, Mercola a écrit que “la prise de contrôle mondialiste dépend de la création réussie d’une boucle de rétroaction de surveillance des variantes du virus, de la déclaration du risque potentiel suivie de verrouillages et de restrictions, suivie de la vaccination massive des populations pour” mettre fin “aux restrictions pandémiques, suivie de plus de surveillance, etc.

Et selon Bell, One Health “fait partie d’une image beaucoup plus large de trouver des moyens de séparer les idées intrinsèques sur lesquelles la plupart des sociétés ont été construites”.

“Je pense que cela fait partie d’un mouvement visant à défaire ce genre d’idées et à les remplacer par une sorte de religion de peur de notre environnement et de dénigrement des autres humains qui peut ensuite être utilisée par des personnes très avides pour augmenter leur richesse et leur pouvoir. “, a déclaré Bell. “Il a pris le dessus sur la santé publique dans une large mesure.”

Michael Nevradakis, Ph.D.