COP21 et pénalisation des théories conspirationnistes !

rechauffementLa Grande-Bretagne veut criminaliser la négation du réchauffement climatique

Nous vous laissons apprécier ce qui nous attend avec la cour de justice internationale climatique qui serait créée à l’initiative par la Grande Bretagne ( l’une des première places financières au monde) !

Qu’est-ce que ça signifie ? Tout simplement que nier le réchauffement climatique d’origine humaine va devenir illégal et passible de poursuites.

Grâce à la sagacité exemplaire de la journaliste canadienne Donna Laframboise qu’il faut remercier ici, on découvre que le totalitarisme climatique planétaire se met progressivement en place sous l’égide des Nations-Unies. L’information a été reprise ce 11 octobre 2015 par The Telegraph, un quotidien britannique connu pour ses opinions de gauche modérée. Il s’agit d’un fait révélateur de ce qui attend la population de la planète entière (voir le lien).

 À la fin du mois de septembre dernier, s’est tenue dans les locaux de la Cour Suprême britannique une conférence sponsorisée par le King’s College, le gouvernement britannique, la Cour Suprême britannique, l’Asia Development Bank et l’UNEP (United-Nations Environment Program). Ce dernier organisme onusien est également le principal pourvoyeur de fonds de l’IPCC. Cette conférence réunissait des juges, des professeurs universitaires de droit, des avocats et naturellement, bien que jamais l’identité et la provenance des participants ne furent révélées, des représentants mandatés par la famille royale britannique. Il s’agissait de mettre en place une cour de justice internationale climatique.

Qu’est-ce que ça signifie ? Tout simplement que nier le réchauffement climatique d’origine humaine va devenir illégal et passible de poursuites. En d’autres termes puisqu’un accord global sur le climat est loin d’être acquis lors de la prochaine réunion COP21 à Paris, il faudra donc légiférer à l’échelle mondiale et ce sera l’affaire des Nations-Unies. Ça rappelle tout simplement la mise en place des tribunaux de l’Inquisition mis en place par la papauté. Ce sera, selon les informations recueillies par cette journaliste canadienne à la Cour Internationale de Justice de statuer sur les cas de déni climatique individuels, de la part de gouvernements ou d’entreprises industrielles et/ou commerciales.

Sans reprendre mots pour mots l’article du Telegraph, on peut imaginer que les Chinois et les Indiens vont doucement rigoler à Paris quand on leur demandera les larmes aux yeux de réduire leurs émissions de carbone alors que l’essentiel de l’énergie électrique produite par ces pays repose sur le charbon et le pétrole. Il en est de même du Japon qui a timidement redémarré un seul réacteur nucléaire depuis l’arrêt total de la production électronucléaire du pays après le grand tremblement de terre du 11 mars 2011. Idem pour l’Australie, le Canada, le Brésil et encore plus les USA qui n’accepteront jamais de sacrifier leur industrie pour satisfaire les lubies de l’IPCC et de l’UNEP. Le COP21 ne collectera que des déclarations de bonnes intentions qui ne seront jamais suivies d’effet, voilà quel en sera le résultat.

On comprend donc mieux qu’instaurer une loi climatique mondiale coercitive ne soit plus que le seul moyen restant pour imposer les vues totalitaires du 0,01 % de la planète. C’est un grand pas vers le retour aux heures sombres du nazisme et du totalitarisme bolchévique qu’on croyait disparues à jamais …

« Bienvenue dans un monde meilleur », tel était le slogan en exergue des émissions de Nicolas Hulot sponsorisées par Rhône-Poulenc …

Source :http://www.telegraph.co.uk/comment/11924776/Judges-plan-to-outlaw-climate-change-denial.html et http://nofrakkingconsensus.com. Traduction: Le pouvoir mondial

 

 

Et cela risque de faire beaucoup de monde poursuivit en justice, comme cela sera le cas avec le Professeur de Harvard, Robert Stavins:

 

Le Professeur de Harvard, Robert Stavins a jeté, le mois passé, un pavé de plus dans la mare. Une révélation de plus. Chaque jour des voix s’élèvent pour dénoncer les tripotages des gouvernements, des officines liées à l’ONU, du GIEC et des organisations écologiques diverses pour faire croire au réchauffement climatique et même aux « changements climatiques ».

Dernièrement dans un meeting sur le climat à Berlin, trois-quarts d’un document aurait été volontairement effacé pour dissimuler des vérités.
Ce professeur était l’un des deux coordinateurs d’un rapport clé qui devait être publié par l’ IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change). Ce rapport était lié à la coopération entre les pays pour la réduction des émissions carbonées.
Il a été profondément affecté lorsqu’il était dans ce groupe de travail, où lui et un autre scientifique étaient entourés par une cinquantaine d’officiels gouvernementaux.
Les réunions sur le climat sont toutes noyautées par des politiciens de tous les pays.

La plupart d’entre eux lui ont dit que son texte n’était pas en ligne avec leurs intérêts et les négociations multilatérales qu’ils avaient menées par ailleurs. En clair les conclusions des scientifiques dérangeaient leurs combines.
Beaucoup de ces politiques travaillent sur un nouveau traité qui remplacerait le protocole de Kyoto en 2015 (encore un traité opaque).
L’une des conclusions faites par ce Professeur est que le contenu de tous ces rapports est dicté par des politiques.
Nous n’avons malheureusement pas les détails de ce que les gouvernements ont dicté, ni quels pays était impliqués. Nous avons compris que presque tous les pays importants étaient représentés.

Mais ceci démontre bien que les citoyens n’ont pas accès aux vraies informations. Que tous les rapports qui sont publiés sur le climat ne valent rien.
Les motivations des Etats sont financières. Les Etats menant des politiques de dilapidation de l’argent public, cherchent par tous les moyens de gonfler leurs recettes. La trouvaille qui marche : faire peur aux citoyens avec les supposées catastrophes climatiques.

Ainsi de sombres tractations aboutissent à des propagandes alarmistes :
– La température du globe augmente.
C’est totalement faux. La température moyenne de notre planète n’a plus bougé depuis 17
ans.
– C’est le CO2 qui est responsable du changement climatique.
Faux. On sait qu’une grande partie de CO2 profite à la croissance végétale, et que les
océans absorbent une partie du CO2, qui aboutit à la précipitation de carbonates.
Les vraies scientifiques savent que c’est le soleil qui détermine le climat.

– L’eau des océans monte.
Oui de quelques millimètres. On est très loin des prévisions catastrophistes qui
annonçaient pour la fin du siècle la disparition de pays entiers.
En réalité, la hauteur des océans a toujours fluctué au cours des ères. Il faut revoir ses
connaissances sur la tectonique des plaques et sur le volcanisme très actif. La Terre est
une planète tellurique, apparemment les politiciens ne le savent pas.
– Les glaciers fondent au Pôle nord. Oui partiellement, mais ils s’agrandissent au Pôle Sud.

Nous pourrions continuer d’égrener encore beaucoup de fables que l’on nous raconte.
Toutes ces calamités supposées sont des prétextes pour vous taxer : votre chauffage, votre carburant, votre électricité….. et tout le reste, puisque tout ce que nous consommons demande de l’énergie.

Que de mensonges on vous fait avaler, pour vous faire les poches !

JACQUES D’EVILLE

Source: Politics.be

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C’est le soleil (et autres facteurs « exogènes ») et non l’homme qui (règle et) dérègle le climat en ce moment, et l’activité solaire chute . Ce qui annonce un « minimum » (solaire, une période où il sera bien moins actif, ce qui se produit de manière cyclique) et un mini age glaciaire imminent (d’ailleurs toujours caractérisé par un pic de CO2 qui se manifeste avant, mais qui n’a aucun impact réel sur notre climat) . C’est bien ce que je vous disais, Claude Allègre (oui, l’ancien ministre, et expert du climat) avait parfaitement raison en annonçant un « grand refroidissement » à venir . Z .

Voici un contradicteur sévère de la théorie du réchauffement climatique. Selon lui, cette théorie va totalement à l’encontre des modèles mathématiques que l’on peut tirer du comportement du soleil et de ses émissions électro-magnétiques sur plusieurs siècles.  La démonstration est claire, même pour un simple quidam dans mon genre. Par contre, difficile de dire s’il a raison. En tout cas, c’est fort intéressant et pour le moins troublant.

Sachant que nombre d’entre vous sont parfois pressés, et que la démonstration est un peu technique et un peu longue, j’ai mis la conclusion en gras, conclusion qui résume les conséquences environnementales de la théorie de ce scientifique.

Réchauffement ou refroidissement, quoiqu’il en soit, le climat change et les conséquences dans un sens comme dans l’autre sont désastreuses.  Au cas où, isolez votre maison du mieux que vous le pouvez, vous en bénéficierez, tant pour la chaleur que pour le froid…

G. (commentaire des brinderbes)

Réchauffement climatique, épisode 6. Fraude scientifique par omission : l’effet du Soleil

Un article de jacqueshenry.wordpress.com 

J’ai préféré attendre la « Rentrée » pour mettre en ligne ce billet pourtant prêt depuis deux mois, juste après la sortie de l’information émanant du Congrès National d’Astronomie anglais qui s’est tenu à Llandudno au Pays-de-Galles en juillet 2015 et organisé par la Royal Astronomical Society.

Dans la série perturbation climatique globale d’origine humaine (selon les termes de Barak Obama) on oublie systématiquement et délibérément de prendre en considération l’influence du Soleil sur le climat comme avait osé le faire Claude Allègre en son temps et il avait parfaitement raison : des travaux scientifiques récents sont là pour le confirmer définitivement. Cela fera bientôt 19 ans qu’on attend ce réchauffement tant annoncé à grands renforts de conférences, meetings internationaux coûteux, courbes en crosse de hockey, rapports « scientifiques » des climatologues auto-proclamés de l’IPCC et d’autres organismes financés par les impôts des contribuables du monde entier … et pour une seule, incontournable, considérable et immense raison, ce réchauffement ne viendra pas, certainement pas de mon vivant ni de celui de mes petits-enfants et peut-être même pas du vivant de mes arrières-petits-enfants ! On s’achemine vers un refroidissement global et brutal de la planète et même en brûlant toutes les réserves disponibles en hydrocarbures liquides et gazeux, charbon, bois et autre suif animal, c’est-à-dire en dégageant des quantités colossales de CO2 dans l’atmosphère rien n’y fera (d’ailleurs ça n’aurait strictement rien changé au climat) la Terre va se refroidir parce que le Soleil en a décidé ainsi et cette fois-ci c’est certain, absolument certain.

Je suspecte que quelques-uns de mes lecteurs pensent que j’ai perdu la raison en écrivant de telles affirmations hautement hérétiques à moins de 100 jours de l’ouverture de la grande mascarade que sera la COP21 ou alors que je m’enfonce dans ma propre paranoïa anti-réchauffement et pourtant il faut se rendre à l’évidence : on va tous souffrir du froid et dans pas très longtemps, dans moins de dix ans, ça a même commencé cette année dans l’hémisphère sud, il fait un froid à ne pas sortir dehors à Adélaïde en Australie et il a neigé en plein mois de juillet dans les Montagnes Rocheuses, du jamais vu de mémoire d’habitants de Jackson Hole !

Je fais partie de cette communauté restreinte de blogueurs hétérodoxes qui désapprouve la doxa réchauffiste et qui ait avancé inlassablement l’argument solaire dans les variations climatiques terrestres en dénonçant également à longueur de billets l’absurdité scientifique de la théorie de l’effet de serre et pour bien saisir la teneur de ce nouveau billet il faut comprendre ce qui est en train de se passer dans les profondeurs du Soleil. Cet astre n’est pas une machine thermonucléaire très simple à décrire et on dispose d’un certain nombre de moyens d’investigation comme l’observation visuelle directe pour dénombrer les taches solaires et depuis quelques années (1975, voir l’illustration ci-dessus, Wilcox Observatory Stanford University) on peut directement mesurer les variations du champ magnétique de notre étoile qui nous protège des rayonnements cosmiques à l’aide d’instrumentations magnétométriques ultra-sensibles.

Capture d’écran 2015-07-29 à 15.55.00

Pour ce qui est du passé, quand par exemple le champ magnétique solaire dont dépend directement l’activité du Soleil diminuait, l’abondance en isotope 10 du béryllium dans les concrétions calcaires et les carottes glaciaires augmentait car les rayons cosmiques sont moins bien déviés par le champ magnétique solaire et atteignent plus facilement les hautes couches de l’atmosphère terrestre. Le béryllium-10 est en effet produit par ce qu’on appelle la spallation cosmique, la capture d’un proton cosmique de haute énergie par un noyau d’azote conduisant à cet isotope radioactif du béryllium. Il s’agit d’un « proxy » très utile pour reconstruire l’évolution passée du champ magnétique solaire. Comme le champ magnétique terrestre est également sous l’influence de celui du Soleil des magnétomètres peuvent aussi très indirectement conduire à une évaluation globale de ce dernier.

Il y a donc depuis une quarantaine d’années des observatoires dédiés au suivi direct du champ magnétique solaire et les variations de ce champ magnétique paraissent pour le moins erratiques et inexplicables. Bref, apparemment rien à en tirer à première vue. Comme le dénombrement des taches solaires est supposé être un bon reflet de l’activité solaire, donc de la vigueur du champ magnétique du Soleil puisque les taches solaires sont la manifestation directe de ce champ sous-jacent induit par des flux de matière à l’intérieur de l’étoile, il s’est trouvé qu’après les cycles solaires 21 et 22 au cours de l’optimum solaire moderne qui débuta au début du XXe siècle, brutalement, d’un seul coup, sans qu’aucun géophysicien ne s’y soit attendu, le cycle solaire 23 est devenu tout d’un coup plus faible et présentait un maximum dédoublé après une latence anormalement longue à la fin du cycle 22. Le cycle 24 qui est en passe de se terminer s’est trouvé être lui aussi très affaibli par rapport au précédent déjà lui-même plus faible que le cycle 22 avec ce maximum bifide anormal :

Capture d’écran 2015-07-28 à 11.08.07

(dernier relevé de taches solaires, cycles 23 et 24, source NOAA et pour la nomenclature des cycles solaires voir note en fin de billet)

On a eu beau se creuser les méninges, je parle des astrophysiciens professionnels, aucune explication rationnelle n’a pu être apportée. Il faut noter au passage que depuis le début du cycle solaire 23 qui s’est terminé vers 2007, il avait débuté en 1996, l’activité solaire ne cesse de diminuer. Les astrophysiciens considèrent que c’en est fini de l’optimum moderne qui a débuté aux alentours de 1920 et qu’on s’achemine vers un épisode de froidure pour ne pas dire un âge glaciaire. La faiblesse de l’activité solaire strictement relatée par le nombre de taches solaires explique à elle seule que le climat ne se réchauffe plus depuis 19 ans, mais nous y reviendrons ci-après.

Cet optimum solaire moderne qui aura duré un petit siècle et qui a provoqué par exemple la fonte des glaciers alpins pour ne citer que cette observation s’est brutalement terminé il y a donc près de 20 ans. La mécanique solaire a commencé à se dérégler subitement après le cycle 22 et pour bien comprendre ce qui se passe dans le Soleil dont le comportement semble pour le moins capricieux il faut préciser, après cette longue introduction, comment ça fonctionne à l’intérieur de cette étoile. Il existe un flux de matière depuis les pôles vers l’équateur qu’on peut représenter sous forme d’un tore. Pas difficile de se représenter un tore, une chambre à air de pneu d’automobile est un tore et si on l’aplatit pour la faire tenir dans une demi-sphère, on a une image de la double courroie de transmission de matière (conveyor belt) existant dans les hémisphères nord et sud du Soleil. De la matière interne migre depuis les pôles vers l’équateur puis s’enfonce dans les profondeurs de l’astre et ceci symétriquement au nord et au sud par rapport au plan équatorial. La chute d’activité solaire au cours de la fin du cycle 23 couvrant la période 1997-2008 a été suivie d’une sorte d’hésitation qui a anormalement duré plus de trois années, de fin 2007 à début 2010, et une répartition en deux phases des taches solaires durant ce cycle (le cycle 24 qui se termine) a intrigué plus d’un astrophysicien. Il y avait comme un genre de répétition de ce qui venait de se passer pour le cycle 23 qui « mit du temps » à monter en puissance, entre 1995 et 1998 et dont le maximum fut aussi en « dos de chameau ».

Ce genre de comportement ne pouvait s’expliquer que s’il y avait une interférence sous-jacente, à l’intérieur du Soleil, avec cette principale courroie de transmission en forme de tore appelée toroïde.

Pour identifier l’élément perturbateur, il a fallu faire une analyse mathématique en profondeur (sans jeu de mots) des données recueillies sur ce qu’on appelle communément la « dynamo solaire » par l’observatoire solaire Wilcox de l’Université de Stanford.

C’est ce qu’a réalisé une mathématicienne de l’Université de Northumbria à Newcastle-upon-Tyne. En effectuant donc une analyse mathématique détaillée des fluctuations des ondes du champ magnétique solaire aboutissant à une distinction entre amplitude et fréquence des ondes de ce champ, ne me demandez pas comment elle a fait, je n’ai jamais été un bon mathématicien, le Docteur Valentina Zharkova a pu mettre en évidence les caractéristiques du deuxième flux de matière existant en profondeur dans le Soleil qui va d’un pôle vers l’autre et est appelé pour cette raison poloïdal ou poloïde, comme vous voudrez, et ces deux flux de matière peuvent être décrits par des équations mathématiques appropriées. Ces deux mouvements de matière interagissent entre eux et ces flux furent encore synchrones lors des cycles 21 et 22 et d’un seul coup, pour une raison qui reste encore indéterminée à ce jour, il se sont trouvés désynchronisés et oeuvrent maintenant, si on peut dire les choses ainsi, à se contrecarrer :

Capture d’écran 2015-07-27 à 22.55.22

Les deux composantes toroïde et poloïde, en bleu et rouge respectivement, ont été extraites par analyse mathématique des observations de l’observatoire Wilcox et des équations mathématiques plutôt compliquées ont ensuite permis de faire un retour vers le passé et une projection vers le futur, nous allons y revenir. On s’aperçoit qu’à l’évidence un déphasage apparaît dès la fin du cycle solaire 22 et la situation devient de plus en plus décalée. Ce déphasage entrainera une diminution substantielle de l’activité magnétique du Soleil, donc du nombre de taches solaires et par voie de conséquence de l’irradiance qui atteint la Terre avec toutes les conséquences que ce phénomène va entrainer sur le climat, mais nous en reparlerons plus loin.

Valentina Zharkova, avec qui j’ai conversé par mail, est formelle pour ne pas dire péremptoire : le Soleil s’achemine vers une longue période de « sommeil magnétique » sans pour autant mentionner un instant une quelconque conséquence sur le climat. La conséquence directe sera un affaiblissement de l’irradiance atteignant la Terre, je le répète. Madame Zharkova insiste sur le fait que son traitement mathématique des variations d’intensité du champ magnétique solaire ne peut pas être directement utilisé pour établir une corrélation entre le résultat de ses travaux et les températures moyennes observées sur Terre. Cette analyse mathématique ne constitue donc pas, selon elle, un argument à mettre en avant pour nier la putative existence d’un réchauffement d’origine anthropique. Je ferai part de mes remarques sur ce point en fin de billet.

Les calculs effectués par Madame Zharkova concordent parfaitement (courbe continue en gris) avec l’évolution à venir des taches solaires :

Capture d’écran 2015-07-27 à 22.22.50

Comme l’indique le graphique ci-dessus qui est une représentation de l’analyse mathématique effectuée, après 2015 ça va vraiment se corser. Si vous n’êtes pas encore convaincu, la courbe en continu représentant l’amplitude des ondes magnétiques solaires est issue du calcul. On distingue en superposition jusqu’en 2011, en pointillés gris-clair et gris-sombre, les observations obtenues à l’observatoire Wilcox et la précision de coïncidence avec le modèle est de plus de 98 %, ce qui valide largement cette analyse mathématique. Les prévisions pour le cycle 24 sont pour l’instant en parfaite concordance avec les observations et la compilation la plus récente faite par le NOAA (voir plus haut) et la superposition de l’analyse mathématique (courbe en noir) avec les données relatives aux cycles 21, 22 et 23 :

Capture d’écran 2015-07-29 à 13.05.21

On pourrait s’arrêter là et dire qu’après tout quand un mathématicien, en l’occurence une mathématicienne, travaillant avec son époux Sergei Zharkov, s’intéresse au Soleil ça peut paraître anecdotique. Pas du tout ! L’analyse mathématique peaufinée par Madame Zharkova s’est révélée valider les variations climatiques sur une période remontant à plus de 1000 ans en arrière y compris le fameux minimum de Maunder qui sévit de 1640 à 1720 et le minimum dit de Dalton qui frigorifia l’Europe pendant 33 ans au début du XIXe siècle sans oublier l’optimum climatique médiéval qui n’avait rien à voir avec le CO2 ! Et voilà les prévisions effectuées et montrées ici jusqu’en 2040 :

Capture d’écran 2015-07-27 à 19.55.46

Le modèle mathématique de Madame Zharkova fait des projections sur les 2000 années à venir et l’avenir proche, disons à court et moyen terme, n’est pas vraiment rassurant. On s’achemine vers une longue accalmie magnétique du Soleil, donc vers de la froidure durable et insupportable jusqu’aux alentours des années 2060, je vais en reparler, mais loin de moi l’idée de faire dire à Madame Zharkova ce qu’elle n’a pas dit dans ses publications scientifiques à propos du climat car ce n’est pas le climat qui est le sujet de ses travaux.

Les travaux de Lockwood que j’ai mentionné dans un précédent billet (voir le lien) et qui étaient déduits strictement des observations terrestres sont donc pleinement confirmés par ce dépouillement mathématique des observations de l’observatoire Wilcox. Quant aux effets de marée putatifs de Jupiter sur le champ magnétique solaire, Madame Zharkova n’y croit pas car l’amplitude de ces effets qu’on ne peut supputer que par la mécanique céleste, c’est-à-dire le mouvement des planètes, est beaucoup trop faible pour qu’on puisse en attendre une incidence significative sur les mouvements internes de matière solaire et donc sur la « dynamo solaire ».

Ç’en est donc terminé avec le bluff et l’intoxication de l’IPCC, de Greenpeace et de tous les autres groupuscules écologistes qui versent dans un malthusianisme sordide et qui ont converti des politiciens crédules et stupides à une reconversion énergétique exempte de CO2 extrêmement coûteuse et inefficace car ce gaz n’a rien à voir avec les variations climatiques, seul le Soleil est en cause ! Dans moins de dix ans le COP21 de la fin de l’année sera ridiculisé ainsi que tous les climatologues autoproclamés et aussi tous les écologistes marxisants et nostalgiques d’un passé sans électricité et sans pétrole et encore plus les politiciens dont Mademoiselle Ségolène qui se pavane royalement d’avance en pensant à ce grand raout qui sera le couronnement de sa carrière de politicienne. Toutes ces histoires de CO2, de méthane, de volcanisme bien venu pour expliquer l’inexplicable, la fonte des banquises, la disparition des ours blancs et des neiges du Kilimanjaro et la submersion des atolls de Polynésie ou de Micronésie, l’acidification des océans et les courbes en crosse de hockey, ce n’est que de l’intoxication idéologique. Il ne suffit que de quelques watts, sur 1360 en moyenne, de diminution de l’irradiance solaire par mètre carré (au niveau des tropiques) pour que le climat change complètement et cette fois ça va être du sérieux.

En 2025, dans seulement dix ans, il commencera déjà à faire vraiment froid, le climat de Stockholm à Paris, et celui de Paris à Alger ou Naples, difficile à imaginer, et pourtant …

Il n’y a donc maintenant plus aucun doute, le climat va devenir glacial et il est urgent de se préparer à ce changement climatique à l’évidence duquel il faut se rendre et sans tarder car il y a un réel danger pour l’équilibre géopolitique global. Imaginez une plaine de Beauce où on ne peut plus faire pousser de blé tendre : plus de blé, plus de pain, souvenons-nous de la famine de 1787-1788 qui fut l’un des éléments à l’origine de la révolution française ! Plus de maïs, c’est certain, les champs de maïs seront devenus un vieux souvenir, mais aussi plus de vignes en Champagne ou en Alsace, ni dans le Val de Loire ni en Bourgogne. Je me permets de rappeller ici que durant l’optimum climatique médiéval on cultivait la vigne en Grande-Bretagne presque jusqu’en Ecosse … Pour les fruits et les légumes, autant dire que ce sera la portion congrue car ils coûteront une fortune. Comme en 1956 tous les oliviers du sud de la France auront gelé et disparu, plusieurs hivers rigoureux auront eu raison de ces arbres parfois multicentenaires …

Le refroidissement climatique précisément déductible des travaux de Zharkova ou encore de Lockwood aura donc des conséquences primaires sur l’agriculture et les circuits de production et sur toute l’alimentation disponible non pas seulement en France mais aussi dans toute l’Europe, l’Amérique du Nord, la Chine ou encore le Japon sans oublier l’Argentine, l’Afrique du Sud et la moitié méridionale de l’Australie car toute la planète sera assujettie à ce refroidissement à l’exception des zones intertropicales.

On peut imaginer sans peine que la quête de nourriture alimentera des conflits armés meurtriers inévitables partout dans le monde non pas motivés pour la domination de ressources minières, diamantifères ou pétrolières mais pour avoir accès à la nourriture. On ne travaillera plus que pour se nourrir tant les aliments de base seront devenus hors de prix. Des centaines de millions de personnes chercheront à se nourrir à n’importe quel prix quitte à verser dans l’anthropophagie : quand on a faim on est prêt à tout, jusqu’à occire le premier quidam venu pour lui ôter le pain de la bouche ou le manger tout cru ! C’est peut-être un peu sombre comme tableau mais ce n’est pas éloigné de la réalité qui va survenir dans dix ans, quinze ans au plus tard, alors que les politiciens, les décideurs, les financiers, sont prisonniers d’une écologie idéologique aberrante et réellement criminelle en regard des conclusions qu’on est en droit de déduire de cet article de Valentina Zharkova même si cette dernière désapprouvera mon interprétation et ma prise de position.

Je suis un blogueur libre et j’exprime mon opinion librement. Je ne suis inféodé à aucun groupe d’intérêt, je n’ai jamais fait appel à mes lecteurs pour un quelconque soutien financier. En conséquence quand je lis un article scientifique de haute tenue je suis également libre de l’analyser mais toujours avec la plus ferme honnêteté, puis de formuler une opinion et d’en faire part à mes lecteurs …

Je pense à mes enfants qui vont avoir une fin de vie difficile mais je n’ose même pas imaginer comment mes petits-enfants vivront dans 30 ou 40 ans car tout de même on ne pourra pas tous émigrer vers les tropiques ça risquerait de devenir à l’évidence invivable ! Pour conclure je voudrais que mes lecteurs diffusent largement ce billet car il devient urgent de contrecarrer les visées criminelles des écologistes et de l’IPCC.

Pour vous apporter une dernière preuve de la désinformation organisée par les sbires de l’IPCC et des organisations écologistes, le site Wikipedia n’est plus que l’ombre de lui-même quand on tente de se documenter sur le climat. Allez faire une recherche sur le minimum de Maunder et vous serez édifié par le niveau de propagande et de caviardisation orchestrée par ces tenants du réchauffement climatique, c’est édifiant ! On y lit, je cite (à propos du minimum de Maunder) : « aucun mécanisme convaincant n’a été proposé pour l’activité solaire qui puisse expliquer les températures inférieures à la normale » et plus loin : « l’hypothèse couramment admise est que la cause du minimum de Maunder est l’activité volcanique », traduit de l’anglais, et si vous ne me croyez pas allez sur ce lien s’il est toujours valide https://en.wikipedia.org/wiki/Maunder_Minimum , honte à ce site qui a abandonné toute probité scientifique et consent à faire de la propagande « climatique » gratuite pour l’IPCC, Greenpeace et les autres groupuscules écologistes …

Sources : http://computing.unn.ac.uk/staff/slmv5/kinetics/shepherd_etal_apj14_795_1_46.pdf

http://www.ann-geophys.net/31/2023/2013/angeo-31-2023-2013.html

http://www.swpc.noaa.gov/products/solar-cycle-progression

source de l’article : https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/03/03/warming-or-cooling-that-is-the-question/ http://wso.stanford.edu/daily/mag.latest.ps et communications personnelles de Valentina Zharkova.

source notes, et suite

 

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