5ème sceau de l’Apocalypse définitivement ouvert en Afrique…

Mali : le nord du pays est depuis des mois sous le contrôle des extrémistes islamiques

Les chrétiens en fuite du Mali, Bamako, le 29 août.Un camp de réfugié en territoire algérien

Les chrétiens fuient les zones du nord du Mali, depuis des mois entre les mains des groupes fondamentalistes islamiques. L’alarme a été lancée par le journal algérien « El Khabar », qui parle sans mot couvert de la fuite de près de 200.000 personnes, notamment vers les camps de réfugiés en Mauritanie et en Algérie, qui accueillent déjà des dizaines de milliers de réfugiés et de déplacés à cause du conflit des mois derniers contre les touaregs. Dans l’Etat d’Azawad, depuis des semaines sous le contrôle des extrémistes salafistes liés au groupe terroriste d’Al Qaeda, le drame des chrétiens qui fuient les violences prend jour après jour des dimensions toujours plus préoccupantes.  ICI sur osservatore romano…

Cinq églises pillées et brûlées par des islamistes au Kenya

août 28, 2012
Depuis hier, des émeutes secouent la ville de Mombasa au Kenya. À l’origine de ces violences, la “révolvérisation” d’un prêcheur islamiste, Aboud Rogo Mohammed, étroitement lié au groupe islamiste terroriste somalien, violemment antichrétien, Shebab ou al-Shabbab . Sous le fallacieux prétexte que c’étaient des chrétiens qui avaient tué leur gourou, plusieurs centaines de jeunes fanatiques de ce prêcheur s’en sont pris à des lieux de culte chrétien : cinq églises ont été pillées et brûlées. Les responsables chrétiens de Mombasa exigent du gouvernement kenyan qu’il protège les chrétiens et des responsables musulmans qu’ils s’excusent publiquement des exactions de leurs coreligionnaires. C’est la moindre des choses.
 

Crucifixions en Égypte et sort des Coptes

août 22, 2012
Malgré les sourires de Morsi, le temps de la taqîya (lire la suite pour savoir ce qu’est la taqiyya!)  s’achève pour les chrétiens d’ÉgypteDe plus en plus d’organes de presse et d’instituts spécialisés américains confirment les abominations que nous avons rapportées. Dans un article du 20 août, The Christian Post rapporte les cas déjà signalés et précise : « Les chrétiens égyptiens et d’autres minorités religieuses sont soumis à cette forme archaïque de mise à mort parce que les musulmans radicaux suivent la doctrine islamique qui permet que les ennemis d’Allah soient crucifiés ». The Christian Post cite une déclaration à Sky News d’une experte américaine, Clare Lopez, agrégée supérieure en recherches (senior fellow) du Center for Security Policy de Washington D.C. : « La crucifixion est une punition hadd [fixée par la sharia] stipulée dans le Coran 5, 33 [« La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment »], et par conséquent partie intégrante de la sharia (…) C’est une punition traditionnelle en islam depuis le commencement (…) Ainsi, les Frères Musulmans égyptiens n’ont pas le choix de ne pas inclure la crucifixion dans leur code pénal. Il est obligatoire de se soumettre à la sharia ». Clare Lopez avertit les chrétiens coptes de quitter le pays, car elle est inquiète de la détérioration constante de la situation et que plus de sang va encore être répandu : « Les Coptes doivent partir d’Égypte le plus vite possible, car pour ces millions qui ne pourront pas partir, je m’attends à ce que la situation continue à se dégrader, à l’instar de ce qui s’est passé pour les juifs d’Allemagne et d’Europe à partir des années 1930 ».

suivre ces persécutions au jour le jour : ICI, sur l’observatoire de la christianophobie !

 

L’islam doit apparaître aux non-musulmans comme une religion bien paradoxale. D’un côté, on ne cesse de la présenter comme la religion de la paix et, de l’autre, ses membres sont responsables de la majorité des actes terroristes dans le monde. Les apologistes de l’islam soulignent que cette foi se fonde sur une grande exigence éthique. Les autres constatent qu’il s’agit d’une religion légaliste. La dualité des critères de vérité et de fausseté dans l’islam révèle une nature paradoxale : car si le Coran est contre les croyants qui trompent d’autres croyants (en vertu du fait que « Allah ne guide pas celui qui est outrancier et menteur » (1), la tromperie aux dépens des non-musulmans, généralement appelée, en arabe, taqiyya, reçoit également l’approbation coranique et fait partie des actes légalement permis aux musulmans.

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