Le cheikh Mohammed Ahmed Hussein prétend que la mosquée Al-Aqsa se trouve « depuis la création du monde » sur le lieu saint
Le cheikh Mohammed Ahmed Hussein a déclaré dans un entretien en arabe avec la Deuxième chaîne israélienne que le site, considéré comme le troisième lieu le plus saint en Islam et le plus saint du judaïsme, était une mosquée « il y a 3000 ans, et il y a 30 000 ans », et l’est « depuis la création du monde ».
Hussein occupe le poste de mufti depuis 2006 ; il a été nommé par le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Par le passé, il avait soutenu les attentats suicides contre les Israéliens.
Il a fermement nié qu’il y avait eu un sanctuaire juif au sommet du mont du Temple, malgré les preuves archéologiques et textuelles riches qui indiquent le contraire, y compris dans les sources musulmanes. L’historien musulman du 10e siècle, Mohammed ibn Ahmad Shams al-Din al-Muqaddasi, a écrit dans sa description de la Syrie et de la Palestine que « dans Jérusalem se trouve l’art oratoire de David et sa porte ; il y a les merveilles de Salomon et ses villes », et que les fondations de la mosquée Al-Aqsa « ont été posées par David ».
Un guide du Haram al-Sharif, le nom du mont du Temple en Arabe, publié par le Waqf musulman en 1924 a également mentionné la présence de deux temples juifs au sommet de l’enceinte dans l’antiquité.
Au moins quatre inscriptions du Temple d’Hérode, détruit par les Romains en l’an 70 avant l’ère chrétienne, attestent de la présence d’un temple juif au sommet de l’esplanadee qu’il avait mise en place il y a 2 000 ans.
NdlR : si ! désolé… il a même été relevé en 3 jours !
Notre Mont du Temple
Tout commence sur le Mont du Temple. Les arabes se disent que si nous sommes prêts à céder sur l’emplacement le plus sacré du peuple juif, si nous sommes prêts à nous interdire à nous même un libre accès au cœur de notre capitale, cela signifie que nous serons également capables de quitter les autres lieux saints et donc toute la Terre promise et donnée par l’Eternel à son peuple.
Binyamin Netanyahou interdit aux ministres et députés *juifs* de monter sur le Mont du Temple. Les députés arabes, par contre, ceux qui incitent à la haine, répandent des mensonges, appellent à « libérer Al Aqsa », peuvent continuer à le faire impunément.
Dans un conflit aussi symbolique que celui auquel nous nous mesurons depuis plus de 150 ans, chaque décision à une portée symbolique.
Et là, ma foi, cette décision signifie: nous ne sommes pas chez nous à Jerusalem. Et surtout, elle laisse entendre que ce sont les Juifs qui sont responsables de l’escalade de la violence. Laly Derai
par Jacques Kupfer
Le chofar a retentit et cette déclaration historique a résonné :
« Le Mont du Temple est entre nos mains ». C’est alors que Moche Dayan en remit les clefs au Waqf, cette « autorité » musulmane illégitime en Israël. Comme toutes ces mesures destinées à nous attirer les bonnes grâces du monde « civilisé » et à calmer les arabes, le résultat fut à l’inverse. Elles n’ont réussi en fait qu’à établir le doute sur les droits fondamentaux du peuple juif sur sa terre.
Effectivement un peuple qui pleure depuis deux millénaires sur son patrimoine perdu et qui accepte de le remettre entre les mains de ses ennemis suscite des doutes sur sa légitimité.
Les signataires des dramatiques accords d’Oslo, prêts à remettre Bethlehem et le tombeau de Rachel entre les mains de nos ennemis, abandonnant le tombeau de Joseph et de Josué aux mains des sbires d’Arafat, ont édulcoré le lien historique du peuple juif avec la Terre d’Israël. Ils ont risqué la perte de la légitimité qui était jusqu’alors reconnue aux enfants d’Israël.
Lorsqu’on est propriétaire, il faut savoir se comporter comme tel nous enseignait Zeev Jabotinsky. En effet, si le propriétaire n’exerce pas ses droits, le squatter s’installe et prétend que la maison lui appartient. Il doit être immédiatement expulsé ou bien il finira par faire croire qu’il est réellement chez lui.
Jérusalem n’est pas citée une seule fois dans le coran, Jérusalem n’a jamais été la capitale des conquérants musulmans mais une petite bourgade délaissée, livrée au chaos sordide. L’islam n’a aucun lien avec Jérusalem. Entendre ces musulmans nous parler de la sainteté de ce lieu qu’ils osent appeler « l’esplanade des mosquées » (comme les journalistes d’I24 qui semblent émettre de Ramallah et non de Jaffa) ne les empêche pas d’y stocker des armes, y lancer des bouteilles incendiaires, commettre des délits et des meurtres.
Le ridicule de ces dirigeants qui, adeptes de la politique de dhimmi , nous appellent à la retenue et au statuquo sur le Mont du Temple comme le président Hollande ne fait qu’exacerber les instincts meurtriers des foules arabes. Ils avaient cru pouvoir regarder en spectateurs les détournements d’avions israéliens, les émeutes arabes, les intifada, les attentats sanglants et le résultat fut que tout cela leur est arrivé chez eux. L’islam de France ne réclamera pas seulement les églises désaffectées mais exigera les cathédrales en modifiant l’histoire comme ils savent le faire. Admettre que le Mont du Temple n’est qu’une esplanade de mosquées, couvrir le négationnisme musulman se retournera contre l’occident.
Un Juif n’aurait pas le droit de prier là où se dressait notre Temple et où nos ancêtres priaient quand les aïeux de ces arabes, pour paraphraser Disraeli, ne savaient pas que l’écriture existait !
Un Juif qui bouge ses lèvres est immédiatement poursuivi par les nervis du Waqf et la police israélienne doit le retirer du Mont pour préserver le calme.
Le roi d’Arabie Saoudite vient nous donner des leçons et exiger notre départ du Mont du Temple. Les leçons de civilité et de tolérance de ce potentat dans le pays duquel aucune synagogue ni église ne pourraient être construites, ne manque pas d’humour. Entre une visite au marché d’esclaves et une exécution publique, entre une présidence de la commission des Droits de l’Homme et le financement de terroristes, le roi d’Arabie peut se permettre de donner des leçons !
Le roitelet fantoche de Transjordanie installé par les Britanniques sur les trois quarts de la Palestine mandataire destinée à devenir un Etat juif, ose parler de droits . Nul n’a protesté lorsque les Juifs ne pouvaient aller prier devant le mur occidental, pas un mot sur les barbares arabes qui ont dévasté les synagogues vénérables, utilisé les pierres tombales juives pour leurs maisons et leurs latrines. Pas une réprimande de l’ONU consacrée à ces exactions.
Mais en fait, nous sommes les seuls responsables car nous pratiquons cette dramatique politique de conciliation aux dépens de nos droits. Le Mont du Temple représente le lieu où doit s’affirmer la souveraineté juive et rétablir notre souveraineté sur toute la terre d’Israël. En fait notre tolérance disproportionnée est prise pour de la folie, notre humanisme exagéré pour de la faiblesse, notre hospitalité pour de la permissivité, notre démocratie pour des pulsions suicidaires, notre générosité pour des défaillances à agir.
Tout commence sur le Mont du Temple. Les arabes se disent que si nous sommes prêts à céder sur l’emplacement le plus sacré du peuple juif, si nous sommes prêts à nous interdire à nous même un libre accès au cœur de notre capitale, cela signifie que nous serons également capables de quitter les autres lieux saints et donc toute la Terre promise et donnée par l’Eternel à son peuple.
Si les invectives, leurs insultes, les menaces de sortir le monde musulman dans la rue ont réussi à nous priver du Mont du Temple, alors les jets de rocs, les attentats réussiront à nous effrayer. Les derniers attentats des barbares arabes assassinant des parents dans une voiture, blessant des conducteurs juifs, poignardant des Juifs allant prier sont le résultat de notre incapacité à leur parler le seul langage qui leur soit accessible : celui de la force même si des « dommages collatéraux » interviendront. Nous sommes en guerre et en première ligne de défense de la civilisation.
Le message doit devenir clair et leur dire qu’il n’y aura plus d’orphelins juifs sur notre Terre de leur fait. A chaque larme d’un enfant juif orphelin doit répondre le sang ennemi. Mahmoud Abbas, ce grand ami d’Obama et de Hollande, n’a pas daigné condamner ces attentats contre des civils innocents sauf du crime d’être nés juifs. Il est temps de cesser de lui parler comme à un personnage fréquentable et le traiter en ennemi. Il est temps de déclarer qu’il n’y aura jamais de partage de la Terre d’Israël et aucun état arabe « palestinien » n’existera jamais. Il est temps de déclarer que les arabes vivant sur notre terre peuvent librement émigrer dans cette Europe qui les adule. Il est temps de donner à nos soldats des ordres précis pour viser la tête et non les cieux ou les jambes des terroristes. Il est temps de mettre un terme au défaitisme de juges dont seule l’ignorance de la réalité sur le terrain est « suprême ». Il est temps de retirer le droit de vote aux arabes qui ont envoyé à la Knesseth des députés ennemis de notre Etat.
Assez de trembler devant une nouvelle initiative arabe présentée par le vassal qu’est devenue la France à l’ONU, assez de s’inquiéter d’un éventuel refus de veto américain d’un Obama qui sert les intérêts iraniens, assez de freiner l’histoire juive et la réalisation sioniste.
Menahem Begin le proclamait :
« Nous sommes ici par la force du Droit et non par le droit de la force ».
Pour ceux qui n’auraient pas compris, le Droit et la Force doivent être réunis, et j’attends du Premier Ministre qu’il déclare « urbi et orbi » que le Mont du Temple est restitué à son seul et unique légitime propriétaire, maintenant et pour l’éternité : le Peuple Juif !
Tout cela sera possible avec une seule décision nécessitant de la volonté et du courage dans les actes et pas seulement en paroles, une seule décision qui enverra un message que le monde et les ennemis comprendront :
Ouvrez le Mont du Temple aux Juifs et annoncez de nouveau que
« Le Mont du Temple est entre nos mains ».
Note – On rappelle que la mosquée Al-aqsa (la lointaine) fut construite bien après la mort de Muhammad en 632. Al Aqsa ou la Mosquée d’Omar a été construite en l’honneur du 2ème calife Omar Ibn al Qattab, celui qui a envahit à l’époque la « palestine » des byzantins en 638. Cette mosquée a été construite quelques 80 ans après la mort de Muhammad. A cette même époque aucun édifice religieux n’existe sur le mont du temple qui avait été transformé en décharge publique par les byzantins. Ce n’est que bien plus tard que les musulmans imaginèrent qu’Al Aqsa avait un quelconque rapport avec le rêve de Muhammad se voyant voyager la nuit sur sa jument ailée pour aller à la lointaine mosquée (sourate 17). Ce qui est d’une ineptie sans nom puisque aucune mosquée n’existait à Jérusalem, et que le nom même de Jérusalem n’est pas mentionné une seule fois dans le Coran. Cette Mosquée a été souvent laissé à l’abandon, ainsi que le dôme du Rocher, les musulmans n’y prêtant guère attention. La propagande mensongère du Mufti de Jérusalem allait donné un faux argument à tous ceux qui par la suite ont voulu embraser les foules musulmanes pour répandre la terreur. Abbas le fait encore aujourd’hui.