En Martinique et en Guadeloupe, réquisition des stocks d’ivermectine pour forcer à la vaccination
Un peu trop résistants pour Olivier Véran : Guadeloupéens et Martiniquais ne se pressent pas pour se faire injecter un produit en phase de test. Dans le climat de mensonge, les Antillais ne sont pas épargnés, bien au contraire. C’est ce que dénonce le député martiniquais, Jean-Philippe Nilor, dans une vidéo postée sur Facebook :
« Au lendemain de la visite éclair de deux ministres, il y a de quoi être interpellé. De toute évidence ces ministres ne sont pas venus pour voir, pour comprendre, pour écouter… mais pour nous asséner un discours bien rodé, bien préparé depuis Paris. Et ce discours répond à deux objectifs majeurs. Le premier c’est de nous culpabiliser, c’est à cause de nous, car nous ne sommes pas assez vaccinés…
Le deuxième objectif, c’est de valoriser l’action de la France qui vient nous sauver, nous les irresponsables. Le ministre de la Santé va plus loin contre les élus qui ne relaieraient pas clairement le discours pro-vaccination forcée et ces élus seraient tenus responsables de la situation.
Mais qui est responsable de la gestion des hôpitaux ? Qui est responsable du fait que ces hôpitaux en Martinique et en Guadeloupe sont sous-dotés ? Qui est responsable du fait qu’au début de la crise, on se soit retrouvés en rupture de stock d’oxygène ? Des personnes sont décédées par manque d’oxygène ! Qui est responsable, alors même que des protocoles existent avec l’ivermectine, le zinc… qui permettent de réduire les risques de développer une forme grave de la maladie ? Pourquoi aujourd’hui, en Martinique et en Guadeloupe, nous nous retrouvons en rupture de stock d’ivermectine ? Pourquoi ?
Et plutôt que de réapprovisionner les pharmacies en ivermectine ou autres médicaments alternatifs, on envoie deux cents militaires, qui, comble du paradoxe, ne sont pas vaccinés. Nous n’avons de leçons à recevoir de personne, et surtout pas de ceux qui ne font rien en amont pour empêcher que la situation se détériore ; de ceux qui ne font rien en amont pour permettre aux soignants de soigner. Nou là, nou doubout ! Tchimbé raid pa moli ! (Traduction : Nous sommes là, debout ! Tenez bon, ne faiblissez pas !) »
L’ivermectine semble être l’ennemi à abattre, pire que le covid-19, de sorte que les stocks d’ivermectine ont été réquisitionnés. Voici maintenant le témoignage d’une femme vivant en Martinique.
« Tous les stocks d’ivermectine ont été réquisitionnés par l’Etat, par le biais de la gendarmerie, dans toutes les pharmacies. Puisque les médecins commençaient à prescrire l’ivermectine, l’azithromycine et tous les protocoles qui empêchent les gens d’aller à l’hôpital. Voilà la situation réelle en Martinique. Tout est fait pour que cela dégénère, pour que l’on soit un exemple et dire : ils ne sont pas vaccinés, regardez, ils meurent ! C’est faux puisque nous sommes la 17e région de France en terme de taux de mortalité, ça veut dire l’avant-dernière, celle où il y a le moins de mortalité. Donc le confinement est une punition politique, parce que les gens ne se vaccinent pas ici. Autre chose qu’on ne vous dit pas en France, c’est que nous avons une grosse épidémie de dengue, les gens meurent de la dengue et on le met sur le compte du covid. Ne vous inquiétez pas ! en Martinique, les morts ne jonchent pas les rues. »
Vous l’aurez compris, tout est très bien organisé pour que le chaos s’installe aux Antilles, afin de justifier la vaccination et faire taire les récalcitrants avec l’aide malveillante des médias prêts à compter les morts qu’ils fabriquent.