Le parti musulman de France vise les présidentielles 2017…

France: un parti musulman va participer aux élections départementales en mars
Un parti musulman qui veut promouvoir la finance islamique va présenter plusieurs candidats aux élections départementales de mars prochain en France, a-t-on appris jeudi auprès de son fondateur, Najib Azergui.L’Union des démocrates musulmans de France (UDMF), qui revendique près de 900 adhérents et 8.000 sympathisants, touche un public de « Français de confession musulmane pour la plupart, qui ne se reconnaissent pas dans l’offre politique » actuelle et veulent « sortir du bipartisme », a déclaré à l’AFP M. Azergui. »Il y a une place pour ce parti », entre la droite, coupable de « discrimination », et la gauche, rejetée pour son « instrumentalisation » du vote arabo-musulman, a ajouté ce formateur en nouvelles technologies.« Notre ambition est d’être au rendez-vous en 2017 », lors de la prochaine élection présidentielle, déclare M. Azergui.  

Le parti emprunte ses thèmes à la droite et à la gauche, conservateur sur le plan sociétal mais antilibéral sur le plan économique et social. Il se veut non confessionnel, à l’instar du parti chrétien-démocrate (centre-droit) de Christine Boutin, dont il dit suivre l’exemple. L’UDMF se dit favorable au droit de vote des étrangers aux élections locales, pour l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne et veut revenir – sans le dire clairement – sur l’interdiction du port du voile à l’école.

Affirmant que certains « épisodes tragiques » de l’histoire de France comme la guerre d’Algérie ou la colonisation sont « passés sous silence » dans les programmes scolaires, il milite pour leur enseignement et pour celui de la langue arabe, « injustement bannie » du secondaire. Pourfendeur de « l’austérité », il entend promouvoir la finance islamique, qui proscrit les intérêts, conçue comme une alternative « éthique » à la finance traditionnelle et un moyen d’enrayer de futures crises. Il souhaite aussi faire de la France un des « leaders mondiaux » sur le marché de l’alimentation « halal ».

Cette formation née en novembre 2012 a présenté des candidats dans six régions françaises en vue des élections des 22 et 29 mars, dont deux à Bobigny, banlieue parisienne où une forte proportion de la population est issue de l’immigration.

« Aujourd’hui, dans un contexte dramatique comme celui que nous connaissons, nous avons davantage besoin d’entendre nos voix trop longtemps noyées dans le silence », expose Khalid Majid, un cadre commercial de 36 ans candidat à Bobigny, dans sa profession de foi, publiée sur le site internet du parti.

« C’est un combat essentiel pour lutter contre les stigmatisations et amalgames dangereux qui associent terrorisme et islam », ajoute-t-il.

L’UDMF a un précédent, le Parti des musulmans de France, créé en 1997 à Strasbourg. Son président, Mohamed Latrèche, avait obtenu 0,92% des voix aux élections législatives de 2007. Le nombre de musulmans en France est estimé entre 3,5 et 5 millions.

Avec AFP

Avec l’Union des musulmans démocrates, l’islamisation de la France est inexorable

Avec l’Union des musulmans démocrates, l’islamisation de la France est inexorable

L’islam est un marchand d’illusions, un mystificateur et un usurpateur. Avec lui la France n’est pas au bout de ses surprises après les attentats meurtriers qui l’ont ébranlée qui portaient sa signature sans qu’il soit nommément mis en cause, le voilà qu’il vient polluer de sa intrusion son paysage politique avec le lancement du parti de l’islam dans l’arène politique. Ledit parti présente au nom de la démocratie musulmane -ce n’est pas une farce c’est certifié 100% halal-ses candidats aux prochaines élections départementales ex-cantonales.

Ce parti prétend avoir 900 adhérents mais au vu de son vivier électoral et grâce aux relais des mosquées et les réseaux sociaux il ne va pas tarder de devenir le premier parti de France et faire ainsi un pied de nez à tous les idiots utiles de l’islam qui nient l’existence du vote communautaire.

Un musulman qu’Allah a élevé au-dessus de tous les êtres humains ne peut et ne peut et ne doit voter que pour un candidat musulman et non pas pour un égaré dans la voie d’Allah. Il commettrait un sacrilège si jamais il investit de sa confiance et apporter sa voix à des non-musulmans même s’ils sont des islamo-compatibles : C’est illicite car cela veut dire qu’il leur fait confiance et allégeance alors qu’Allah dit: « Ô les Croyants! N’adoptez par pour alliés ceux qui prennent en raillerie et jeu votre religion, parmi ceux à qui le livre fut donné avant vous et parmi les mécréants. Et craignez Allah si vous êtes croyants. » (sourate 5/verset 57).

Les électeurs musulmans ce qui est déjà en soi une hérésie doivent choisir parmi les candidats musulmans ceux qui leur paraissent les plus dignes, aptes, qualifiés et qui ont le sens des intérêts de leur communauté. Un élu musulman ne doit pas oeuvrer pour le bien de la collectivité plurielle, seuls priment dans le cadre de son action politique qui doit être fidèle aux prescrits coraniques les aspirations de ses coreligionnaires. Un nazi ne pouvait pas voter pour un juif de même qu’un musulman – malgré son incapacité et sa faiblesse – est jugé meilleur que l’insoumis à Allah au coeur rempli de rancune et de mépris à leurs égards : « Et certes, un esclave croyant vaut mieux qu’un associateur même s’il vous enchante. » (sourate 2/verset 221)

Il faut savoir aussi que l’élection du non-musulman – et lui donner primauté – est considérée comme accorder une voie aux mécréants contre les croyants, ce qui est interdit ! Allah dit: « Et jamais Allah ne donnera une voie aux mécréants contre les croyants. » (sourate 4/verset 141)

Il n’y a pas de plus clair pour convaincre ceux qui drapent les musulmans dans la vertu de la démocratie électorale et balayer d’un revers de la main le leitmotiv des musulmans aussi menteurs et fourbes qu’un arracheur de dents sur la démocratie chrétienne : « Si les chrétiens sont démocrates nous le sommes aussi. » Or, les chrétiens ne sont pas en contradiction avec le message originel de leur religion qui séparent le profane du sacré. Le Christ n’était ni un chef de guerre, ni un chef d’Etat, ni un assassin, ni un malfrat, et n’a prêché ni la violence, ni le racisme, ni le suprématisme, ni la haine entre les hommes contrairement à Mahomet.

Les chrétiens ne sont pas nourris au biberon de l’abhorration des valeurs de la république et de la laïcité à la différence notoire des musulmans. Etre chrétien est aussi être maître de ses choix politiques et acteur de plein droit dans la vie sociale, c’est le refus du fatalisme, de la misère et de la pauvreté. Comparer le christianisme à l’islam c’est faire fi des nombreuses réformes et innovations sociales réalisées par le Vatican dont la fameuse encyclique Rerum Novarum publiée le 15 mai 1991 sous Léon XIII qui marque l’ouverture de l’Eglise sur les questions sociales, ouvrières et syndicales. L’islam n’a jamais connu l’ombre d’une réforme, comment peut-on envisager une démocratisation de ses institutions alors que c’est la main invisible d’Allah qui gouverne la vie des hommes dans les moindres petits détails ? L’homme n’a pas à briser les chaînes dont il est entravées car cela consisterait à à commettre une Fitna, une révolte ? Il est condamné à la résignation et à l’immobilisme, il ne doit pas changer les cours de l’évolution de sa vie.

Etre musulman est d’accepter le sort quelque soit le degré de son amertume qu’Allah lui a dévolu. Etre musulman c’est aussi le refus de la démocratie et la laïcité.

C’est l’islam qui fait les amalgames entre les différentes sphères des pouvoirs et non pas ceux qui doutent de l’innocence de l’islam et de sa neutralité politique. L’islam a fait de ses fidèles des bombes à neutron pour asservir l’humanité et détruire tous les modes de pensée qui ne sont pas de son bord. Comment peut-on imaginer que la démocratie fait la paire avec l’islam alors que la première veut mettre l’homme au coeur de la vie de la cité et le second fait d’Allah le seul et unique maître de la vie des hommes. Ils ne peuvent ni se juxtaposer, ni se superposer, ils ont tous les deux des propriétés antinomiques. Autant la démocratie n’est pas mortelle pour l’islam où il y a de place chez elle pour tous les hommes qui aspirent à vivre ensemble autant ce dernier est un poison mortel non pas seulement pour la démocratie mais pour toute l’humanité qui ne croit pas en lui. L’islam ne reconnaît qu’une seule logique de la cohabitation harmonieuse entre les hommes celle qui consiste à nier les droits à la différence et à la liberté de pensée et de convictions
Des islamo-compatibles, des naïfs et tous ceux qui draguent les voix des musulmans ne manqueront de se faire les avocats de ce parti de l’islam appelé l’Union des musulmans démocrates en plaidant la cause de ce nouveau-né en insistant sur son caractère républicain et inoffensif avec un certain scepticisme dissimulé en espérant qu’il sera un mort-né. La chute de Byzance s’est faite par la ruse et un musulman ne s’avoue jamais vaincu tant qu’il n’a pas piégé sa proie. Ce parti à caractère religieux n’aurait jamais dû bénéficier de l’autorisation préfectorale.

Au point où nous en sommes pourquoi pas un parti des Témoins de Jéhovah démocrates, des Juifs démocrates, des Bouddhistes démocrates, des Animistes démocrates, des Athées démocrates et pourtant leurs systèmes de pensée ou de croyance sont compatibles avec les valeurs de la République contrairement à l’islam qui est un danger mortel pour les fondements de la République ?

L’islam se veut religion, Etat et monde, où l’homme n’a pas voix au chapitre, il doit suivre au long de sa vie la voie qu’Allah lui a tracée, il n’a pas à être ni une force de proposition, ni à discuter du choix du modèle de société qui lui convient. L’islam est lui-même un mode de gouvernance politique qui exige de ses fidèles une allégeance totale et absolue. Prôner la démocratie c’est s’éloigner de la voie de l’islam et par conséquent commettre une hérésie punissable de la peine de mort.

En revanche, il est permis aux musulmans de tromper son auditoire en arborant tous les masques de circonstances selon les besoins de la cause de l’islam. Ce parti qui est une insulte à la démocratie est moins guidé par les intérêts de la France que par les intérêts de l’islam.

La démocratie française est entrain de signer son propre arrêt de mort en laissant proliférer en son sein la cancer de l’islam.

https://salembenammar.wordpress.com/2015/02/13/avec-lunion-des-musulmans-democrates-lislamisation-de-la-france-est-inexorable/

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L’Union des Musulmans veut imposer l’Islam par la démocratie

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Départementales 2015 : un parti musulman sur les rangs dans 8 cantons.

Le Point – Publié le

Houellebecq l’a rêvé, l’UDMF le fait : non pour prendre le pouvoir en France, mais pour faire entendre la voix des musulmans, « noyée dans le silence ».

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L’Union des musulmans de France, qui revendique 900 adhérents, a déjà un élu à Bobigny. (Photo d’illustration) © Jean-Philippe Ksiazek/AFP

Dans son dernier roman, Soumission, Michel Houellebecq imagine l’arrivée au pouvoir d’une formation baptisée Fraternité musulmane. Un scénario qui relève de la « politique-fiction » pour la plupart des politologues. Cependant, un parti musulman, l’Union des démocrates musulmans de France (UDMF), va présenter plusieurs candidats aux élections départementales, notamment à Bobigny, seule mairie de France où siège déjà un élu UDMF, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.

Dirigé par Najib Azergui, qui dit s’inspirer de l’exemple du parti chrétien-démocrate de Christine Boutin, l’UDMF entend notamment promouvoir la finance islamique, conçue comme une alternative « éthique » à la finance traditionnelle et un moyen d’enrayer de futures crises. Il se dit favorable au droit de vote aux élections locales pour les étrangers et veut revenir sur l’interdiction du port du voile à l’école. Estimant aussi que certains « épisodes tragiques » (Algérie, colonisation, etc.) de l’histoire de France sont « passés sous silence » dans les programmes scolaires, il milite pour leur enseignement ainsi que pour celui de la langue arabe, injustement « bannie » du secondaire.

« Nos voix trop longtemps noyées dans le silence »

Pour le canton de Bobigny, l’UDMF a présenté Khalid Majid, 36 ans, cadre commercial à la SNCF, et Schérazade Benhaddad, 34 ans, une militante associative secrétaire de la section locale du parti, qui a ouvert trois sections en Seine-Saint-Denis. « Aujourd’hui, dans un contexte dramatique comme celui que nous connaissons, nous avons davantage besoin d’entendre nos voix trop longtemps noyées dans le silence », explique M. Majid dans sa profession de foi, publiée sur le site internet de la section. « C’est un combat essentiel pour lutter contre les stigmatisations et amalgames dangereux qui associent terrorisme et islam », ajoute-t-il.

Lors des élections municipales de 2013, Hocine Hebbali a été élu sous l’étiquette UDMF sur la liste UDI conduite par Stéphane de Paoli à Bobigny. À ce jour seul élu que compte ce parti lancé en 2012, il est conseiller municipal délégué à l’histoire locale et aux mémoires.

La liste conduite par Stéphane de Paoli s’était appuyée sur le vote de la communauté musulmane pour battre les communistes, implantés de très longue date dans cette commune de Seine-Saint-Denis. Outre Bobigny, l’UDMF, qui revendique 900 adhérents et 8 000 sympathisants, devrait présenter des candidats dans 7 autres cantons dans toute la France, selon Le Parisien. L’UDMF a un précédent, le Parti des musulmans de France, créée en 1997 à Strasbourg. Son président, Mohamed Latrèche, avait obtenu 0,92 % des voix aux législatives de 2007.

lepoint.fr

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Imposer l’islam par la démocratie.

 

Lors des élections qui auront lieu en mars prochain, un parti islamique, l’Union des démocrates musulmans de France, devrait présenter des candidats dans quelques cantons.

Dans son livre « Soumission », Houellebecq avait prévu ce désastre pour l’élection présidentielle de 2022 mais il semblerait que les musulmans, toujours dans cet esprit de conquête qui les caractérise, veuillent commencer plus petit en essayant de s’emparer de quelques cantons Français. Bobigny (Seine-Saint-Denis), Bagneux (Hauts-de-Seine), Les Mureaux (Yvelines), Marseille (Bouches-du-Rhône), Lyon (Rhône), Nice (Alpes-Maritimes), Avion (Pas-de-Calais) et peut-être Strasbourg (Alsace) sont concernés par cette tentative de percée de l’islam.

L’Union des démocrates musulmans de France ne vous dit rien ? C’est normal, il s’agit d’un parti microscopique lancé en 2012 qui ne compte actuellement que 900 adhérents dans la France entière ainsi qu’un élu conseiller municipal à Bobigny. Mais ce micro-parti compte bien surfer sur les livres de Zemmour et Houellebecq ainsi que sur les événements dits « islamophobes » qui découlent des attentats terroristes de janvier pour engranger des adhésions.

Mais quel est le but de ce parti ? Dans son programme, le parti veut défendre l’autorisation du port du voile à l’école, ainsi que le développement du halal ce qui, selon eux, permettrait de créer des emplois. Ce parti islamique a donc pour objectif d’être élu afin de mieux violer la loi de mars 2004 et la charte Peillon de 2013 qui interdit le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées publics. Quant au halal, déjà bien vendu à l’insu des consommateurs Français (1), l’ambition est de le développer encore plus qu’il ne l’est actuellement. Pourrons-nous un jour encore consommer de la viande qui provient d’un animal sacrifié avec respect ? Mais la création d’emploi est dans la balance donc nul doute que le Parti Socialiste n’aura pas manqué de relever ce point afin de tenter d’inverser la fameuse courbe du chômage, désormais arrivée dans la stratosphère, et en même temps de conserver son électorat musulman.

Cette nouvelle fait apparemment quelques émules. Sofiane, 23 ans, s’interroge « Un parti musulman ? Pourquoi pas, lance le jeune de 23 ans. Je me sentirai peut-être plus concerné par la vie politique ». Une mère de famille se « retrouve dans ce qu’ils proposent, notamment sur le vivre-ensemble » mais n’est pas certaine « qu’en France les gens soient prêts à voter largement pour un parti musulman ». Effectivement, quand 74% des Français trouvent que l’islam est incompatible avec la société française, ils ne vont pas aller voter pour un parti qui appartient à cette religion. Mais le fondateur du parti, Najib Azergui, avoue que l’ouvrage de Houellebecq lui a donné des étoiles dans les yeux. Son rêve : récolter les 500 signatures nécessaires pour faire de Khalid Majid, candidat à Bobigny en mars, leur premier candidat à la présidentielle en 2017.

Après avoir essayé par tous les moyens d’imposer l’islam par la démographie, la violence et les revendications incessantes, les musulmans essayent désormais de conquérir la France par la voie démocratique.

12 Février 2015 , Rédigé par Jean NémarrePublié dans #Islamisation

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