La découverte récente d’importants gisements de gaz et de pétrole en Méditerranée orientale modifie radicalement l’équation géopolitique dans la région et même bien au-delà. En effet, c’est l’occasion pour Israël de passer de la dépendance à la souveraineté énergétique, alors que le Liban revendique avec le soutien de Washington une partie de ce gaz qui se trouve dans ses eaux territoriales. Implications de cette évolution clé, qui est un des motifs principaux de la déstabilisation de la Syrie par le Qatar !
Découvert en 2009, il a rapidement stimulé les recherches offshore dans cette région de la Méditerranée que se partagent, et parfois se disputent, Israël, Chypre et le Liban. Ces recherches n’ont pas été vaines : un autre gisement Léviathan a été découvert dans la foulée. Il devrait être exploité à partir de 2016. Pour Israël, c’est la promesse de plus d’indépendance énergétique, ce que n’ont pas manqué de souligner les responsables israéliens. Près de la moitié du gaz consommé en Israël provenait en effet jusqu’à présent de l’Egypte voisine. Mais l’approvisionnement par gazoduc à travers le Sinaï est la cible fréquente de sabotages. Le gaz précédement importé d’Égypte avait vu le pipeline qui approvisionait Israël détruit à plusieurs reprises par des attentats islamistes en 2011. A la suite de la révolution, les islamistes ayant pris le pouvoir, l’Égypte qui n’a pas raté une bonne occasion de mal faire a mis fin au contrat qui la liait à Israël.
Sous peu également l’extraction du pétrole de schiste réserve supérieure à celles de l’Arabie Saoudite devrait transformer radicalement l’économie israélienne.
Pessah 5772-2013 : une sortie d’Egypte énergétique…guidée par une colonne de feu !?
De la sortie d’Égypte à ce jour. 2 dates importantes ponctuent l’histoire d’Israël
15 Nissan 2538 sortie d’Égypte des Hébreux sous la conduite de Moïse (1223 ans avant l’ère vulgaire).
Cette date marque la fin de l’esclavage en Égypte, et la rédemption de notre peuple qui après 40 ans de périgrinations dans le désert rejoindra le pays promis par D. à Abraham pour sa postérité.
21 Nissan 5773 soit le 1er avril 2013 de l’ère vulgaire fin de la dépendance énergétique d’Israël, les premiers litres du gaz naturel du champ de Tamar sont arrivés à Ashdod.
Les réserves de ce petit champ devraient assurer l’indépendance énergétique d’Israël jusqu’en 2035, d’une valeur de 10 milliards de $ elles permettront à l’État d’encaisser 125 millions de $ de taxes.
Le gaz précédement importé d’Égypte avait vu le pipeline qui approvisionait Israël détruit à plusieurs reprises par des attentats islamistes en 2011. A la suite de la révolution, les islamistes ayant pris le pouvoir, l’Égypte qui n’a pas raté une bonne occasion de mal faire a mis fin au contrat qui nous liait.
Ce gaz va permettre de remplacer les bruleurs au gaz-oil des usines de production électrique, qui deviendront moins polluantes. Il va permettre une baisse très sensible du coût de l’électricité, dont bénéficieront les abonnés. Le coût de l’énergie baissant, le prix des produits fabriqués sera plus compétitif, facilitant ainsi leur exportation.
Les bonnes nouvelles n’arrivant jamais seules, le champ de Leviathan deux plus important devrait être opérationnel par la suite, permettant d’exporter vers l’Europe. Un troisième champ découvert plus récement fait l’objet d’investigations ses ressources seraient légèrement inférieures à celles de Tamar.
Sous peu également l’extraction du pétrole de schiste réserve supérieure à celles de l’Arabie Saoudite devrait transformer radicalement l’économie israélienne.
Les Occidentaux vivant en Dhimmitude seraient bien inspirés de réfléchir à l’avenir, de leurs économies en décrépitude, et penser qu’une autre attitude envers notre pays qui s’est toujours considéré comme leur allié serait la bienvenue, avec une remise à des normes plus convenable du traitement de l’information par rapport à notre pays, et l’abandon de la délégitimation d’Israël qui est la règle depuis 1967 et qui a vu se déchaîner les médias ces dernières années.
Votre attitude condescendente à notre égard nous est devenue insupportable, nous ne sommes pas des petits enfants, nous sommes majeurs, nous n’avons pas 65 ans, nous en avons 3236, nous sommes vos ainés, pas vos enfants, nous ne sommes pas gâteux, car si nous souffrions d’Alzeimer, nous n’aurions pas suscité autant de prix NobelIci.
Votre ingérence permanente dans nos affaires intérieures doit cesser dès ce jour. Que penseriez vous de l’intervention de notre Premier Ministre devant les étudiants de l’Université d’Assas à Paris, ou de l’Université de Berkeley en Californie? L’assemblée Nationale, la Chambre des Représentants ou le Sénat paraissent plus appropriés.
Cessez de nous inciter à des pourparler avec des terroristes qui affichent ouvertement leur souhait non pas de parler de paix, mais exclusivement de nous remplacer en nous volant notre pays Ici, Ici et également Ici ce dernier lien est directement inspiré des cartes présentées par l’AP sur tous ses documents officiels.
En bref, laissez nous vivre notre vie démocratique sans vous ingérer dans nos affaires intérieures car toutes vos actions, tous vos discours, sont des vecteurs de guerre, ce qui est inadmissible de la part de pays alliés et amis.
Eli d’Ashdod
Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2013/04/de-la-sortie-degypte-a-ce-jour-2-dates-importantes-ponctuent-lhistoire-disrael/#ixzz2PNtRYzII
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Israël-Début d’exploitation du gisement gazier offshore de Tamar
JERUSALEM, 31 mars (Reuters) – Israël a lancé samedi l’exploitation du gisement de gaz naturel de Tamar, au large de ses côtes en Méditerranée, ont fait savoir les partenaires du projet.
Naguère très dépendant en énergie, Israël devrait devenir exportateur de gaz d’ici la fin de la décennie, le gisement offshore de Tamar renfermant suffisamment de réserves pour répondre aux besoins en gaz du pays pendant des décennies.
La découverte de ce gisement, en 2009, a déclenché une frénésie de prospection dans le bassin du Levant – que se partage Israël, Chypre et le Liban – et à la découverte d’un second gisement, Leviathan.
« Aujourd’hui (nous entamons) l’indépendance d’Israël en gaz naturel. C’est un progrès énorme pour l’économie israélienne et le début d’une nouvelle ère », a déclaré le milliardaire israélien Yitzhak Tshuva, qui détient une part de contrôle dans le groupe Delek, l’un des partenaires dans l’exploitatoin du gisement de Tamar.
L’exploitation gazière devrait entraîner une baisse des coûts de production de la compagnie nationale Israel Electric de même qu’une baisse du prix de l’électricité en Israël, a déclaré ces jours-ci le ministère israélien de l’Eau et de l’Energie.
Le gisement de Tamar se trouve à 90 km au large des côtes du nord d’Israël. L’exploitation de Tamar et de Leviathan va rendre Israël moins dépendant de ses importations énergétiques et l’Etat hébreu a déclaré qu’il lui permettrait même d’exporter un volume important de gaz naturel.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a salué le début de l’exploitation du gisement. « Nous faisons là un pas important vers l’indépendance de notre secteur énergétique. Au cours des dix dernières années, nous avons misé sur le secteur gazier israélien et cela va renforcer l’économie d’Israël et bénéficier à l’ensemble des citoyens », a-t-il dit dans un communiqué.
Noble Energie, dont le siège est au Texas, détient 36% de Tamar, et Isramco Negev 28,75%. (Ori Lewis; Eric Faye pour le service français)
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Le bassin du Levant et Israël – une nouvelle donne géopolitique ?
La découverte récente d’importants gisements de gaz et de pétrole en Méditerranée orientale modifie radicalement l’équation géopolitique dans la région et même bien au-delà. En effet, c’est l’occasion pour Israël de passer de la dépendance à la souveraineté énergétique, alors que le Liban revendique avec le soutien de Washington une partie de ce gaz qui se trouve dans ses eaux territoriales. William Engdahl explore les implications de cette évolution clé, qui est un des motifs principaux de la déstabilisation de la Syrie par le Qatar et les Occidentaux.
- L’exploitation du champ de gaz naturel de Tamar a commencé. Il devrait approvisionner Israël à partir de la fin 2012.
Les récentes découvertes de gisements de pétrole et de gaz, non pas importants mais immenses, situées dans une partie auparavant peu explorée de la mer Méditerranée (entre la Grèce, la Turquie, Chypre, Israël, la Syrie et le Liban), suggèrent que la région pourrait devenir un « nouveau Golfe persique ». Comme ce fut le cas pour l’« autre » Golfe persique, la découverte de ces richesses en hydrocarbures pourrait bel et bien devenir synonyme d’une terrible malédiction géopolitique pour la région.
Les conflits historiques du Proche-Orient pourraient bientôt êtres supplantés par de nouvelles batailles pour l’accès aux ressources pétrolières et gazières de la Méditerranée orientale, du bassin du Levant et de la mer Egée. Nous étudierons dans un premier temps les conséquences de la découverte d’un gigantesque gisement offshore de gaz et de pétrole au large d’Israël. Dans un second article, nous verrons les implications des découvertes de gaz et de pétrole dans la mer Égée, entre Chypre, la Syrie, la Turquie, la Grèce et le Liban.
Un léviathan israélien
Ce qui a tout fait basculer, ce fut une découverte spectaculaire, dans ce que les géologues appellent le bassin du Levant. En octobre 2010, Israël a trouvé un gigantesque méga-gisement offshore de gaz naturel dans ce qu’il estime être sa Zone Économique Exclusive (ZEE).
Cette découverte se situe à 135 km environ à l’ouest du port de Haïfa et à 5 km de profondeur. Cette poche a été appelée « Léviathan » en référence au monstre marin biblique. Trois compagnies d’énergie israélienne en coopération avec la compagnie texane Noble Energy ont annoncé des premières estimations à hauteur de 450 milliards de mètres cubes — ce qui en fait la plus importante découverte de gaz en eau profonde des dix dernières années—, discréditant un peu plus les théories malthusiennes autour du « pic pétrolier » qui prétendent que la planète est sur le point de connaître de terribles pénuries structurelles en matière de pétrole, de gaz et de charbon. Pour se faire une idée, le gisement de gaz Léviathan représenterait des réserves suffisantes pour approvisionner Israël en gaz pendant un siècle [1].
L’autosuffisance énergétique était inimaginable pour l’État d’Israël depuis sa fondation en 1948. D’importantes explorations pour le pétrole et le gaz avaient été entreprises à plusieurs reprises, mais n’avaient pas donné de résultats. Contrairement à ses voisins arabes riches en sources d’énergie, Israël voyait cette chance lui échapper. Mais en 2009, Noble Energy, le partenaire d’Israël pour la prospection, a découvert dans le bassin du Levant le gisement de Tamar, à quelques 80km à l’ouest du port de Haïfa, recelant environ 238 milliards de mètres cubes de gaz naturel de la plus haute qualité. Tamar fût la plus grande découverte mondiale de gaz en 2009.
À l’époque, le total des réserves de gaz israéliennes était estimé à seulement 45 milliards de mètres cubes. Les estimations de Tel-Aviv prévoyaient que l’exploitation de Yam Tethys, qui fournit environ 70 % du gaz naturel du pays, serait épuisée dans les trois ans.
Grâce à Tamar, les perspectives se sont largement améliorées. Puis, un an après seulement, Noble Energy a fait sa plus importante découverte depuis sa création des dizaines d’années auparavant avec Léviathan, toujours dans ce même bassin géologique du Levant [2]. En matière de gaz, Israël est passé de la disette à l’opulence en l’espace de quelques mois.
Avec les découvertes de Tamar, puis de Léviathan, Israël commença à se demander comment il pourrait devenir une nation de premier plan en matière d’exportation de gaz naturel et aussi comment récolter des taxes sur les revenus des produits pétroliers et gaziers afin de constituer un fond souverain qui investirait à long terme dans l’économie nationale comme le font la Chine et de nombreux pays arabes de l’OPEP [3].
« La zone du bassin du Levant est à l’image des grandes régions d’exploitation à travers le monde », a souligné un porte-parole du Programme ressources énergétiques de l’Institut d’études géologiques des États-Unis (US Geological Survey ou USGS), « ses ressources en gaz sont plus importantes que tout ce que nous avons connu aux États-Unis » [4].
Pressentant peut-être que ces découvertes majeures d’hydrocarbures pouvaient bouleverser les équilibres géopolitiques de toute la région, l’USGS a initié une première estimation des réserves de pétrole et de gaz de la région Méditerranée orientale (comprenant le bassin égéen au large des côtes grecques, turques et chypriotes, le bassin du Levant au large des côtes du Liban, d’Israël et de la Syrie, et le bassin du Nil au large des côtes égyptiennes). Dire que leurs conclusions furent impressionnante tient de l’euphémisme.
L’USGS, en s’appuyant sur les données des forages antérieurs et des études géologiques dans la région a conclu que « les ressources pétrolières et gazières du bassin du Levant étaient estimées à 1,68 milliards de barils de pétrole, et 3 450 milliards de mètres cubes de gaz ». En outre, selon ses estimations, « les ressources non découvertes de pétrole et de gaz de la province du bassin du Nil (délimité par le cône du Nil à l’ouest, par Strabon, au nord, par les failles de Pytheus et de Chypre à l’est et par le bassin du Levant au sud) sont estimés à environ 1,76 milliards de barils de pétrole et 6 850 milliards de mètres cubes de gaz naturel » [5].
L’USGS a évalué le total pour la Méditerranée orientale, dans son ensemble, à 9 700 milliards de mètres cubes de gaz et à 3,4 milliards de barils de pétrole. Soudainement, la région est confrontée à de tous nouveaux conflits potentiels et défis géopolitiques.
Pour mettre ces chiffres en perspective, l’USGS estime que le bassin de Sibérie occidentale – le plus grand bassin de gaz connu – recèle 18 200 milliards de mètres cubes de gaz. En outre, le Proche-Orient et l’Afrique du Nord possèdent plusieurs régions riches en gaz naturel, comprenant le bassin du Rub Al-Khali (12 062 milliards de mètres cubes de gaz) dans le Sud-Ouest de l’Arabie saoudite et le Yémen du Nord ; autours de Ghawar (Great Ghawar Uplift) dans l’Est de l’Arabie saoudite (6 427 milliards de mètres cubes) et dans la chaine plissée du Zagros (6 003 milliards de mètres cubes) le long du Golfe persique en Irak et en Iran [6].
Quelques mois auparavant, la priorité pour la sécurité nationale d’Israël était de garantir ses approvisionnements étrangers, du fait de la diminution inquiétante de sa production de gaz domestique. À cette crise énergétique s’ajoutait les manifestations du soit-disant « printemps arabe », qui ont secoué l’Égypte et la Libye début 2011. Elles ont conduit au renversement du président Moubarak, dont le régime fournissait environ 40 % du gaz naturel israélien. Ceci conjugué à la levée de l’interdiction sur les partis islamiques en Égypte, notamment les Frères musulmans et le parti salafiste radical Al-Nour, ajouté au fait que le gazoduc livrant le gaz égyptien à Israël a été la cible de sabotages répétés et de perturbations — la plus récente ayant eu lieu en février de cette année dans le nord Sinaï— ne pouvait aure rendre Israël nerveux à propos de sa future sécurité énergétique [7].
La réaction Libanaise alimente de nouvelles tentions
La découverte de Léviathan par Israël au large de ses côtes a immédiatement déclenché un nouveau conflit géopolitique, le Liban faisant valoir qu’une partie du champ gazier réside dans les eaux territoriales de sa propre Zone Économique Exclusive. Le Liban a envoyé sa réclamation à l’ONU, cartes à l’appui, ce à quoi le ministre israélien des Affaires étrangères Lieberman a répliqué : « Nous ne céderons pas d’un pouce ».
Ce qui cloche dans le paysage énergétique méditerranéen est le fait qu’Israël, comme les États-Unis, n’a jamais ratifié la Convention des Nations Unies de 1982 sur le Droit de la mer attribuant les droits mondiaux sur les ressources sous-marines. Les puits d’extraction israéliens du gaz de Léviathan sont clairement dans le territoire israélien, ce que ne conteste pas le Liban, mais il estime que le gisement s’étend aussi sous ses propres eaux territoriales. Le Hezbollah affirme que le champ de gaz Tamar, qui devrait commencer à fournir du gaz d’ici la fin de l’année, appartient au Liban.
Washington n’a pas perdu de temps pour jouer sa propre carte de politique énergétique autours du différend sur le gaz naturel entre le Liban et Israël. En juillet 2011, alors qu’Israël s’apprêtait à soumettre sa propre proposition à l’ONU relative à la ligne de démarcation maritime entre le Liban et Israël, Frédéric Hof, diplomate états-unien chargé de la Syrie et du Liban, a déclaré que son administration appuyait le document libanais, ajoutant aux tensions croissantes existantes depuis le début du « printemps arabe » entre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président Obama [8].
- Sheldon Adelson a été requis par Benjamin Netanyahu pour financer les républicains et faire barrage à un second mandat de Barack Obama.
M. Netanyahou aurait récemment exhorté la huitième personne la plus riche des États-Unis, son proche ami et milliardaire des casino de Las Vegas Sheldon Adelson, d’injecter directement des millions de dollars dans les campagnes électorales des républicains, y compris Newt Gingrich et Mitt Romney. Cela représente une intervention israélienne sans précédent dans la campagne présidentielles états-unienne, tout cela pour essayer d’empêcher un second mandat d’Obama [9]. Les nouvelles questions liées au contrôle des vastes réserves d’énergie découvertes au large d’Israël et du Liban, ainsi que des rives chypriotes, grecques et turques, vont jouer un rôle croissant dans une région qui est déjà l’une des plus compliquées du globe au plan politique.
(À suivre…)
[1] « Big Gas Find Sparks a Frenzy in Israel », par Charles Levinson et Guy Chazan, The Wall Street Journal, 30 décembre 2010.
[2] « Israël : Leviathan détient plus de gaz que précédemment estimé » Offshore Energy Today, 19 décembre 2011.
[3] « Israël a assez de gaz pour devenir exportateur », AFP, 29 décembre 2010.
[4] US Department of the Interior, « Assessment of Undiscovered Oil and Gas Resources of the Levant Basin Province, Eastern Mediterranean », US Department of the Interior, U.S. Geological Survey Fact Sheet 2010–3014, mars-avril 2010.
[5] Ibid.
[6] Ibid.
[7] « Forecast Blackout Israel is about to run out of natural gas : Shortage expected to last at least until next year, when the Tamar gas field starts production », par Avi Bar-Eli et Itai Trilnick, Haaretz, 2 février 2012 . Voir aussi Reuters, « Blast Hits Gas Pipeline Between Egypt, Jordan, Israel », 4 février 2012.
[8] « US Backs Lebanon on Maritime Border Dispute with Israel », par Barak Ravid, Haaretz, 10 juillet 2011.
[9] « Sheldon Adelson Probe : Donations From Casino Owner Could Embarrass Republican Candidates », Reuters, 8 février 2012. Pour plus d’informations sur les liens Adelson-Gingrich-Romney-Netanyahu voir « The Bibi Connection », par Max Blumenthal, Al-Akhbar.com, 12 janvier 2012.