Herles, ex patron de la télé allemande ZDF, avoue : les journalistes sont aux ordres
Et si les agressions sexuelles de Cologne, lors du Nouvel An, ce n’était que le haut de l’iceberg ? Jour après jour, les langues se délient, les journaux cèdent au triste sensationnel et les forces de police avouent… Le silence n’est plus d’or. Hier, lundi, sous la pression médiatique d’une Allemagne choquée, la Suède a reconnu ne pas avoir informé ses habitants d’un certain nombre d’agressions sexuelles en marge de son festival annuel « We Are Sthlm »… Les auteurs : de jeunes migrants, de fringants réfugiés.
« Des groupes ethniques différents », comme disaient les victimes, ne sachant plus à quels termes se vouer…
Suède : silence de la police sur des centaines d’agressions sexuelles
La police allemande a supprimé et freiné la divulgation des « incidents » du Nouvel An pendant une semaine. La police suédoise le fait, elle, depuis deux ans… Les éditions 2014 et 2015 du festival de musique « We Are Sthlm », fréquenté par plus de 850.000 adolescents chaque été, ont aussi eu leur lot d’agressions sexuelles répétées et surtout tues.
C’est le journal Dagens Nyheter qui a pu mettre la main sur des mémos et notes internes rédigés par les forces de police, faisant état de multiples attouchements et agressions, et ce, dès le premier jour des festivals. Les auteurs étaient de « jeunes hommes étrangers qui viennent en Suède sans leurs parents », « principalement d’Afghanistan » et réunis en bandes – près d’une centaine ont été arrêtés en août 2015.
Sans que personne ne soit mis au courant… alors que les victimes sont, en plus, mineures.
Raisons « politiques » !
Selon l’officier de presse de la police de Stockholm, ce mutisme semble « totalement inacceptable », mais l’ancien directeur de commandement au festival, aurait avoué qu’il y avait des « raisons politiques ». Comprenez : le risque de faire monter le racisme et donc l’extrême-droite.
Politiques et donc légitimes ! A Stockholm, on a tout passé sous silence. A Cologne, on a tenté de cacher l’origine ethnique des agresseurs.
Un officier supérieur de la police de Francfort a indiqué au journal BILD que des consignes strictes du conseil d’administration leur avaient été données, à savoir « de ne pas signaler les infractions commises par les réfugiés ». Les autorités allemandes n’ont effectivement signalé au début qu’une poignée d’attaques menées par des hommes germanophones…
Et les grands médias ont fort bien tenu leur rôle, avant que toute l’affaire n’éclate au grand jour.
Aujourd’hui, ce sont plus de 600 plaintes qui ont été déposées en Allemagne, à Cologne mais aussi à Hambourg. Le chef de la police locale a été mis à pied. Et le ministre régional de l’Intérieur, a enfin concédé, lundi, « qu’il s’agissait de personnes originaires d’Afrique du Nord et du monde arabe ».
Un appel au viol de l’Etat Islamique : « Taharrush »
Des révélations qui n’auraient sans doute jamais eu lieu sans la participation active des réseaux sociaux et du magazine en ligne Breitbart qui a largement contribué à publier les signalements physiques donnés par les victimes. Dix jours après les faits, ce sont même de grands journaux de gauche qui montent au créneau, comme le Times londonien ou le New York Times, qui parle de fermeture de frontières et de démission de Merkel…
Le mot « Taharrush » apparaît dans les colonnes, ce phénomène du monde arabe illustrant les harcèlements et les attaques de femmes par des hommes – un « jeu » bien connu dans cette culture. Mais qui pour parler de « djihad sexuel » ?! On dénonce à grands cris l’importation d’une nouvelle culture du viol. Mais qui, pour se poser la question de son origine ?! Qui pour s’interroger sur les liens entre l’islam et cette coutume qui permet à ces hommes de molester et de déshonorer ces femmes qui ne portent pas le voile ou s’affichent contre leur opinion religieuse et politique – comme on a pu le voir en Égypte, sur la place Tahir, lors des manifestations de l’été 2013 ?
Quoi d’étonnant lorsqu’on apprend par les enquêtes de la police allemande, que c’est l’Etat Islamique qui aurait coordonné ces attaques par des envois d’e-mails, de messages chiffrés, à la fois en arabe et en anglais ainsi qu’en allemand et en italien… Le ministre allemand de l’Intérieur l’a confirmé lundi : « Il est clair que tout cela a été organisé ».
Et pas seulement pour le Nouvel An. D’après des informations recueillies par BILD, d’autres délits sexuels ont été commis par des demandeurs d’asile à la fin de la semaine dernière, dans les gares et dans les trains. Mais chut… il faut continuer à accueillir les réfugiés pour ne pas faire le jeu de l’extrême droite xénophobe et raciste qui n’a rien compris au cosmopolitisme sacré.
Le pape François au secours des… migrants
Et le pape François en a rajouté malheureusement une couche. Lundi, lors de son message au nombreux corps diplomatique, il a rappelé avec force les Européens à accueillir généreusement les migrants. « Le système d’accueil de l’Europe doit rester un phare d’humanité », malgré « la menace déferlante du terrorisme international ». Et de citer, un par un, chacun des prétextes mondialistes, comme les « barbaries indicibles, la misère et les conditions climatiques extrêmes »…
Politiquement en Europe, l’affaire sera plus tendue, plus « dialectisante ». Le Premier ministre suédois a dénoncé à grand bruit une « trahison ». Et Angela Merkel, qui avait fait sous-titrer avec dhimmitude ses vœux de nouvelle année en arabe (!) a déclaré ni une ni deux qu’elle souhaitait le vote d’une loi permettant d’expulser les réfugiés condamnés par la justice à une peine avec sursis – alors que la loi actuelle exige minimum trois ans ferme.
Mais les réfugiés doivent continuer à affluer, le multiculturalisme prime – et les politiques le savent.