Différentes sources tendent à confirmer que les Etats-Unis, l’OTAN et leurs alliés dans les Etats arabes du Golfe collaborent avec les terroristes d’al-Qaïda pour renverser le gouvernement syrien. Ce dernier a accusé des groupes terroristes étrangers d’être responsables de nombreux attentats qui ont secoué la Syrie.
La Turquie, pays membre de l’OTAN, a joué un rôle clé dans l’opération en Libye et fournit à l’opposition syrienne du soutien logistique et des bases.
Selon le site internet israélien Debkafile, des forces spéciales qataries et britanniques aident les militants basés à Homs, tout en évitant de prendre part directement aux hostilités, et fournissent un soutien logistique. Et selon David Gray de Reuters, citant une source israélienne, des troupes britanniques et qataries supervisent les livraisons de munitions aux rebelles ainsi que la tactique utilisée dans la bataille sanglante à Homs.De plus, pour l’analyste politique Alexander Eterman de Tel Aviv, tout le monde sait que la Grande Bretagne, Israël, les Etats-Unis et la France ont des unités de forces spéciales en Syrie.
l’OTAN, les USA, la France,…, alliés à AL QAÏDA en Syrie ?…et demain ? Alliés contre Israël ?
Lire ICI, sur RiaNovisti : OBAMA a reçu mardi les Frères Musulmans égyptiens à la Maison Blanche !
Rappel de la devise des Frères Musulmans : «Dieu est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution, le djihad notre voie, le martyre notre plus grande espérance».
Nous avons toujours pensé qu’il y avait un manipulateur derrière la trop évidente confrontation israélo-arabe. Et si HORUS avait infiltré les « gentils » (Nous via l’OTAN) pour manipuler les « méchants » (les 4 chevaux de l’apocalypse) ?
Les 4 chevaux de l’Apocalypse aux couleurs de l’Islam, manipulé par l’OTAN, demain, alliés contre Israël ?
Les Etats-Unis et l’OTAN main dans la main avec al-Qaïda ?
Différentes sources tendent à confirmer que les Etats-Unis, l’OTAN et leurs alliés dans les Etats arabes du Golfe collaborent avec les terroristes d’al-Qaïda pour renverser le gouvernement syrien. Ce dernier a accusé des groupes terroristes étrangers d’être responsables de nombreux attentats qui ont secoué la Syrie.
Alors que l’opposition tient pour responsable le régime lui-même, des sources du renseignement américain, des observateurs de la Ligue arabe et le dirigeant actuel d’al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, indiquent que les accusations du gouvernement de Bachar al Assad sont justes. En plus des attentats au véhicule piégé à Damas, deux autres attentats-suicides ont eu lieu à Alep. Des responsables du renseignement américain ont confié à un journaliste de McClatchy News (Washington) qu’al-Qaïda en Irak (AQI) était vraisemblablement responsable des quatre attaques.
Al-Zawahiri lui-même a confirmé dans un enregistrement vidéo que son organisation intensifie ses opérations en Syrie, tout en condamnant le «tyran de Damas» et son gouvernement dans un langage, soit dit en passant, similaire à celui du Président Barack Obama et de l’ambassadrice américaine aux Nations Unies Susan Rice.
Quant aux équipes d’observateurs de la Ligue arabe, elles constatent, dans leur rapport officiel du 20 janvier, que des «groupes armés» combattant l’armée syrienne avaient commis un nombre important d’attentats et d’assassinats à la fois de civils et de policiers. Les conclusions des équipes – qui n’ont pas été communiquées aux membres du Conseil de sécurité de l’ONU – précisent, entre autres, qu’un journaliste français à Homs a été «tué par des tirs de mortier venant de l’opposition», que c’est l’opposition qui a monté un «attentat contre un bus civil, décimant huit personnes et en blessant d’autres, y compris des femmes et des enfants», et qu’il existe une «entité armée» dans l’opposition qui tue des civils et provoque le gouvernement syrien pour qu’il riposte par la violence.
Selon EIR, les militants font partie des djihadistes salafistes soutenus par les Saoudiens, ayant la même structure et la même idéologie qu’al-Qaïda, qui ont infiltré la Syrie à partir de la Libye, l’Irak et l’Arabie saoudite.
La Turquie, pays membre de l’OTAN, a joué un rôle clé dans l’opération en Libye et fournit à l’opposition syrienne du soutien logistique et des bases.
Selon le site internet israélien Debkafile, des forces spéciales qataries et britanniques aident les militants basés à Homs, tout en évitant de prendre part directement aux hostilités, et fournissent un soutien logistique. Et selon David Gray de Reuters, citant une source israélienne, des troupes britanniques et qataries supervisent les livraisons de munitions aux rebelles ainsi que la tactique utilisée dans la bataille sanglante à Homs. Quatre centres d’opération ont été installés dans la ville, et les troupes sur place préparent le terrain pour une incursion militaire clandestine de forces turques. De plus, pour l’analyste politique Alexander Eterman de Tel Aviv, tout le monde sait que la Grande Bretagne, Israël, les Etats-Unis et la France ont des unités de forces spéciales en Syrie. (Source : Strategic Alert)
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Une délégation des « Frères musulmans » reçue à la Maison Blanche
© AFP/ STR
WASHINGTON, 5 avril – RIA Novosti
L’administration américaine a reconnu avoir rencontré des représentants des « Frères musulmans » égyptiens en visite aux Etats-Unis, rapporte jeudi le correspondant de RIA Novosti à New York.
Selon le porte-parole du Conseil de sécurité nationale Tommy Vietor, une délégation des « Frères musulmans » a été reçue mardi à la Maison Blanche par des hauts responsables américains dans le domaine de la politique étrangère.
« Notre position consiste à maintenir les contacts avec toute partie qui s’engage à suivre les normes démocratiques et le principe de non-violence (…). Lors des négociations (avec la délégation égyptienne, ndlr), nous avons insisté sur la nécessité de respecter les droits des minorités et des femmes. En outre, nous avons exprimé notre préoccupation face aux problèmes de sécurité dans la région », a annoncé M.Vietor aux journalistes.
D’après lui, plusieurs sénateurs américains, dont John McCain et Lindsey Graham, se sont également entretenus avec les membres de la délégation.
La visite des « Frères musulmans » a suscité un vif intérêt de la part des médias américains, bien que la Maison Blanche n’ait jusqu’à mercredi ni confirmé ni infirmé qu’une réunion avec la délégation égyptienne ait eu lieu.
A l’heure actuelle, le mouvement islamiste et l’armée égyptienne qui contrôle le Conseil supérieur des forces armées sont les principales forces politiques du pays. Le parti Liberté et Justice, branche politique des « Frères musulmans », détient 47% des sièges à la chambre basse du parlement égyptien.