Les 4 couleurs du blog des 2 témoins de l’Apocalypse : explications

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Votre site « blog des 2 témoins » a choisi depuis longtemps les 4 couleurs du tabernacle mosaïque comme signature visuelle : bleu – blanc – rouge écarlate – cramoisi. Pourquoi? Des explications ? Lire la suite…

Demain, le drapeau des 2 témoins révélé par ces 4 couleurs ?  

 

LES QUATRE COULEURS DE LA BANNIERE DES DEUX TEMOINS

Blanc – Bleu – Rouge écarlate – Rouge Cramoisi 

 

 Préambule 

 

Notre vision des quatre chevaux de l’Apocalypse, lesquels sont appelés chronologiquement par le prophète, selon leur couleur : blanc, rouge, noir et vert. Ces quatre chevaux semblaient constituer un attelage guerrier, que paraissait conduire, sur un trône de puissance temporelle, celui qui usurpe le titre de Messie, l’impie.  

Dès lors, nous pensions que ces quatre couleurs pouvaient revêtir une signification symbolique, en plus d’être associées à des réalités très concrètes de la société militaro-policière de l’antéchrist, que nous attendons et redoutons, avec confiance. 

 Aujourd’hui, et comme une preuve que cette vision « colorée » de la fin des temps, proposée par l’auteur de l’Apocalypse, n’est pas surannée ni dépourvue d’intérêt pour nous-mêmes, nous devons admettre que ces quatre couleurs sont toutes présentes dans les drapeaux nationaux de ce que l’Occident qualifie d’Etats arabo-musulmans. Les groupuscules terroristes islamistes ont adopté ces mêmes étendards, aux quatre couleurs reconnaissables entre toutes. Est-ce un hasard ? Si nous étions tentés par cette définition qui flatte notre désir de rationalité, souvenons-nous de la définition du hasard qu’aimait à professer Albert Einstein : « le hasard, c’est le Nom que prend D.ieu quand il veut passer incognito … ». 

Pas de hasard donc, mais pas de certitudes et de conclusions trop hâtives et trop logiques non plus : les quatre couleurs du drapeau palestinien ne suffisent pas à qualifier ce peuple d’armée de l’impie. Un signe tout au plus … une invitation à être vigilants et à demeurer attentifs aux signes de même nature qui doivent encore se manifester. Assurément, l’Apocalypse avec ses bêtes et ses couleurs a encore beaucoup de vérités à nous enseigner. 

La question qui se pose aujourd’hui est : si cet assemblage de quatre couleurs semble désigner l’adversaire et qualifier les forces de l’impie, y-a-t-il un drapeau, un fanion, une bannière colorée susceptible de désigner de même les armées de l’Adon Yéshoua ? Existe-t-il dans les Saintes Ecritures des couleurs qui identifieraient assurément les deux témoins de hvhy Adonaï dans leur combat final face à ceux de l’antimessie ? 

nous pensons avoir retrouvé précisément une invitation à reconsidérer ces quatre couleurs divines, désignant sans ambiguïté ceux qui adhérent au camp des Saints.  

En Exode, hvhy Adonaï prescrit la construction d’un tabernacle itinérant pour le désert selon un modèle imposé. Dans cette vision et ces ordres précis de confection, les habits du Cohen Gadol et les couvertures servant à délimiter les différents espaces du Mishkan (tabernacle) ont en commun quatre couleurs. Dansla Torah où chaque lettre est comptée et à sa juste place, matériaux, formes et couleurs ne peuvent être un hasard ou le fruit d’un « caprice humain/divin ». Dès lors, il nous appartient de questionner les Écritures pour découvrir l’enseignement susceptible d’éclairer cette prescription. Dans notre culture où l’adage populaire consiste à claironner « qu’on ne discute pas des goûts et des couleurs », tâchons de préciser dans quelles mesures cette mitsvah/commandement des quatre couleurs recèle une vérité prophétique que nous ne pouvons plus ignorer.   

 

Quatre couleurs 

 

La première difficulté s’agissant de ces quatre couleurs réside dans la multiplicité de traductions laissant apparaitre une sérieuse marge d’interprétation et d’erreur. Ainsi, le bleu cède la place pour certains traducteurs au violet, la pourpre remplace pour d’autres le cramoisi ou le rouge. Seule la couleur blanche du fin lin semble faire l’unanimité. D’autres encore ne tranchent pas le débat et déclinent toute la palette du pourpre en traduisant par « pourpre violette, pourpre rouge ou pourpre cramoisie… » les couleurs que le judaïsme a souhaité pour sa part préciser et confectionner à partir de coquillages et d’insectes. 

 

–     « Pour la demeure sacrée, des artisans confectionneront dix bandes d’étoffe, en fils de lin résistants, mêlés de laine violette, rouge et cramoisie; elles seront ornées de chérubins brodés … » (Bible en français courant, Exode 26,1)

 

–     « Et tu feras le tabernacle de dix tapis de fin coton retors, et de bleu, et de pourpre, et d’écarlate » (Darby)

 

–     « Quant à la demeure, tu la feras de dix bandes d’étoffe de fin lin retors, de pourpre violette et écarlate et de cramoisi. » (Jérusalem)

 

–     « La demeure, tu la feras avec dix tapisseries de lin retors, pourpre violette, pourpre rouge et cramoisi éclatant » (TOB).

 

L’institut du mont du Temple à Jérusalem, connu pour ses positions avant-gardistes relatives à une reprise prochaine des sacrifices sur le dôme du rocher, met à disposition sur son site internet (www.temple-Jerusalem.com) un large éventail de représentations des habits et tentures ayant servi au Mishkan. Le bleu y semble effectivement être un bleu nuit intense. Le rouge est écarlate et vif. Le cramoisi cède la place à un violet. Notons toutefois la définition courante de « cramoisi » dans le dictionnaire français : rouge profond tirant sur le violet. 

 

Ces couleurs et pigments sont réalisés depuis la plus haute antiquité à  base de coquillages et d’insectes de type cochenille.

 

 L’enseignement évangélique

 

L’approche évangélique traditionnelle sur ces quatre couleurs consiste à associer chacune de ces couleurs aux quatre évangiles. L’évangile de Jean étant le plus spirituel et le moins narratif, il est de coutume de lui associer la couleur bleue, couleur des cieux.

 

De fait, il est enseigné que le blanc renvoie à la pureté de la victime expiatoire et à l’Agneau de D.ieu sans tache, présenté par Luc. Le rouge renvoie explicitement au sacrifice et au sang versé à la Croix, mis en valeur par Marc. La pourpre-rouge-cramoisi est une allusion certaine à la royauté, mise en avant par Matthieu, et au manteau dont le Mashiah Yéshoua fut revêtu par les soldats romains. Le bleu reste une évocation évidente des cieux et de la finalité ultime du culte dont Jean fut l’interprète.

 

Voilà un enseignement qui devrait rencontrer un large consensus dans la chrétienté. Mais n’y-a-t-il rien d’autre à cerner et à recevoir de cette « palette divine » ?La Torah n’a-t-elle pas une autre vérité à nous enseigner sur ce sujet apparemment anecdotique des quatre couleurs ? 

 

A qui/à quoi sont opposées les quatre couleurs du culte mosaïque ? Evidemment aux quatre couleurs des chevaux de l’Apocalypse.  Deux de ces couleurs sont communes au deux dispensations : le blanc et le rouge

 

Nous savons que le blanc du premier cheval est un faux blanc (Ap. 6 :2) usurpé et volé. Le rouge du sacrifice revêt malheureusement une deuxième dimension de martyre et de plaie. Le bleu et le cramoisi sont remplacés dans cette vision apocalyptique par le noir et le vert

 

A ce stade de notre étude, notre intuition consiste à proposer que les quatre couleurs du culte mosaïque se confrontent aux quatre couleurs représentatives de l’activité néfaste de l’adversaire ; activité permise et libérée par les quatre « Être vivants », car l’humanité est entrée en phase de jugement. Les Couleurs du système de l’adversaire se révèlent par l’ouverture des quatre premiers sceaux (voir « chevaux de l’Apocalypse » « Jérusalem » n° 577).

 

« Car Dieu a mis dans leur cœur d’exécuter son dessein, un même dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu’à ce que les paroles de D.ieu soient accomplies. » (Ap. 17:17 NEG) 

 

Sachant que ce rôle d’opposition, puis de témoignage, face à l’impie et ses armées est dévolu aux deux témoins de hvhy Adonaï (Ap. 11), nous pouvons prudemment poser une hypothèse que nous aurons à vérifier : les quatre couleurs du Tabernacle mosaïque seront réutilisées par les deux témoins dans leur combat pour authentifier l’origine et la suprématie de leur culte. 

 

Rappelons que ces quatre couleurs ne relèvent pas d’un caprice humain mais d’une prescription divine très concrète, laquelle ne saurait être le fruit du hasard. 

 

Israël et Juda 

 

L’analyse du drapeau actuel de l’Etat d’Israël – qui n’est en fait que la recomposition du Royaume de Juda sans les autres tribus pour le moment – nous permet de relever la présence de deux des quatre couleurs mosaïques. 

 

Quand Théodore Herzl, le visionnaire de l’État juif moderne organisa le premier Congrès sioniste à Bâle en 1897, il envisagea le déploiement d’un drapeau officiel pour les représentants du peuple juif réunis pour la circonstance. Herzl confia la conception du drapeau du peuple juif à son assistant, David Wolfsohn. « Avec un drapeau on peut conduire des gens n’importe où, même en Terre promise » disait-il. Dans ses mémoires, David Wolfsohn avoue qu’il hésita quant à la facture du drapeau : « Avec quel drapeau allions-nous décorer la salle du Congrès ? Quelles seraient ses couleurs ? J’eus soudain une illumination : nous avions déjà un drapeau, bleu et blanc, le talith dont nous nous drapons pendant la prière. Ce serait notre emblème ; de châle de prière nous le transformerions en drapeau que nous hisserions devant Israël et les Nations. C’est ainsi que je commandai un drapeau bleu et blanc, avec un bouclier de David en son centre. Ainsi naquit l’étendard du peuple juif. » 

 

Des suggestions sur la forme et sur la couleur du drapeau avaient déjà fait l’objet de débats avant Herzl et Wolfsohn. En1864, L. August Frankel, poète juif autrichien écrivit un poème sur les couleurs de Juda : 

 

« Quand sublimez les sentiments sa suffisance de cœur, il est enveloppé dans les couleurs de son pays. Il se tient dans la prière, enveloppé dans une robe longue de scintillement blanc. Les bords de la robe longue blanche sont couronnés de bleu : comme la robe longue du grand haut prêtre, ornée avec des bandes des fils bleus. Ce sont les couleurs du pays aimé, le bleu et le blanc sont les frontières de Juda. Le blanc est le rayonnement du sacerdoce, et le bleu les splendeurs du firmament. »  

 

Ce poème fut à la base de l’étendard de l’Etat d’Israël-Juda. Dans l’inconscient collectif occidental, le bleu a toujours été la couleur de la tribu de Juda et l’association blanc-bleu, un symbole en soi de l’Etat hébreu dans sa composante Juda depuis 1948. 

 

Notons toutefois que la pierre du pectoral du Cohen Gadol (Hoshen Mishpat ou pectoral du jugement) gravée du nom de Yéhoudah (Juda), était une turquoise à forte dominante verte (mais pouvant également être bleue selon d’autres traducteurs et experts en minéralogie). Cette pierre précieuse est appelée en hébreu « Nofek », nom ancien perdu et traduit aujourd’hui diversement par « malachite, escarboucle, émeraude, turquoise … »

 

Notre intuition évolue donc de la manière suivante : si l’association blanc-bleu renvoie au Royaume de Juda, l’association rouge écarlate- rouge cramoisi renvoie-t-elle au Royaume du Nord et donc à ce qu’il convient d’appeler Ephraïm ? 

 

Les couleurs perdues de la tribu perdue d’Ephraïm … 

 

Ephraïm n’est pas présent sur le pectoral d’Aharon, tout comme Ménashéh. Paradoxalement, bien qu’ayant remplacé leur père Yosseph   au titre de l’héritage, les deux frères n’ont pas de pierre représentative. Cette absence pose question. 

 

Il nous faut donc considérer la pierre de leur père, Yosseph, sur le pectoral du grand sacrificateur, en lieu et place de celles – inexistantes – des deux fils. Il s’agit en hébreu d’une pierre semi-précieuse appelée « shoham ». Traduite de diverses façons et/ou selon la table de correspondance des dénominations minérales plus modernes, il s’agirait d’une agate ou sardoine. Certains traduisent « shoham » par onyx, pierre dont la gamme de couleurs est très diverse. Dans ce dernier cas, pour être conforme aux autres propositions (agate ou sardoine), il ne pourrait s’agir que d’onyx rouge … couleur caractéristique des sardoines : un rouge aux reflets bruns et cramoisis !

 

Confirmons notre intuition en regardant la pierre de Réhouven (Ruben): en hébreu « odem », traduit par rubis ou cornaline. De fait et sans ambiguïté, c’est une pierre d’un rouge vif, écarlate, couleur sang. 

 

Or, si Ephraïm n’a pas sa place sur le pectoral et qu’aucune pierre n’est gravée à son nom, il est dit par ailleurs de ce fils greffé sur Israël « qu’il est le fils premier né … », rôle clairement dévolu à Ruben, le prince à la pierre rouge sang.  

 

Aussi, que nous considérions la pierre de Joseph ou celle de Ruben, il semble que la pierre d’Ephraïm, qui n’existe pas, renvoie à d’autres pierres existantes sur le pectoral du Cohen Gadol : celles-ci sont rouges, rouge écarlate et rouge brun cramoisi. 

 

Par ailleurs, dans l’inconscient collectif occidental, ces deux couleurs de rouge vif et rouge cramoisi sont associées aux habits pontificaux. Il ne s’agit pas ici d’associer la chrétienté d’obédience vaticane à l’Ephraïm perdu. Il s’agit simplement de noter que la chrétienté, perdue et dispersée sur la planète, a consciemment décidé de s’associer à la couleur rouge. La particularité du rouge cramoisi réside dans son utilisation par les empereurs et autorités politiques : voilà bien le signe d’une chrétienté qui a confondu autorité spirituelle et pouvoir politique. 

 

Pour synthétiser, nous dirons que si Juda a épousé le blanc-bleu et qu’il est reconnaissable à ce titre, la chrétienté des nations (un visage d’Ephraïm) a épousé le rouge et ses nuances et qu’elle est reconnaissable à ce titre. 

 

Dès lors, nous pouvons dire que chacune de ces deux entités, Juda et Ephraïm, se sont partagé les quatre couleurs du culte mosaïque et les ont séparés … pour un temps ? 

 

Les quatre couleurs retrouvées des deux témoins  

 

Depuis la fin du règne de Salomon, Israël vit dans l’attente et la promesse de sa rédemption. Les deux royaumes de Juda et d’Ephraïm doivent se retrouver pour recomposer l’Israël de D.ieu. Nous croyons que cette perspective prophétique se rapproche et qu’elle sera possible par l’action du Machiah Yéshoua, « lui qui des deux, en a fait un ». 

 

Les prophètes ont annoncé ce jour, nous l’attendons avec enthousiasme et impatience. Nous exprimons cette foi et étayons cette espérance à l’aide de promesses prophétiques claires et sans ambiguïté. 

 

Ainsi, en atteste la vision des deux bois de Juda et d’Ephraïm (Ezéchiel 37).   

 

Ainsi, avons-nous décelé dans la reconstruction de l’autel aux douze pierres , une nécessité préalable à l’ouverture des temps messianiques.

 

Nous pourrions également évoquer ici, et dans ce cadre, la révélation prochaine d’un cantique de Moïse accompagné du cantique de l’Agneau (Apocalypse 15).

 

 Il convient maintenant de rajouter la caractéristique des quatre couleurs à la vision globale de ce prochain rapprochement de Juda et d’Ephraïm.  

 

Toutes ces images et enseignements prophétiques convergent vers cette unique finalité : le rassemblement des deux témoins et de leurs armées dans le cadre du dernier témoignage. 

 

Aussi pouvons-nous penser que le fanion, la bannière, le drapeau, le signe de ralliement des deux témoins, serait aux couleurs du Tabernacle itinérant, celui où le culte de hvhy Adonaï était authentique et véritable en son temps, car organisé et pensé conformément à un modèle supérieur, révélé à Moshé. 

 

Ce modèle et cette révélation du culte s’appuyaient notamment sur des codes couleurs voulus et imposés par D.ieu. Cette mitsvah n’a pas été effacée, cette ordonnance n’a pas été remplacée par une autre. Dès lors, les couleurs des « lutteurs avec D.ieu » ne sont ni « le blanc et le bleu » d’une part, ni « le rouge vif et cramoisi » d’autre part. 

 

Les deux témoins de hvhy Adonaï réunis au nom de Yéshoua combattront sous la bannière des quatre couleurs, laquelle s’opposera avec force à la fausse bannière aux quatre couleurs de l’impie. Notons pour l’anecdote que ces quatre « fausses couleurs » sont largement présentes dans les drapeaux des Etats islamiques d’aujourd’hui. Ce qui ne signifie en rien que ces états constituent à eux seuls l’empire de l’antéchrist. Ils en arborent les couleurs, ce qui est déjà en soi un signe évident de ralliement et/ou de diversion opportune de la part de ceux qui les instrumentalisent. 

 

Les deux chérubins, témoins et gardiens de la Parole        

 

Sur les couvertures aux quatre couleurs délimitant le Tabernacle, un seul motif explicite était toléré car pédagogique pour le peuple : les deux chérubins. Ne pouvant pénétrer dans le Saint des saints pour y voir l’Arche de l’Alliance aux chérubins d’or – siège de la Présence-Shekhinah de hvhy Adonaï – le peuple devait, depuis le parvis de l’extérieur, se contenter d’une représentation brodée de cette réalité supérieure. La porte d’entrée au parvis était elle-même une couverture brodée de quatre couleurs. Il est de coutume de représenter les deux chérubins du voile intérieur en blanc, sur fond des quatre couleurs. Ces deux chérubins sont également deux témoins : gardiens dela Torah écrite et révélée, ils témoignent au peuple par leur simple présence que cette Parole est vivante et sacrée. Ils en interdisent l’accès à tout profane certes, mais ils en autorisent et favorisent même l’accès à tout ce qui est saint, qadosh via le sacrifice. 

 

Quatre couleurs brodées de deux chérubins, voilà assurément une belle bannière qui, brandie au nom de Yéshoua par les deux témoins de hvhy Adonaï, pourrait demain guider les soldats de l’Adon, à Sa rencontre.

 

 Conclusion  

 

Si l’Apocalypse nous révèle la bannière de l’impie et les quatre couleurs que les Saints auront à redouter, à craindre mais à combattre avec détermination, la Torahpourrait nous avoir révélé depuis le commencement les couleurs à élever haut dans le ciel, pour se revendiquer du camp de l’Adon. Ces quatre couleurs sont constitutives du Mishkan itinérant et relèvent d’une prescription divine. Elles appartiennent à l’Israël de D.ieu, c’est-à-dire à Juda et à Éphraïm, Juifs et non Juifs. Depuis leur sortie d’Egypte, ces quatre couleurs définissent l’identité des deux « témoins » de hvhy Adonaï. Puissent-ils les redécouvrir, les adopter et les lever au Nom de Yéshoua.    

 

 

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