L’Euro pourrait disparaître très rapidement. Pour l’économiste français Jacques Attali, la monnaie unique pourrait même ne pas survivre jusqu’au prochain Noël.
Jacques Attali est pessimiste quant à l’avenir de la monnaie unique. Pour l’économiste, la crise des dettes souveraines pourrait avoir raison de l’Euro en moins d’un mois. Lire ICI sur 7sur7.be (pour nous c’est de l’intox…c’est un nouveau jeu où on joue à se faire peur !?)
Mais Heureusement, ATTALi donne la solution miracle : plus d’EUROPE ! “Il faut mettre en place un plan à trois niveaux”, dit-il expliquant qu’il faut avant tout permettre à la Banque centrale européenne de racheter ses obligations d’état. Mais ce n’est pas tout, pour Jacques Attali, il est temps que les pays de la zone euro abandonne un peu de leur souveraineté. “Au bénéfice des autres et pas des marchés”, explique-t-il en indiquant qu’il faut conlure un accord de contrôle budgétaire en ce sens. Pour terminer, Jacques Attali pense qu’il faudrait réformer les traités. “Pour permettre à l’Europe d’avoir dès à présent des recettes fiscales”, dit-il. “Voici les trois étages. Le premier peut se faire en cinq minutes, le deuxième en une semaine, le troisième en six mois. Mais il faut lancer les trois en même temps. Sinon, on va au désastre” (Prophète de malheur…et agent commercial du cartel bancaire ?) C’est cousu de fils blancs. ATTALI fait peur…puis propose une solution que les politiques se sont déjà vue imposée par le Cartel bancaire. Un prophète des nations au service de son maître ? Oui, mais lequel ?
Paris et Berlin vont donc proposer de modifier les traités européens
L’Euro pourrait disparaître très rapidement. Pour l’économiste français Jacques Attali, la monnaie unique pourrait même ne pas survivre jusqu’au prochain Noël.Jacques Attali est pessimiste quant à l’avenir de la monnaie unique. Pour l’économiste, la crise des dettes souveraines pourrait avoir raison de l’Euro en moins d’un mois. C’est ce qu’il confie dans une interview à 20 Minutes.
A la question: “Faut-il craindre la perte par la France de son AAA”, Jacques Attali va encore plus loin et montre l’urgence de la situation. “La question n’est plus celle-là”, lance-t-il. “La question désormais est la suivante: est-ce que l’euro existera toujours à Noël? Il y a plus d’une chance sur deux pour que la monnaie unique ne soit plus là ou du moins qu’elle soit en train de se défaire”.
Pour le célèbre économiste, il reste cependant une et une seule solution pour ne pas en arriver là. “Il faut mettre en place un plan à trois niveaux”, dit-il expliquant qu’il faut avant tout permettre à la Banque centrale euopéenne de racheter ses obligations d’état. Mais ce n’est pas tout, pour Jacques Attali, il est temps que les pays de la zone euro abandonne un peu de leur souveraineté. “Au bénéfice des autres et pas des marchés”, explique-t-il en indiquant qu’il faut conlure un accord de contrôle budgétaire en ce sens.
Pour terminer, Jacques Attali pense qu’il faudrait réformer les traités. “Pour permettre à l’Europe d’avoir dès à présent des recettes fiscales”, dit-il. “Voici les trois étages. Le premier peut se faire en cinq minutes, le deuxième en une semaine, le troisième en six mois. Mais il faut lancer les trois en même temps. Sinon, on va au désastre”. (CB)
L’euro sous 1,33 dollar pour la première fois depuis début octobre

L’euro est tombé vendredi sous le seuil de 1,33 dollar pour la première fois en sept semaines, dans un marché sous pression alors que montent les craintes de voir la crise de la dette en zone euro faire de nouvelles victimes faute de solution durable sur la table.
Vers 10H15 heure belge, l’euro est tombé à 1,3254 dollar, chutant sous 1,33 dollar et atteignant son niveau le plus faible depuis le 6 octobre. La monnaie unique oscillait par la suite autour de 1,3270 dollar, en nette baisse par rapport à jeudi vers 23H00 où elle valait 1,3347 dollar.
“La crise des dettes souveraines est arrivée à la croisée des chemins: soit les responsables politiques capitulent face à la pression du marché, soit ils ne capitulent pas”, commentait Jane Foley,
“Le marché réclame soit une sorte d’euro-obligation soit une intervention de grande envergure de la BCE (Banque centrale européenne)”, expliquait Mme Foley, deux projets auxquels la chancelière allemande Angela Merkel reste opposée.
Ces doutes persistants sur la capacité des dirigeants européens de s’accorder sur une solution durable à la crise pesaient lourdement sur les capacités de pays fragiles de la zone euro à emprunter sur les marchés.
Preuve de la défiance des investisseurs, les taux de rendement des obligations à 10 ans de l’Italie, troisième plus grosse économie de l’Union monétaire et vue comme possible prochain pays à nécessiter une aide financière extérieure, continuaient de progresser au-dessus du seuil de 7%, niveau jugé ingérable dans la durée pour les pays fortement endettés. (belga)