Le Mont du Temple freine la normalisation avec les alliés arabes d’Israël

Comment la présence de Ben Gvir sur le mont du Temple a coûté à Netanyahu

Les problèmes de Netanyahu ont commencé moins d’une semaine après son retour au poste de Premier ministre, lorsque le ministre d’extrême droite de la Sécurité intérieure, Itamar Ben Gvir – qui a longtemps demandé la fin du fragile statu quo sur le mont du Temple pour y autoriser la prière juive – s’est rendu sur place, dans ce lieu saint qui est vénéré par les musulmans qui l’appellent leur Noble sanctuaire et qui est aussi considéré comme le lieu le plus important du judaïsme.

Ses 13 minutes de visite sur le site ont déclenché un torrent de condamnations internationales, y compris de la part des États-Unis, le plus proche allié d’Israël, et de l’un de ses nouveaux alliés, les Émirats arabes unis.

Abou Dhabi a dénoncé la « prise d’assaut de l’esplanade de la mosquée Al-Aqsa » par Ben Gvir, exigeant la fin de « ces violations graves et de ces actes de provocation ».

Les EAU ont également soutenu une demande qui a conduit à une réunion d’urgence du Conseil de sécurité, ce qui n’a fait qu’aggraver la polémique sur le plan international.

Netanyahu, qui était en pourparlers pour se rendre aux EAU la semaine suivante, avait insisté sur le fait qu’Israël était déterminé à préserver le statu quo sur le mont du Temple, mais les Émiratis ont reporté son déplacement, invoquant des problèmes de calendrier. Le diplomate du Moyen-Orient qui s’est entretenu avec le Times of Israel a confirmé que les agissements de Ben Gvir étaient bien à l’origine du report de la visite.

« Une décision a été prise pour ralentir les engagement publics », a sobrement déclaré le diplomate, bien que quelques semaines auparavant, l’ambassadeur des EAU en Israël ait été photographié en train de saluer Ben Gvir lors d’un événement organisé par l’ambassade émiratie. Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, sur le mont du Temple, le 3 janvier 2023. (Crédit : Minhelet Har Habayit)

L’ambassadeur américain en Israël, Tom Nides, a de son côté pris la parole au nom de l’administration Biden, qualifiant la visite du ministre de la Sécurité nationale sur le mont du Temple « d’inacceptable » dans une déclaration faite peu après le départ de Ben Gvir du lieu saint.

« Nous n’étions pas favorables à cette visite, compte tenu du contexte », a ultérieurement déclaré Nides au Times of Israel.

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ISRAËL au risque d’une réforme de son système judiciaire…

Sélection des juges, réexamen des Lois fondamentales : première lecture approuvée à la Knesset

Après une journée de manifestations et de discours féroces, le vote est passé avec 63 voix « Pour » et 47 voix « Contre »

Des Israéliens participent à une manifestation de grande ampleur contre le projet de réforme judiciaire, près de la Knesset à Jérusalem, le 20 février 2023. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)

La Knesset a adopté en première lecture et aux premières heures de la journée de mardi une législation significative – la première qui entre dans le cadre de l’effort controversé du gouvernement de la droite dure du Premier ministre Benjamin Netanyahu visant à refondre le système judiciaire. Une adoption qui a eu lieu dans un contexte de critiques féroces de l’opposition et après que des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées aux abords de l’enceinte de la Knesset, à Jérusalem.

Le vote a remporté 63 voix « Pour » et 47 voix « Contre », sans abstention même si certains députés avaient boycotté le scrutin. La loi va dorénavant revenir au sein de la Commission de la Constitution, du droit et de la Justice pour être préparée en vue de la seconde lecture et de la troisième – qui devraient être organisées d’ici la fin du mois de mars.

Associée, lors du vote, à un autre texte de loi technique, la législation vient amender la Loi fondamentale : Le système judiciaire en accordant le contrôle sur les nominations des juges au gouvernement et en ôtant à la Haute-cour sa capacité à réexaminer les Lois fondamentales.

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Donald TRUMP et le conflit en UKRAINE… Faire la paix avec POUTINE ?


D. Trump DÉTRUIT Obama et Biden pour leur bellicisme en Ukraine et pour avoir provoqué la révolution ukrainienne


Fidèle aux thèmes de ses campagnes présidentielles de 2016 et 2020, l’ancien président Donald Trump a fustigé Biden et Barack Obama pour leurs politiques étrangères dans une vidéo récemment publiée intitulée  » Stopping the Warmongers and Globalists « .Trump a déclaré que si l’invasion de l’Ukraine par la Russie était inexcusable, Biden conduit actuellement le pays sur un chemin qui pourrait se terminer par une troisième guerre mondiale.

Il a également critiqué l’establishment de la politique étrangère pour nous avoir constamment impliqués dans des guerres, sans jamais savoir ou avoir le désir de nous en sortir.

Le président Trump a ensuite évoqué la culpabilité d’Obama dans la crise actuelle en Ukraine, suggérant que lui et Victoria Nuland, fonctionnaire du département d’État, ont intentionnellement fomenté le chaos en Ukraine et contribué à la révolution de couleur qui s’y est produite pour saper le président russe Vladimir Poutine.

Le Post Millenial rapporte : « La troisième guerre mondiale n’a jamais été aussi proche qu’en ce moment », a commencé Trump.

« Nous devons faire le ménage de tous les bellicistes et des derniers mondialistes de l’Amérique dans l’État profond, le Pentagone, le Département d’État et le complexe industriel de sécurité nationale. »

Trump a déclaré que l’une des raisons pour lesquelles « j’ai été le seul président depuis des générations » à ne pas déclencher une guerre était parce que « j’ai été le seul président qui a rejeté les conseils catastrophiques de nombreux généraux de Washington, des bureaucrates et des soi-disant diplomates qui savent seulement comment nous faire entrer dans un conflit, mais ils ne savent pas comment nous en sortir. »

« Pendant des décennies, nous avons eu les mêmes personnes, comme Victoria Nuland et beaucoup d’autres comme elle, obsédées par le fait de pousser l’Ukraine vers l’OTAN, sans parler du soutien du département d’État aux soulèvements en Ukraine », a déclaré Trump.

Trump a ajouté que ces personnes « cherchent la confrontation depuis longtemps, un peu comme le cas en Irak et dans d’autres parties du monde. »

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V. Poutine, Moscou s’oppose à la construction d’un monde qui serait dans l’intérêt d’un seul pays.


La Russie est consciente du fait qu’après le démembrement de l’URSS, la situation dans le monde a changé. Elle ne l’empêche pas, y compris au sein de l’Onu. Mais elle ne veut pas que le nouveau monde soit construit uniquement dans l’intérêt d’un seul pays, les États-Unis. C’est ce qu’a déclaré le Président russe dans une interview diffusée ce dimanche à la chaîne de télévision Rossiya 1.Le président russe Vladimir Poutine

Dans l’après-URSS, de nouveaux centres de force apparaissent. « Cela doit, naturellement, influer l’édification des relations internationales. […] La Russie a un potentiel différent [de celui de l’URSS]. Nous en sommes conscients et sommes d’accord que le monde change », a précisé Vladimir Poutine, rapporte Sputnik.

La Russie songe en même temps à réformer l’Organisation des Nations unies.

« À quoi nous opposons-nous ? À ce que le nouveau monde qui se profile se forme uniquement dans l’intérêt d’un seul pays, en l’occurrence les États-Unis. Et c’est cela qu’ils veulent faire, tout le monde le comprend, je vous assure. »

L’OTAN participe au conflit en Ukraine

Le président russe a en outre accusé l’OTAN de participer au conflit en Ukraine en fournissant des armes aux forces de Kiev.

« Ils envoient des dizaines de milliards de dollars d’armes à l’Ukraine. Ceci est vraiment de la participation », a dit M. Poutine, cité par l’AFP.

Et d’ajouter : « Cela signifie qu’ils prennent part, quoiqu’indirectement, aux crimes du régime de Kiev ».

Les pays occidentaux, a-t-il encore affirmé, n’ont « qu’un seul but: détruire l’ancienne Union soviétique et sa partie principale, la fédération de Russie ».

« Ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils nous accepteront peut-être dans la soi-disant famille des peuples civilisés, mais seulement séparément, chaque partie séparément », a-t-il ajouté, parlant en marge d’un concert patriotique jeudi dernier, à la veille du premier anniversaire de l’offensive russe en Ukraine.

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Medvedev réplique aux propos de Stoltenberg, ils sont fous, ils nous craignent, ils nous haïssent.


Sputnik rapporte que l’Otan est plus effrayée par une victoire russe en Ukraine que par une Troisième Guerre mondiale, a conclu l’ancien Président russe Dmitri Medvedev, après avoir consulté les propos du chef de l’Otan Jens Stoltenberg, lors de l’ouverture la 59e conférence de Munich sur la sécurité, le 17 février, réunissant une trentaine de dirigeants occidentaux.

« Stoltenberg a dit que le risque d’une victoire russe était plus élevé que le risque d’une escalade du conflit. Je traduis de manière compréhensible : le risque d’une Troisième Guerre mondiale est moins important que le risque d’une victoire de notre pays. Ils sont fous. Ils nous craignent et nous haïssent », a-t-il ainsi déclaré sur sa chaîne Telegram.

Le secrétaire général de l’Otan avait balayé d’un revers de main les risques d’escalade en Ukraine, affirmant que le plus grand risque était une victoire russe.
« Certains craignent que notre soutien à l’Ukraine ne déclenche une escalade. Laissez-moi être clair: il n’y a pas d’option qui ne soit pas risquée. Mais le plus grand risque de tous est que Poutine gagne », avait ainsi déclaré Jens Stoltenberg .

Durant le sommet de Munich, plusieurs chefs d’États européens sont montés au créneau pour exprimer des prise de positions qui excluent que la Russie puisse gagner dans cette guerre.
Emmanuel Macron a ainsi asséné:  » La Russie ne peut ni ne doit gagner cette guerre contre l’Ukraine », soulignant que Paris était prêt à « un conflit prolongé ». Estimant que « l’heure n’était pas aujourd’hui au dialogue » avec Moscou.

C’est la chef de la diplomatie russe Maria Zakharova qui a repondu au chef de l’Etat français.
« Les livraisons d’armes sur fond de déclarations sur l’inadmissibilité de la victoire de la Russie ne laissent pas d’autre conclusion logique, elle est la seule: on nous souhaite la défaite. Mais ils en resteront pour leurs frais », a écrit Mme Zakharova sur Telegram.

La diplomate a aussi commenté les propos de M.Macron sur un changement de pouvoir en Russie, prononcés à la conférence de Munich sur la sécurité.
« Il a ouvertement reconnu que pendant toutes ces années, l’Occident ne faisant pas que de s’immiscer dans les affaires intérieures de la Russie, il tentait de renverser le pouvoir […]. Cela veut dire qu’il s’imposait sans fin comme interlocuteur du pouvoir russe tout en sachant qu’une campagne de changement de pouvoir anticonstitutionnel était en cours contre [notre] pays. Charmant. »

La position de M. Macron a soulevé des réactions outrées sur les réseaux sociaux. Sputnik en a rapporté quelques-unes

L’essayiste Laurent Ozon a ainsi rappelé que la Russie était une puissance nucléaire et que chercher sa défaite dans les conditions actuelles était « un pari de fou furieux ». L’analyste a souligné que Moscou ne pouvait pas se permettre de perdre et de voir l’Otan installer ses missiles à ses frontières.

Le journaliste Didier Maïsto a quant à lui rappelé les réalités du conflit, dont la poursuite nécessite du matériel et des effectifs. Il a moqué la vision « Call of Duty » du Président français, en référence au célèbre jeu vidéo de guerre.

La politologue Mua Mbuyi a ironisé sur les soutiens réels de Kiev dans le conflit, estimant que l’Occident était bien seul dans cette bataille.

La France envoie les Ukrainiens « à l’abattoir » en souhaitant la poursuite des hostilités, a pour sa part déploré Jonathan Watermolen, responsable du parti Reconquête dans le Pas-de-Calais.

Selon Sputnik, clin d’œil de l’histoire: c’est justement lors de la Conférence de Munich de 2007 que Vladimir Poutine avait prononcé l’un des discours fondateurs de sa politique internationale. À l’époque, le Président russe avait déjà mis en garde contre l’élargissement de l’Otan à l’Est, qui constituait selon lui « une provocation sapant la confiance mutuelle ».

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1ère GPA israélienne pour un couple GAY : ISRAËL un pays comme les autres ?

Lapid salue le succès de première GPA pour un couple gay réalisée en Israël

La GPA pour tous est l’une des mesures prises par la coalition mise sur pied par la coalition Lapid-Bennett ayant gouverné le pays de juin 2021 à décembre 2022

Le chef de l’opposition israélienne Yaïr Lapid a salué mardi l’annonce de la première naissance en Israël d’un enfant né d’une GPA pour un couple gay, y voyant un lien avec le projet de défense de la justice qui divise le pays.

« Mazal tov [Félicitations, NDLR], et quelle chance que nous ayons une Cour suprême », a déclaré l’ancien Premier ministre Lapid sur Twitter en publiant un article du site d’informations en ligne Ynet sur cette naissance.

Selon Ynet, il s’agit de la première naissance d’un enfant grâce à une gestation pour autrui (GPA) en Israël au profit d’un couple gay, et la mère porteuse est israélienne.

« Il s’agit d’une étape importante dans la lutte pour l’égalité […] Nous avons reçu aujourd’hui un rappel de l’importance d’une justice indépendante sans laquelle les couples LGBT+ ne pourraient pas avoir d’enfants en Israël », a déclaré Hila Peer, présidente de l’Association pour les LGBT+, dans un communiqué.

La naissance célébrée par M. Lapid a été rendue possible par un arrêt rendu en 2021 par la Cour suprême et autorisant la GPA pour les couples gays. La Cour avait alors décrété qu’interdire aux couples homosexuels et aux hommes célibataires de recourir à la GPA était « contraire aux droits humains ».

La GPA pour tous est l’une des mesures prises par la coalition mise sur pied par M. Lapid (centre) ayant gouverné le pays de juin 2021 à décembre 2022. Le député Yesh Atid Yair Lapid prend la parole lors d’une réunion de faction à la Knesset, le 20 février 2023. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)

Mais nombre de membres de la communauté LGBT+ craignent qu’avec la réforme judiciaire controversée annoncée par le gouvernement formé en décembre par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, les droits acquis soient remis en question.

Certains membres de la coalition au pouvoir sont opposés à toute forme de GPA et ouvertement homophobes.

Actuellement discuté au Parlement, le projet de réforme de la justice présenté par M. Netanyahu (droite) et ses alliés d’extrême droite et de formations ultraorthodoxes, divise profondément la société israélienne.

Il vise notamment à limiter drastiquement les attributions et le pouvoir de la Cour suprême.

En Israël, les questions relevant du statut personnel dépendent d’autorités religieuses (juives, musulmanes ou chrétiennes) n’autorisant pas les mariages homosexuels, mais la loi israélienne reconnaît les mariages gays conclus à l’étranger.

Le recours à des mères porteuses avait été légalisé en Israël en 1996, mais uniquement pour les couples hétérosexuels, puis pour les femmes célibataires. Avant la décision de la Cour suprême de 2021, certains couples homosexuels israéliens avaient recouru à la GPA à l’étranger.

En août 2022, Yaïr Lapid, alors Premier ministre, avait participé à rassemblement LGBTQ.

« Chacun a le droit fondamental d’être parent et de fonder une famille », avait-il déclaré lors de l’événement organisé à Tel-Aviv pour marquer les 20 ans de la création d’Israël Gay Youth (IGY), qui s’occupe des jeunes de la communauté LGBTQ en Israël.

Le groupe avait également noté que la visite de Lapid était une première pour un Premier ministre en exercice et qu’elle marquait une étape importante, selon le site d’information israélien, Ynet.

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LGBTQ++ en ISRAËL : TORAH contre modernité ?

Quand des Israéliens pratiquants tentent de concilier orthodoxie et transidentité

La législation israélienne est avancée dans la protection des droits des LGBT+, mais dans le judaïsme orthodoxe la transidentité reste un sujet largement tabou

Il y a quelques mois, Yaël Rashlin, une femme juive pratiquante transgenre, s’est découvert la tête, enfreignant un interdit important dans le judaïsme pour les femmes mariées, afin de se démarquer d’une communauté orthodoxe qui, dit-elle, « ne veut pas de nous ».

En couple avec une femme, cette mère de cinq enfants, dont trois d’une première union lorsqu’elle s’identifiait comme un homme, explique ne « plus pouvoir prier le même dieu que des gens qui aujourd’hui essayent de détruire ma communauté [LGBT+, NDLR] et de détruire nos vies ».

Le résultat des dernières élections, qui a conduit à l’entrée au Parlement israélien de personnalités religieuses et d’extrême droite connues pour leurs positions anti-LGBT+ a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Mais déjà avant le scrutin, confie l’épouse de Yaël, Hadar Rashlin, 30 ans, « le prix à payer était devenu trop lourd pour gérer ce conflit entre former un couple LGBT+ et appartenir à la communauté orthodoxe ».

Yaël se souvient des réactions hostiles lorsqu’elles avaient la tête couverte et marchaient dans la rue en se donnant la main. « Les couples religieux ont le droit de se tenir la main dans la rue mais si tu es une femme avec la tête couverte tu ne peux pas donner la main à une autre femme. Cela provoque des questions, des regards, des réflexions humiliantes et déplacées », déplore-t-elle.

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La théocratie en marche en ISRAËL ?

Les projets de loi sur la religion et l’État approuvés en lecture préliminaire

Les projets de loi visant à interdire l’introduction du hametz dans les hôpitaux pendant Pessah et à étendre les pouvoirs des tribunaux rabbiniques continuent de progresser

Deux projets de loi controversés sur la religion et l’État ont été approuvés en lecture préliminaire à la Knesset mercredi, l’un interdisant d’apporter des produits contenant du levain – ou hametz – dans les hôpitaux publics pendant la fête de Pessah et l’autre élargissant les pouvoirs des tribunaux rabbiniques.

Ces deux projets de loi parrainés par le gouvernement Netanyahu ont rencontré une vive résistance, y compris de la part de certains groupes religieux, qui les considèrent comme susceptibles de dresser les Israéliens contre le judaïsme.

La législation proposée par le député Moshe Gafni (Yahadout HaTorah) exigerait que les hôpitaux publics interdisent les aliments contenant du levain, connus sous le nom de hametz, pendant Pessah. Elle a été adoptée par 60 voix contre 49.

Le bureau de la procureure générale s’oppose au projet de loi, estimant que dans sa forme actuelle, la législation allait trop loin et serait difficile à défendre devant les tribunaux.

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ISRAËL au bord de l’implosion…

Ehud Barak craint l’avènement d’une dictature et envisage la désobéissance civile

L’ex-Premier ministre, ministre de la Défense et chef d’état-major a déclaré que la réforme judiciaire était une menace « immédiate et bien réelle » pour la démocratie israélienne

L’ex-Premier ministre Ehud Barak s’exprime lors d’une conférence organisée par Haaretz, le 23 février 2023. (Capture d’écran sur YouTube; utilisé conformément à l’article 27a de la Loi sur les droits d’auteur)

L’ex-Premier ministre Ehud Barak a déclaré jeudi qu’Israël était sur le point de sombrer dans une dictature, poussé par un gouvernement radical désireux de renverser le système judiciaire. Il a ajouté que la population aurait l’obligation morale de refuser les ordres d’un « régime illégitime ».

En Israël, des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue chaque semaine pour protester contre le remaniement judiciaire du gouvernement, ce qui constitue l’une des plus grandes unités observées dans le pays depuis des années. À New York, un groupe de manifestants dirigé par des expatriés israéliens et des résidents temporaires a organisé des rassemblements hebdomadaires contre le gouvernement dans le Washington Square Park de Manhattan. Leur prochaine manifestation aura lieu dimanche à midi.

Quelques heures avant la manifestation, la JFNA a publié une lettre mettant en garde Netanyahu contre le projet de son gouvernement de légiférer sur une clause dite  » dérogatoire » qui permettrait à une majorité simple de 61 sièges à la Knesset d’annuler les décisions de la Cour suprême, ce qui constitue une rupture majeure avec la politique habituelle du groupe juif américain qui consiste à se tenir à l’écart de la politique israélienne interne.

Alors que la coalition fait passer sa législation au bulldozer dans le Parlement qu’elle domine sans effort, le climat interne d’Israël s’échauffe – au point que le chef de l’agence de sécurité intérieure du Shin Bet a informé ces derniers jours Netanyahu, Levin, et le chef de l’opposition Yaïr Lapid, entre autres, du « potentiel croissant de violence et d’escalade » et les a exhortés à « tout faire pour apaiser le climat ambiant ». Herzog a averti la semaine dernière qu’Israël « se dirige vers l’abîme » et est au « bord d’un effondrement constitutionnel et sociétal ».

La Déclaration d’Indépendance promet que l’État d’Israël « assurera une complète égalité de droits sociaux et politiques à tous ses habitants sans distinction de religion, de race ou de sexe ; il garantira la liberté de religion, de conscience, de langue, d’éducation et de culture… » À ce jour, ces garanties et engagements fondamentaux sont directement et concrètement menacés par le gouvernement censé, justement, les faire respecter. Et tous les partis qui la composent sont directement investis dans la neutralisation du système judiciaire – que ce soit pour garantir que les hommes ultra-orthodoxes puissent bénéficier d’un financement public accru pour étudier la Torah à plein temps tout en échappant au service militaire, ou pour permettre des changements profonds dans la politique israélienne en Cisjordanie… ou pour garantir que, non, tout le monde en Israël n’est pas égal devant la loi.

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La CHINE appelle à la paix en EUROPE



La République populaire de Chine a publié un « plan de paix » en 12 points appelant à un cessez-le-feu entre la Russie et l’Ukraine avant le premier anniversaire de la guerre. Affirmant qu’il ne veut pas que la crise devienne incontrôlable, le ministère chinois des affaires étrangères a établi un plan pour résoudre le conflit et mettre fin aux hostilités.

Le premier point du plan est de « [respecter] la souveraineté de tous les pays », en demandant que « la souveraineté, l’indépendance et l’intégrité territoriale de tous les pays » soient « effectivement défendues. »

Deuxièmement, le ministère appelle à l’abandon de « la mentalité de la guerre froide », affirmant que « la sécurité d’une région ne doit pas être obtenue par le renforcement ou l’expansion des blocs militaires. »

Le troisième point est de cesser les hostilités.

« Toutes les parties doivent rester rationnelles et faire preuve de retenue, éviter d’attiser les flammes et d’aggraver les tensions, et empêcher la crise de se détériorer davantage, voire d’échapper à tout contrôle », indique le post du ministère.

« Toutes les parties devraient soutenir la Russie et l’Ukraine pour qu’elles travaillent dans la même direction et reprennent le dialogue direct le plus rapidement possible, afin de désescalader progressivement la situation et de parvenir finalement à un cessez-le-feu global », poursuit le texte.

Ensuite, le plan appelle à la reprise des pourparlers de paix entre les pays belligérants, insistant sur le fait que « [le] dialogue et la négociation sont la seule solution viable à la crise ukrainienne. »

Les points suivants doivent être abordés : résoudre la crise humanitaire, protéger les civils et les prisonniers de guerre, assurer la sécurité des centrales nucléaires, réduire les risques stratégiques, faciliter les exportations de céréales, mettre fin aux sanctions unilatérales, assurer la stabilité des chaînes industrielles et d’approvisionnement et promouvoir la reconstruction après le conflit.

Ce plan a été accueilli avec beaucoup de scepticisme par l’Ukraine et l’Occident, qui s’opposent à l’appel de Pékin en faveur de la fin des sanctions occidentales, ce qui conduirait probablement l’Ukraine à céder des territoires et l’OTAN à se retirer de ses frontières orientales. En outre, les efforts de reconstruction proposés profiteraient probablement aux entrepreneurs chinois.

En outre, bien que la Chine ait officiellement déclaré sa neutralité dans le conflit, elle entretient une relation « sans limites » avec la Russie et a toujours refusé de critiquer son invasion de l’Ukraine. Des rapports ont également révélé que la Chine envoie une aide non létale à la Russie et qu’elle envisage d’envoyer une aide létale aux troupes russes.

La Chine a répliqué aux États-Unis pour ces accusations, insistant sur le fait que ce sont les États-Unis qui ont choisi leur camp en « déversant » des armes dans la région.

Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a commenté la proposition de paix de la Chine, affirmant que la nation communiste n’a pas beaucoup de crédibilité dans la situation pour tenter de devenir un médiateur.

« La Chine n’a pas beaucoup de crédibilité car elle n’a pas été capable de condamner l’invasion illégale de l’Ukraine », a déclaré Stoltenberg, soulignant également que Pékin a signé un accord avec Poutine quelques jours seulement avant le début de l’invasion.

M. Stoltenberg a également abordé les rapports faisant état de l’envoi d’armes par la Chine à la Russie, déclarant : « Nous n’avons pas vu la livraison effective d’une aide létale, mais ce que nous avons vu, ce sont des signes et des indications selon lesquels la Chine pourrait planifier et envisager la fourniture d’une aide militaire à la Russie. »

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a également commenté la proposition de la Chine, suggérant que la Chine avait déjà pris parti dans le conflit et qu’ils étaient incapables d’être une force neutre dans la guerre.

« Il faut voir [le plan de paix de la Chine] dans un contexte spécifique, et c’est le contexte dans lequel la Chine a déjà pris parti en signant, par exemple, une amitié illimitée juste avant l’invasion », a-t-elle déclaré.

« Nous examinerons donc les principes, bien sûr, mais nous les examinerons avec en toile de fond le fait que la Chine a pris parti. »

Jorge Toledo, l’ambassadeur de l’Union européenne en Chine, a insisté sur le fait que la Chine avait une « responsabilité particulière » de défendre les objectifs et les valeurs des Nations unies, en particulier en temps de guerre.

« Si cela est compatible avec la neutralité, je ne suis pas sûr – cela dépend de ce que signifie la neutralité », a déclaré Toledo.

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L’INDE au secours de la RUSSIE : les BRICS contre-attaquent !

Inde : Washington veut faire tomber Modi, proche de la Russie. Le site web du centre de recherche canadien Global Reaserch a révélé que les États-Unis veulent faire tomber le dirigeant indien actuel, Narendra Modi, vu qu’il est l’un des partenaires économiques les plus importants de la Russie. Dans le cadre des sanctions économiques occidentales sans précédent imposées à la Russie, en raison de la guerre en Ukraine, l’administration Biden et des responsables britanniques ont déployé des efforts répétitifs pour amener Modi à les rejoindre. Mais le numéro un indien a refusé de se joindre aux sanctions contre le commerce russe, surtout le commerce du pétrole. Sous sa direction, l’Inde est devenue un partenaire commercial essentiel de la Russie au milieu des sanctions. La Russie est désormais le plus grand fournisseur de pétrole brut de l’Inde, dépassant l’Irak et l’Arabie saoudite. En décembre, l’Inde a acheté chaque jour 1,2 million de barils de brut à la Russie, soit 33 fois plus qu’un an auparavant. Ironiquement, une partie de ce pétrole russe est raffinée en Inde et réexportée vers l’UE, qui vient d’interdire le pétrole russe. Avant le début de la guerre en Ukraine, l’Inde n’achetait que 1% du brut russe. Ce chiffre est passé à 28% en janvier. Aucun autre pays n’a autant augmenté sa consommation de pétrole russe, pas même la Chine, qui a aussi considérablement augmenté ses achats de pétrole russe. Si l’on ajoute les importations d’engrais et d’huile de tournesol russes et d’autres produits, les importations indiennes en provenance de Russie ont augmenté de plus de 400% en huit mois, jusqu’en novembre, par rapport à l’année précédente. L’Inde gène aussi, car elle fait partie du groupe de nations BRICS qui a pour objectif, entre autres, de détrôner le dollar comme monnaie unique et exclusive des échanges économiques. Elle est aussi un important acheteur de longue date d’équipements de défense russes. Global Research a déchiffré une série d’événements ciblés et au timing suspect suggérant qu’une déstabilisation anglo-américaine est en cours pour renverser Modi dans les mois à venir. Sachant qu’il doit faire face à une élection nationale au printemps 2024, et à d’importantes élections régionales cette année, qui détermineront son avenir. Une campagne a été menée en janvier 2023 contre son principal soutien et bailleur de fonds, Gautom Adani, par une société financière obscure de Wall Street, Hindenburg Research. Censée effectuer des « recherches financières médico-légales », la mystérieuse société qui est apparue en 2017 est soupçonnée d’avoir des liens avec le renseignement américain. Le même mois, la BBC, propriété du gouvernement britannique, a publié un documentaire télévisé accusant Modi d’avoir joué un rôle, il y a vingt ans, dans les émeutes religieuses au Gujarat, alors qu’il y était gouverneur. Le reportage de la BBC, qui a été interdit en Inde, était basé sur des renseignements non publiés fournis à la BBC par le ministère britannique des Affaires étrangères. Toujours selon Global Research, George Soros est entré en scène. S’exprimant le 17 février à la Conférence annuelle de Munich sur la sécurité, il a déclaré, de manière sinistre, que les jours de Modi étaient comptés. Impliqué dans toutes les révolutions de couleur depuis les années 1980, Soros surfe en Inde sur les conflits sectaires qui éclatent de temps à autre entre hindous auxquels il appartient et les Musulmans. Soros a détaillé son réquisitoire contre le dirigeant indien : « Modi entretient des relations étroites avec des sociétés ouvertes et fermées. L’Inde est membre du Quad (qui comprend également l’Australie, les États-Unis et le Japon), mais elle achète beaucoup de pétrole russe avec une forte décote et gagne beaucoup d’argent avec… »
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ISRAËL se LGBTQ++

Lapid participe à un rassemblement LGBTQ – une première pour un Premier ministre

« Chacun a le droit fondamental d’être parent et de fonder une famille », a déclaré le Premier ministre, regrettant que les politiciens aient peur de soutenir les changements

Le Premier ministre Yair Lapid lors d’un événement pour marquer les 20 ans de la fondation de la Jeunesse gay israélienne, à Tel Aviv, le 27 août 2022. (Crédit : Elad Gutman)

Le Premier ministre Yair Lapid s’est adressé samedi lors d’un rassemblement LGBTQ, dans ce qu’il a dit être la première apparition d’un Premier ministre israélien en exercice à un événement officiel organisé par la communauté gay.

« Chacun a le droit fondamental d’être parent et de fonder une famille », a-t-il déclaré lors de l’événement organisé à Tel-Aviv pour marquer les 20 ans de la création d’Israël Gay Youth (IGY), qui s’occupe des jeunes de la communauté LGBTQ en Israël. Le groupe a également noté que la visite de Lapid était une première pour un Premier ministre en exercice et qu’elle marquait une étape importante, selon le site d’information israélien, Ynet.

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Elections israéliennes sur fond de tensions avec le nucléaire iranien

Le Premier ministre Yair Lapid et le leader de l’opposition Benjamin Netanyahu se sont vivement entretenus lundi après que le Premier ministre a briefé son prédécesseur sur l’accord nucléaire émergent entre l’Iran et les puissances mondiales.

Selon le bureau du Premier ministre, la réunion a porté sur l’accord avec l’Iran et « les activités diplomatiques et de défense qu’Israël mène pour influencer la question », entre autres questions de sécurité nationale.

« En matière de sécurité nationale, il n’y a pas d’opposition ou de coalition en Israël. Israël est fort et agira dans l’unité pour protéger ses intérêts en matière de sécurité contre ceux qui tentent de nous nuire », a déclaré Lapid dans des commentaires fournis par le bureau du Premier ministre.

Le secrétaire militaire de Lapid, Avi Gil, a également participé à la réunion.

Netanyahu s’est adressé à la presse après le briefing, disant qu’il était « plus inquiet après la réunion qu’avant ».

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Juifs & Catholiques en 1942 : une raison d’espérer ?

Des scouts juifs et catholiques lisent la lettre anti-nazie de 1942 de Mgr Saliège

Il y a 80 ans, le 23 août 1942, alors que les rafles et les déportations de Juifs se multipliaient dans la France de Vichy et en zone occupée par les nazis, Monseigneur Jules Saliège (1870-1956), archevêque de Toulouse reconnu Juste parmi les nations en 1969, publiait une lettre dans laquelle il exprimait son indignation contre le traitement infligé aux Juifs. Le préfet de la Haute-Garonne venait alors d’ordonner la déportation de Juifs des camps de Noé et de Récébédou vers les camps de la mort.

« Les Juifs sont des hommes, les Juives sont des femmes. Tout n’est pas permis contre eux, contre ces hommes, contre ces femmes, contre ces pères et mères de famille. Ils font partie du genre humain. Ils sont nos Frères comme tant d’autres. Un chrétien ne peut l’oublier », écrivait-il notamment.

« France, patrie bien aimée France qui porte dans la conscience de tous tes enfants la tradition du respect de la personne humaine. France chevaleresque et généreuse, je n’en doute pas, tu n’es pas responsable de ces horreurs. »

Cette lettre, alors relayée par les curés des paroisses du diocèse de Toulouse et dont le gouvernement français a essayé de bloquer la diffusion, a été largement reprise et diffusée par le Vatican et sur les ondes de la BBC.

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Pourquoi ISRAËL ne se résout pas à sanctionner la RUSSIE ?

Zelensky compte sur Israël pour se joindre aux sanctions contre la Russie

L’État juif, jusqu’à présent, a évité de se joindre aux nations qui ont imposé des sanctions à Moscou suite à l’invasion de l’Ukraine en février

Le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy assiste à une conférence de presse après le sommet de la Plate-forme Crimée à Kiev, en Ukraine, le 23 août 2022. (Crédit : Andrew Kravchenko/AP)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré jeudi s’attendre à ce qu’Israël prenne part aux sanctions internationales contre la Russie en raison de son invasion de son pays, après s’être entretenu avec le Premier ministre Yair Lapid.

« Je compte sur l’adhésion de son pays aux sanctions contre la Russie et la fourniture d’une assistance pratique à l’Ukraine pour contrer l’agression de la Fédération de Russie », a écrit Zelensky sur Twitter.

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Biolabs US en UKRAINE : un conflit peu en cacher un autre ?

Poutine ordonne à l’armée de détruire les laboratoires biologiques en Ukraine alors que les États-Unis éliminent les preuves de leur existence

27 février 2022

Le président russe Vladimir Poutine a ordonné à son armée de rechercher et de détruire les laboratoires biologiques de l’État profond des États-Unis, qui mènent des recherches top secrètes sur les zoonoses et les maladies infectieuses dans des dizaines de sites en Ukraine.

Ces derniers jours, des laboratoires d’armes biologiques situés dans des villes ukrainiennes telles que Kharkiv, Louhansk, Dnipropetrovsk et la capitale Kiev, entre autres, ont été pris pour cible par les troupes russes opérant sous les ordres directs de Poutine.

Pendant ce temps, l’ambassade américaine en Ukraine a été surprise en train d’effacer les preuves de l’existence de biolabs en Ukraine, tandis que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont commencé à dire aux masses que les biolabs n’existent pas.

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COVID : fin de l’état d’urgence en Israël ! Et en France ? L’Italie fascisante…

Plus de 2 ans après l’arrivée du COVID, Israël met fin à « l’état d’urgence » sanitaire

À partir du 1er mars, toute nouvelle restriction proposée par le gouvernement devra être approuvée par la Knesset ou la commission des lois et de la justice

Les ministres ont approuvé mercredi la transition d’Israël vers une « situation sanitaire spéciale » le 1er mars, mettant fin à l’état d’urgence national induit par la pandémie depuis plus de deux ans.

La décision intervient alors qu’Israël a vu son nombre de cas de COVID-19 baisser ces dernières semaines.

Dans le cadre de l’état d’urgence, de nouvelles restrictions pouvaient être instituées par le cabinet avant que la commission de la constitution, des lois et de la justice de la Knesset ne les approuve.

Cependant, dans le cas d’une « situation sanitaire particulière », selon la « loi corona » adoptée le mois dernier, les restrictions n’entreront en vigueur qu’après le vote de la commission pour les approuver, et elles doivent être portées devant le panel cinq jours avant que le gouvernement ne veuille les faire entrer en vigueur. La commission ou le plénum de la Knesset pourront également modifier ou annuler purement et simplement les restrictions qui leur sont soumises.

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L’UKRAINE nazie selon les Russes….

V. Poutine a raison. Les nazis sont bien en Ukraine formé par la CIA en 2015 et ayant pris le pouvoir avec la famille Soros, ils terrorisent le peuple ukrainien, il est grand temps de mettre fin à cela et de refaire un retour en arrière pour l’armée russe et réécrire l’histoire pour anéantir une fois pour toutes les Nazies et l’ordre mondial sioniste et cette Kabbale.

Poutine exhorte les soldats ukrainiens à ne pas laisser les «néo-nazis» prendre en otage les civils.

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Le Juif ZELENSKY

Zelensky, comique juif devenu ennemi numéro 1 de Poutine et guerrier de la démocratie

Le président ukrainien se retrouve au centre du conflit européen le plus significatif depuis la Seconde guerre mondiale

JTA — Il y a quatre ans, Volodymyr Zelensky était comédien dans une série comique diffusée sur une chaîne de télévision ukrainienne, « Serviteur du peuple », où il interprétait le président improbable d’un pays de l’Est de l’Europe.

Il se trouve aujourd’hui au centre du conflit le plus significatif à avoir éclaté sur le continent européen depuis la Seconde guerre mondiale. Après avoir pris les armes, Zelensky a parfaitement conscience que sa vie est dorénavant en danger, voire mise à prix.

« C’est peut-être la dernière fois que vous me voyez vivant », aurait-il déclaré aux leaders de l’Union européenne lors d’un appel téléphonique consacré aux initiatives envisagées par le bloc pour tenter de contrer l’avancer des Russes sur le territoire ukrainien.

Vendredi, il avait fait preuve de la même franchise concernant sa situation alors que les troupes russes lançaient leur offensive sur la capitale de Kiev : « L’ennemi m’a identifié comme étant la cible numéro un », avait-il déclaré dans un message filmé – sa famille étant la cible numéro deux.

Des images de Zelensky et de ses proches annonçant qu’ils allaient rester à Kiev ont circulé largement vendredi, et ses soutiens de plus en plus nombreux dans le monde entier le considèrent aujourd’hui comme un symbole de l’honneur et du courage à une ère ou les responsables ne semblent s’intéresser qu’à la préservation de leur propre statut.

« Nous sommes là. Nous sommes à Kiev. Nous défendons l’Ukraine », dit Zelensky dans une vidéo partagée sur Twitter.

En quelques années, Zelensky – qui est le tout premier président Juif d’Ukraine, un pays dont l’histoire juive est à la fois longue et compliquée – est rapidement devenu l’une des personnalités juives qui ont compté le plus dans le monde au fil de ces dernières décennies. Et au vu de son passé très éloigné de la politique, force est de reconnaître qu’elle est aussi l’une de ces personnalités juives les plus improbables.

Et des interrogations sur ses origines juives ne cessent d’affluer : est-ce que ces mêmes origines juives lui font courir – ou font-elles courir aux Juifs ukrainiens dans leur ensemble – plus de danger ? A-t-il contribué au conflit d’une manière ou d’une autre ? Et pourquoi Vladimir Poutine suggère-t-il qu’il serait un nazi ?

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UKRAINE : l’embarras israélien…

Pourquoi Israël peine à choisir son camp dans le conflit russo-ukrainien

Israël se trouve partagé entre le soutien à ses alliés dans la condamnation de l’invasion et la crainte de s’aliéner la Russie, cruciale pour la sécurité de sa frontière nord

JTA – Bien que situés en des points différents du spectre sioniste, le Premier ministre Naftali Bennett et le ministre des Affaires étrangères Yair Lapid mènent une politique étrangère dans l’ensemble assez cohérente. À l’exception fracassante du jour où la Russie a envahi l’Ukraine.

Lapid a clairement arrimé Israël à l’Occident en condamnant la Russie sans détour. Craignant pour sa part d’inscrire Israël dans un conflit sans issue, Bennett a déclaré que ce conflit ne regardait pas le pays.

Ces différentes approches ont révélé les dangers auxquels Israël fait face, alors qu’un nouveau conflit déchire le continent européen : prendre le parti des valeurs occidentales adoptées par Israël depuis sa création ou garder un œil sur le colosse russe qui se profile aux portes d’Israël, en Syrie.

« L’attaque russe contre l’Ukraine est une grave violation de l’ordre international », a déclaré Lapid lors d’une conférence de presse et jeudi à midi sur Twitter. « Israël condamne cette attaque. »

Bennett a quant a lui publié sa première déclaration sur la guerre tard jeudi soir, évoquant l’évacuation des ressortissants Israéliens, le soutien apporté aux Juifs désireux de quitter le pays ou encore l’offre d’aide humanitaire. Il n’a porté aucune accusation, ni cherché de responsable, se contentant de rappeler qu’il y aurait « des discussions et une évaluation régulière de la situation afin d’anticiper de possibles conséquences (si tant est qu’il y en ait) pour Israël ».

Dans un discours prononcé plus tôt dans la journée, à l’occasion d’une cérémonie de remise des diplômes à des officiers de Tsahal, et dont des extraits ont été publiés sur Twitter par Bennett lui-même, le Premier ministre a précisé les contours du principe qui sous-tend sa réticence à prendre parti.

« Ces temps nous enseignent, à notre grand regret, que les guerres entre armées ne sont pas une chose du passé », a-t-il déclaré.

« Le monde est beaucoup moins stable et notre région change tous les jours. » Il n’a pas fait mention de la Russie. Le Premier ministre Naftali Bennett s’adresse aux élèves officiers, le 24 février 2022. (Crédit : Amos Ben Gershom/GPO)

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OTAN : Escalade nucléaire

Russie : Poutine ordonne que les forces de dissuasion nucléaire russes soient en état d’alerte maximale… Il reproche aux puissances de l’OTAN de faire des « déclarations agressives » et d’interdire à la Russie l’accès au système bancaire SWIFT. par Qactus

Poutine ordonne que les forces de dissuasion nucléaire russes soient en état d’alerte maximale… Il reproche aux puissances de l’OTAN de faire des « déclarations agressives » et d’interdire à la Russie l’accès au système bancaire SWIFT.


Hier, nous avons rapporté comment les alliés de l’OTAN, y compris un Joe Biden apparemment réticent, ont accepté de saisir les actifs des entreprises russes et d’interdire la Russie du système bancaire SWIFT.

Aujourd’hui, après une nouvelle nuit d’échec dans la prise de Kiev, la capitale de l’Ukraine, Poutine, qui semble avoir peu de soutien pour son invasion d’une nation innocente, a ordonné que les forces de dissuasion nucléaire russes soient en état d’alerte maximale.

TIME – Dans une escalade dramatique des tensions Est-Ouest sur l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le président Vladimir Poutine a ordonné que les forces nucléaires russes soient placées en état d’alerte maximale dimanche en réponse à ce qu’il a appelé des « déclarations agressives » des principales puissances de l’OTAN.

OTAN : Bannir la Russie de SWIFT la rapprocherait de la Chine, et c’est déjà fait avec le système “PSSA ou SFPS en russe”.

L’ordre signifie que Poutine veut que les armes nucléaires de la Russie soient préparées pour être davantage prêtes à être lancées et augmente la menace que l’invasion de l’Ukraine par Moscou et la réponse de l’Occident à cette invasion pourraient déboucher sur une guerre nucléaire.

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POUTINE : antithèse !

Russie : Dans un discours datant de 2017 par V. Poutine, « Le monde occidental part à la dérive ! », prends tout son sens quand nous savons maintenant ce que nous avons vécu par ces gouvernements Mondialistes. par Qactus

Dans un discours datant de 2017 par V. Poutine, « Le monde occidental part à la dérive ! », prends tout son sens quand nous savons maintenant ce que nous avons vécu par ces gouvernements Mondialistes.

Il mentionne le satanisme et la pédophilie comme des produits d’une crise morale provoquée par les gouvernements occidentaux eux-mêmes.


Dans un discours rarement vu, Poutine déclare qu’une crise morale se produit en Occident et qu’elle est créée à dessein par les gouvernements.

En bref, les fondements moraux du bien et du mal objectifs souvent liés à la chrétienté se sont érodés.

À leur place, les oligarques impériaux ont érigé un système qui renverse ce qui est bon et le remplace par une propagande qui conduit à la décadence culturelle et à l’effacement de l’identité, selon Poutine.

Poutine accuse les gouvernements d’impérialisme, de pédophilie et de « foi en Satan »…
Il mentionne le satanisme et la pédophilie comme des produits d’une crise morale provoquée par les gouvernements occidentaux eux-mêmes.


Version officielle en anglais ci-dessous : « Poutine prononce un discours sur la crise morale des États occidentaux ».

Il mentionne le satanisme et la pédophilie comme des produits d’une crise morale provoquée par les gouvernements occidentaux eux-mêmes.

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